Mauritanie : santé mentale, tout reste à faire
Par Laura Martel
Selon l’OMS, 10% de la population mondiale est susceptible d’être touchée par une maladie mentale, du simple trouble psycho-social à la pathologie psychiatrique. Dans la capitale mauritanienne, ce sont donc près de 100 000 personnes qui sont potentiellement en demande de soins. Depuis 2010, l’ONG Santé Sud s’est vu confier un projet de renforcement des soins en santé mentale dans la Communauté urbaine de Nouakchott. Manque de personnel, de financement, de législation ou tout simplement de connaissances des troubles mentaux, le défi à relever est de taille.
Par Laura Martel
Selon l’OMS, 10% de la population mondiale est susceptible d’être touchée par une maladie mentale, du simple trouble psycho-social à la pathologie psychiatrique. Dans la capitale mauritanienne, ce sont donc près de 100 000 personnes qui sont potentiellement en demande de soins. Depuis 2010, l’ONG Santé Sud s’est vu confier un projet de renforcement des soins en santé mentale dans la Communauté urbaine de Nouakchott. Manque de personnel, de financement, de législation ou tout simplement de connaissances des troubles mentaux, le défi à relever est de taille.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire