Selon le quotidien Libération, la capacité d'accueil des services psychiatriques a baissé dans presque toutes les régions du pays.
Dans la ville de Nantes, la capacité du service psychiatrique de l'hôpital Saint-Jacques a été réduite d'un tiers.
Les membres de la Confédération générale du travail (CGT) du Centre hospitalier universitaire (CHU) ont qualifié d'alarmante et de préoccupante la situation à Nantes et mis en garde que cela met en péril la santé des patients.
Les membres de la CGT craignent que la fermeture partielle des services d'hospitalisation de l'hôpital, en particulier ceux qui accueillent des patients âgés de 15 à 20 ans, n'augmente le risque de suicide.