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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 2 novembre 2023

LA SANTÉ MENTALE DES PROFESSIONNELS DE LA MONTAGNE

Accueil

Le GHT des Alpes du Sud vous convie le mercredi 8 novembre 2023 à Briançon, à une soirée proposée par le pôle de psychiatrie adulte du CHEB.

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mercredi 1 novembre 2023

L'économie derrière les barreaux

Un garde de prison devant le lieu de préparation au relâchement des détenus, dans la prison d’Aix-Luynes, le 14 mars 2022. ©Getty - Laurent Coust/SOPA Images/LightRocket

À propos de la série

Depuis le Moyen-Âge, l'emprisonnement est une dépense publique qui exige un retour sur investissement. Aujourd'hui, les conditions de détention, le gouffre économique de l'enfermement et le coût de la récidive mettent à mal cette entreprise de moralisation.

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«Ah ! Nana», quand les femmes dessinaient leurs fantasmes

par Agnès Giard   publié le 28 octobre 2023

Culte, déjanté, éphémère et jubilatoire, la revue fut en France le premier (et dernier) magazine de bande dessinée fait par des femmes. «Métal Hurlant» lui consacre un numéro d’anthologie.

Un strip-teaseur aux cheveux gominés s’apprête à retirer son slip, sous le regard de spectatrices qui l’encouragent en levant leurs coupes. Quand la revue Ah ! Nana apparaît dans les kiosques en octobre 1976, sa couverture donne le ton : on inverse les rôles. Créé par Janic Guillerez, directrice artistique des Humanoïdes Associés et épouse de Jean-Pierre Dionnet, Ah ! Nana – le pendant féminin de Métal Hurlant – se veut «anti-machiste». Son titre reprend de façon ironique la petite phrase «ah, les femmes !». L’expérience cependant est brève. En 1978, la revue cesse car elle est frappée d’une interdiction d’affichage : trop osée. Presque cinquante ans plus tard, Métal Hurlant lui rend hommage dans un numéro hors série de 272 pages, en librairie depuis le 25 octobre. Responsable du hors-série, Cécile Chabraud, éditrice de Métal Hurlant, a sélectionné le meilleur des histoires publiées par Ah ! Nana, accompagnées d’un rédactionnel conséquent sur l’histoire de cette revue mythique.

La biologie derrière le ronronnement des chats

Mardi 31 octobre 2023

Provenant du podcast

Avec sciences

Le ronronnement est une vocalisation à basse fréquence, autour de 20 à 30 vibrations de cordes vocales par seconde. ©Getty - Anita Kot

Le ronronnement des chats est une vocalisation de très basse fréquence, inhabituelle pour des animaux de si petite taille. Une nouvelle étude révèle que ce phénomène est passif et qu'il est permis par la présence de coussinets sur leurs cordes vocales.

Le ronronnement est une vocalisation, c’est-à-dire qu’il y a un passage d’air dans le larynx de l’animal qui fait vibrer les cordes vocales, comme nous le faisons quand nous parlons, mais à une fréquence extrêmement basse. Quand je parle maintenant, ma vocalisation oscille autour de 170 à 180 hertz, soit 170 à 180 vibrations de mes cordes vocales par seconde. La vocalisation d’un chat qui ronronne est de 20 à 30 Hz, 20 à 30 vibrations par seconde.

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Qu'est ce que l'Art Thérapie et comment ça marche ?

Par France Bleu Alsace   Mardi 31 octobre 2023

L'art-thérapie est une forme de psychothérapie qui utilise la création artistique

Qu'est ce que l'Art Thérapie ?

Qu'est ce que l'Art Thérapie ? © Getty Future Publishing

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"Les gens ne sont plus soignés" : l'hôpital psychiatrique public de Haute-Savoie a fermé la moitié de ses lits

Écrit par Guillaume Gorgeu et Marion Feutry  Publié le 

L’établissement public de santé mentale de la Roche-sur-Foron (Haute-Savoie) ne compte plus qu'une centaine de lits sur 208. La moitié a fermé en un an, faute de médecins psychiatres. Une résultante de nombreux facteurs et qui dégrade la situation de ce milieu, au grand dam des patients et de leur santé.


mardi 31 octobre 2023

Le traumatisme psychique chez l’adulte

octobre 2023

Si après un événement potentiellement traumatisant, certaines personnes n’éprouvent que de déplaisantes réactions de stress ou ne manifestent qu’un éphémère désordre traumatique, d’autres souffrent quant à elles de troubles chroniques sous forme de symptômes sporadiques, récurrents ou fixés en véritable syndrome psychotraumatique.

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Reportage Mineurs auteurs de violences sexuelles : «Il est urgent de prendre à bras-le-corps cette réalité»

par Fanny Marlier   publié le 26 octobre 2023 

L’unité psychiatrique du CHU de Montpellier propose aux enfants auteurs de violences sexuelles des groupes de parole sur le consentement ou l’emprise, afin de les sensibiliser à la gravité de leurs actes. Un soulagement pour les parents.

Son regard bleu baissé au sol, Marc (1) raconte à demi-mot le «choc». «Ma femme et moi ; ça nous est tombé sur la tête, on ne s’y attendait pas du tout.» Il y a une poignée d’années, son fils, adolescent, a été mis en examen pour une infraction à caractère sexuel dont il ne souhaite pas donner davantage de détails, et pour laquelle il n’a pas été encore jugé. Le quinquagénaire fustige pêle-mêle : l’influence des copains, Internet – «le mal de notre époque» – et le manque de formation des éducateurs de l’Institut thérapeutique éducatif et pédagogique au sein duquel est placé son fils depuis son jeune âge.

Québec met en place des mesures pour éviter les hospitalisations en psychiatrie

Publié le 30 octobre 2023

Dans le but d'éviter des expériences qui peuvent parfois être traumatisantes pour certains patients dont l'état n'exige pas un séjour en hôpital psychiatrique, Québec annonce la mise en place de mesures visant à prévenir et à éviter ces hospitalisations.

Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, était de passage, lundi, à l'Institut universitaire en santé mentale Douglas, à Montréal, afin d'annoncer la mise en place des trois actions de l'axe six du Plan d'action interministériel en santé mentale 2022-2026.

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Santé mentale : Sésame, un nouveau dispositif prometteur

Par Tifenn Clinkemaillié   Publié le 28 oct. 2023

Expérimenté depuis trois ans dans les Yvelines, le programme repose sur une coopération étroite entre médecin généraliste, infirmier et psychiatre. Les résultats, encourageants, laissent entrevoir à terme une possible généralisation en France.

Dans 76 % des cas, les médecins généralistes sont les premiers professionnels consultés en cas de problème de santé mentale.

Dans 76 % des cas, les médecins généralistes sont les premiers professionnels consultés en cas de problème de santé mentale. (Syspeo/SIPA)

Comment faire face à l'explosion des besoins en santé mentale ? Dépression, troubles anxieux, schizophrénie, troubles bipolaires… Chaque année, en France, une personne sur quatre est touchée par une maladie psychiatrique. Ce, alors que l'offre de soins de psychiatrie - à l'hôpital comme en libéral - est saturée. Et que les médecins généralistes, premiers professionnels consultés en cas de problème de santé mentale dans 76 % des cas, restent démunis et peu formés.

C'est pour répondre à ces différents enjeux que l'Institut Montaigne, en collaboration avec le Centre hospitalier de Versailles et l'association Quartet Santé, a lancé, il a trois ans, une expérimentation en France d'un nouveau mode de prise en charge des troubles en santé mentale. Baptisé « Sésame », pour Soins d'équipe en santé mentale, cette expérimentation repose sur un principe simple : une collaboration étroite entre médecin généraliste, infirmier et psychiatre. 

Extension en Ile-de-France

Inspiré du « collaborative care model », développé aux Etats-Unis dans les années 1990, l'intérêt d'une collaboration entre professionnels de santé a largement été démontré. Outre-Atlantique, près de 40.000 personnes ont pu en bénéficier. En France, plus de 700 patients ont déjà expérimenté Sésame dans quatre sites de médecine générale des Yvelines.

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La science du cri

Joe Kita   25 janvier 2023

Le cri est une forme de communication à la fois élémentaire et complexe qui reflète et évoque un large éventail d'émotions. Quels sont les différents types de cris ? Quels bénéfices mental et physique peuvent-ils apporter ? Le point avec le Pr Harold Gouzoules (Université Emory, Atlanta. É.-U.).

Titulaire d'une maîtrise en psychologie et d'un doctorat en zoologie, le Pr Harold Gouzoules étudie les cris des animaux et des humains depuis 40 ans. Il est certainement l'une des personnes qui a consacré le plus de temps à analyser ce type d’interaction entre les êtres vivants. Il a accumulé une audiothèque de dizaines de milliers de cris. Les nouveaux étudiants du département de psychologie où il enseigne et procède à ses recherches, sont d’ailleurs sensibilisés dès leur arrivée au risque d’être confrontés à des sons particulièrement troublants...

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Quiz : des phobies insolites

26 septembre 2023

Les phobies, qui sont définies par des craintes angoissantes et injustifiées d'une situation, d'un objet ou de l'accomplissement d'une action, sont courantes, mais certaines sont plus insolites que d'autres. Savez-vous reconnaître ces phobies rares et intrigantes, alliant les noms les plus étranges aux peurs les plus inattendues ? 

Quelle phobie peut gâcher la journée d'une personne à la simple vue de papier bulle, d'une râpe à fromage, d'une fleur de lotus, d'un nid d'abeille ou d'une balle de golf zoomée ?

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Emmanuel Macron engage le processus visant à inscrire l’IVG dans la Constitution

Par    Publié le 30 octobre 2023

Le chef de l’Etat a annoncé, dimanche, qu’un projet de loi constitutionnelle visant à protéger l’interruption volontaire de grossesse serait envoyé au Conseil d’Etat cette semaine, et présenté en conseil des ministres d’ici à fin 2023.

Emmanuel Macron, après son discours pour les 65 ans de la Constitution de la Ve République, au Conseil constitutionnel, à Paris, le 4 octobre 2023.

Emmanuel Macron, après son discours pour les 65 ans de la Constitution de la Ve République, au Conseil constitutionnel, à Paris, le 4 octobre 2023.  

L’art du contre-pied. Alors que le conflit au Proche-Orient altère le débat politique en France depuis trois semaines, Emmanuel Macron a fait un pas, dimanche 29 octobre, vers l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. « Le projet de loi constitutionnelle sera envoyé au Conseil d’Etat cette semaine et présenté en conseil des ministres d’ici la fin de l’année », a annoncé le chef de l’Etat sur le réseau social X (anciennement Twitter). Il s’agira d’ajouter, à l’article 34 de la Constitution, que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».

Le président de la République s’était engagé, le 8 mars, lors de l’hommage national à Gisèle Halimi, à « changer notre Constitution, afin d’y graver la liberté des femmes à recourir à l’interruption volontaire de grossesse pour assurer solennellement que rien ne pourra entraver ou défaire ce qui sera ainsi irréversible ».

Fake news en santé : l'Inserm déclare la guerre aux "solutions miracles"

PUBLIÉ LE 26/10/2023

Sensibiliser chacun et chacune sur les risques pour la santé associés aux fausses informations et attirer l’attention sur l’importance de se tourner vers des sources scientifiques rigoureuses pour s’informer. L'Inserm s'attaque aux fausses promesses qui contaminent aussi le domaine de la santé à travers une campagne vidéo. 

Inserm

Une boisson miracle «bye-bye dépress'», une autre pour aider à maigrir... Dans un spot vidéo de prévention, l'organisme de recherche scientifique lutte contre les fausses informations qui inondent les réseaux sociaux et qui concernent aussi le domaine de la santé. Côté mise en scène, des gens défilent devant un distributeur automatique alimentaire dans un hall de gare et s'amusent des slogans qu'ils découvrent sur les canettes et qui tournent en dérision les fake-news : à boire pendant 168h sans manger... le jus pour retrouver le moral ou bienne consommez que ça pendant des semaines : perte de poids garantie... 

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Accéder au site de l'INSERM ...


Sorcières : mythe et persécution











"Sorcières : mythe et persécution", cette sélection d'archives radiophoniques proposée par Mathias Le Gargasson explore la construction du mythe de la sorcière à travers ses cérémonies et ses mécanismes de persécution du 15ème au 17ème siècle.


Au cœur de la nuit, un grand feu s’allume. Dans le ciel, à peine visible, des femmes volent sur des balais vers le lieu du sabbat. L’air devient dense, irrespirable, signalant la présence d’un être démoniaque. Car le diable, ou du moins un démon, est là, assis devant le feu. Certaines s’enduisent d’onguent, d’autres préparent les divers sacrifices, d’autres encore rentrent dans une transe incontrôlable. C’est à la fois une initiation pour celles qui ne se sont pas encore données entièrement au diable et une célébration de l’être venu des enfers pour présider à ce que d’aucuns appelleraient une messe noire. Elles se livrent ensuite à une orgie générale, où chacune se donne tour à tour à ce diable à la peau écaillée et à la semence froide. Le lendemain, ces sorcières repartiront dans leurs villages respectifs investies d’une mission : maudire, empoisonner, brûler et surtout tuer. C’est en tout cas le mythe qui s’entretient du XVe au XVIIe siècle partout en Europe, et qui terrifie les paysans et les notables de cette fin de Moyen Âge.

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Précarité 2022, nouvelle année meurtrière pour les sans-abri


 


par Margo Bierry  publié le 26 octobre 2023

L’année dernière, 710 décès ont été enregistrés par le collectif les Morts de la rue. Un chiffre en deçà de la réalité, tant il est difficile de recenser, suivre et soigner les personnes sans domicile.

Une mortalité «massive et précoce» des sans-abri. Dans son 11e rapport publié ce jeudi 26 octobre, le collectif les Morts de la rue (CMDR) a enregistré 710 décès de personnes sans domicile en 2022, mettant en lumière «une année aussi meurtrière que les précédentes». Parmi ces 710 décès établis par le document, avec l’aide d’une dizaine de bénévoles, une épidémiologiste et en lien avec le programme «Pas de santé sans toit» de Médecins du monde, 6 victimes étaient à la rue depuis moins de trois mois et une immense majorité sont des hommes (87 %).

Ken Loach et Paul Laverty font de la résistance

Mardi 24 octobre 2023

"The Old Oak" de Ken Loach, 2023 - SIXTEEN OAK LIMITED, WHY NOT PRODUCTIONS

"The Old Oak", c'est le nom du nouveau film du réalisateur Ken Loach et de son scénariste Paul Laverty, mais aussi celui d'un pub fictif situé dans une bourgade du nord de l'Angleterre. Face à l'arrivée de réfugiés syriens, la communauté locale se divise et le pub devient plus que jamais politique. 


Avec

  • Ken Loach Réalisateur

  • Paul Laverty Scénariste

Pour cette rencontre, non pas un, mais deux invités, et quels invités : respectivement réalisateur et scénariste, Ken Loach et Paul Laverty travaillent ensemble depuis maintenant près de 30 ans, le 25 octobre sort sur les écrans leur seizième film ensemble, The Old Oak.

Ce nouveau film vient compléter la trilogie de Moi, Daniel Blake (2016) et Sorry we missed you (2019), trois films qui prennent place dans le nord-est de l'Angleterre dans lequel des personnages chaleureux et généreux évoluent, au sein d'une culture locale pétrie d'adversité, de combats et de solidarité.

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Dépression. Pourquoi les antidépresseurs mettent-ils du temps à agir (quand ils agissent) ?

Publié le 30 octobre 2023

Certains antidépresseurs favorisent la création de nouvelles connexions entre les neurones du cerveau, ce qui permet in fine à la personne d’aller mieux. Et ce changement d’architecture du cerveau exige du temps.

Image d’illustration d’un réseau de neurones. Ces cellules nerveuses sont connectées les unes avec les autres. Les antidépresseurs augmentent la densité de ces connexions.

Développés il y a une quarantaine d’années, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) sont des antidépresseurs largement prescrits. La sérotonine est une molécule présente dans le cerveau, dont la diminution peut être à l’origine de la dépression. Empêcher sa capture rapide par des récepteurs des neurones augmente sa concentration dans le cerveau. Une stratégie pertinente, mais ces médicaments ont deux écueils : d’une part, ils restent sans effet sur plus 30 % des personnes déprimées ; d’autre part, ils mettent beaucoup de temps à agir. “Quand vous prenez un antibiotique, il commence à agir immédiatement. Ce n’est pas le cas avec les IRS”, a résumé Gitte Knudsen à Wired. “C’est un casse-tête : pourquoi si longtemps ?”

Un Œil sur demain : l’intelligence artificielle au cœur de la médecine du futur

Par Pascale Bollekens avec Maurizio Sadutto   29 oct. 2023 

L’intelligence artificielle prend déjà une place importante dans la médecine aujourd’hui. Elle peut aider à établir un diagnostic. Elle peut servir en chirurgie assistée par ordinateur ou à l’aide de robots et dans bien d’autres domaines. C’est une révolution médicale qui est en cours.

Nous sommes allés dans plusieurs hôpitaux pour comprendre comment cette IA fonctionne et ce qu’elle apporte au personnel médical. Mais se pose alors la question, légitime : pourrait-elle un jour remplacer notre médecin ?

Un prédiagnostic qui fait gagner du temps

L’accueil aux urgences peut désormais s’accompagner d’un questionnaire intelligent qui peut aboutir à un prédiagnostic.

L’accueil aux urgences peut désormais s’accompagner d’un questionnaire intelligent qui peut aboutir à un prédiagnostic. © Tous droits réservés

Dans plusieurs hôpitaux en Flandre, un outil de diagnostic piloté par intelligence artificielle est en phase de test et les retours du personnel médical seraient positifs. Quand un patient arrive aux urgences, il s’inscrit à l’accueil, puis est reçu par un infirmier ou une infirmière pour une première observation clinique, comme dans tous les autres hôpitaux. La différence c’est qu’on lui envoie ensuite un lien vers un questionnaire intelligent qu’il peut remplir sur son smartphone.

Dans la salle d’attente, le patient va alors raconter en temps réel toute son histoire médicale au travers de questions générées par une intelligence artificielle. L’IA va ensuite proposer un prédiagnostic au médecin urgentiste. L’intelligence est là pour faire gagner du temps au médecin, mais pas seulement, comme nous l’explique le docteur Allisson Gilbert qui est urgentiste au CHU de Liège. Elle a été formée pour travailler avec ce programme :

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Vaccin anti-Covid-19 : plus il y a d’effets secondaires mieux c’est ?

Publié le 25/10/2023

La vaccination contre le SARS-CoV-2 a montré son efficacité pour réduire les infections, les hospitalisations et la mortalité, mais la protection s'estompe avec le temps, même après un rappel. Par ailleurs, le taux de vaccination de rappel est faible en raison de préoccupations concernant les effets secondaires et de la perception d'une protection insuffisante.

Des données récentes ont suggéré que des symptômes systémiques plus importants après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 pourraient refléter une réponse immunitaire plus puissante. Une étude explore la relation entre les symptômes post-vaccinaux et la réponse à long terme en anticorps neutralisants, dans le but de mieux comprendre cette association et d'informer la politique de santé publique.