par Adrien Naselli publié le 3 mai 2023
«Parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse /Alors ils viennent se chauffer chez moi /Et toi aussi, tu viendras.» L’amitié, une simple consolation face aux coups durs de la vie ?
Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
par Adrien Naselli publié le 3 mai 2023
«Parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse /Alors ils viennent se chauffer chez moi /Et toi aussi, tu viendras.» L’amitié, une simple consolation face aux coups durs de la vie ?
par Elsa Maudet publié le 4 mai 2023
Chaque semaine, Libération passe en revue l’actualité du livre jeunesse. Retrouvez tous les articles de ce rendez-vous du mercredi ici.
Ce livre ne s’aborde pas sans réflexion préalable. Sans stratégie, même. Brandi trop tôt, il perdra de son intérêt. Brandi trop tard, vous le regretterez. Notre modeste expérience en enfançologie vous conseille de le dégainer une vingtaine de minutes avant le «vrai» moment de l’histoire du soir, mais on est preneuse de vos retours d’expérience. Le Livre qui (ne) te fera (pas) dormir ne fait, comme son nom l’indique à peu près, pas dormir. Pourtant, le héros, un kangourou à bottes bleues, fait tout ce qu’il peut pour aider l’enfant à trouver le sommeil – prétend-il, du moins.
PUBLIÉ LE 03/05/2023
Deux syndicats d'infirmiers scolaires appellent ces professionnels de l'Éducation nationale à une marche blanche pour demander une valorisation de leur exercice ainsi que plus de moyens humains et une refonte de leur formation.
Plus de moyens humains et matériels : à l’instar de leurs collègues de la Santé, les infirmiers de l’Éducation nationale déplorent un manque structurel de personnel, qui se creuse avec la fuite des professionnels. Or enfants et adolescents en paient le prix, avec des impacts délétères sur leur santé physique et psychique qui se répercutent ensuite sur leur parcours scolaire. De quoi pousser les syndicats SNICS-FSU et SNIES-UNSA à appeler les infirmiers scolaires à participer à une marche blanche, organisée le 23 mai.
Publié le
Le 3 mai, découvrez "Temps mort", le premier long métrage de fiction de la réalisatrice Ève Duchemin avec un trio fort d'acteurs parmi lesquels Karim Leklou. L'histoire de trois détenus qui retrouvent leur famille et tentent de renouer avec leur histoire personnelle le temps d'une permission.
Pour la première fois depuis longtemps, trois détenus se voient accorder une permission d’un week-end. 48h pour atterrir. 48h pour renouer avec leurs proches. 48h pour tenter de rattraper le temps perdu.
Lire la suite et voir la bande annonce ...
Par Hélène Jouan (Toronto (Canada), envoyée spéciale) Publié le 4 mai 2023
REPORTAGE La ville canadienne, réputée pour sa richesse économique et culturelle, fait face aux souffrances psychiques qui touchent une part importante de sa population. En cause : les inégalités sociales, la défaillance des structures sanitaires et les ravages de la toxicomanie.`
De faux airs de New York, des boutiques branchées, des restaurants étoilés, un pôle universitaire réputé, des start-up florissantes, un festival du film très couru… Toronto, a priori, a tout pour faire rêver : cette ville de trois millions d’habitants, deuxième place financière d’Amérique du Nord, est le cœur battant, économique et culturel, du Canada. Mais il suffit d’y flâner, de passer outre l’agitation des cols blancs, pour voir surgir, dans la rue, une autre réalité : un homme tenant à tue-tête des propos décousus, des mendiants en fauteuil roulant, ou encore, le soir venu, ces adolescents massés sous les porches d’immeubles pour échapper au froid.
Par Juliette Garnier Publié le 4 mai 2023
Le site chinois d’habillement, qui a réalisé 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2022, ouvre une boutique éphémère à Paris du 5 au 8 mai. Sa puissance de feu inquiète ses concurrents et les militants d’une mode responsable.
Shein a désormais pignon sur rue à Paris. Le site chinois d’habillement ouvre une boutique au 18, rue des Archives, vendredi 5 mai. Situé dans le Marais, ce point de vente est aussi peu durable que les vêtements de Shein : il sera ouvert pour quatre jours seulement, jusqu’au lundi 8 mai.
Ce n’est pas la première fois que Shein s’offre un « pop-up store », autrement dit un magasin éphémère. Pour séduire les jeunes femmes, celles de la génération Z, nées entre 1995 et 2010, cette méthode est appliquée de la même manière partout dans le monde. L’enseigne a fait de même à Toulouse et à Montpellier, voilà un an, et à Lyon, en mars. « Huit mille personnes y sont venues », précise une porte-parole.
Publié le : 02 Mai 2023
Le poste se constitue de deux mi-temps qui peuvent concerner deux chercheurs ou être un temps plein pour un seul chercheur : Garantir l’effectivité de la notification des droits dans l’hospitalisation en soins psychiatriques sans consentement et Plan de Voisinage Conjoint (PVC) : Recherche participative autour de la création d’un outil visant l’amélioration des relations de voisinage pour les personnes vivant avec des troubles psychiques
Par Guillaume Delacroix Publié le 3 mai 2023
EN IMAGES Des visages creusés de sillons, une posture fière, le regard profond. A partir de 2013, le photographe a parcouru les campagnes à la rencontre de femmes nées dans la première moitié du XXᵉ siècle. Ses photos racontent des vies subies, passées entre la ferme et la cuisine, faites de labeur et d’acceptation.
Elles sont de plain-pied avec le spectateur, dignes. Elles regardent droit dans l’objectif. Ces dames sont nées dans l’entre-deux-guerres, voire pendant la première guerre mondiale pour les plus âgées d’entre elles. Leurs parents étaient paysans et, toute leur vie, elles ont été « fille de » ou « femme de ». Une génération de femmes qui n’avaient d’autre perspective que de passer de la ferme de leurs parents à celle de leurs beaux-parents. Elles y vivent d’ailleurs toujours, souvent seules.
Leur univers s’est réduit, au fil du temps, d’une grande bâtisse pleine de vie à une simple pièce, la cuisine en général, silencieuse. Répétition immuable dans une France rurale où les femmes n’avaient pas le choix. Où elles consentaient à une vie de « non-décision », résume le photographe Alexis Vettoretti, né en 1989.
« A l’école, on apprend que les femmes ont obtenu le droit de vote en 1944, celui d’ouvrir un compte bancaire en 1965. Mais ce fut un choc de découvrir qu’une réalité sociale d’hier, dont les livres d’histoire ne parlent pas, était là, sous mes yeux, vivante », raconte-t-il. Son travail a démarré en 2013, avec le portrait de Thérèse, une bergère de son village, Saint-Marcel-d’Ardèche, dans la vallée du Rhône. « Je l’ai prise en photo chez elle et, quand j’ai eu le plan film entre les mains, j’ai vu qu’elle avait une gueule, qu’elle incarnait un vrai personnage. L’idée m’est alors venue d’engager une série de portraits. »
Agnès Lara 2 mai 2023
À retenir
LE MARDI 2 MAI 2023
Que le président de la République se rassure – et n’en déplaise aux opposants à une loi de liberté qui véhiculent mensonges et fantasmes – ces limites existent partout où de telles législations ont déjà été votées. Seule la prise en charge des mineurs – que ne demande pas, à ce stade, l’ADMD – marque la particularité de certaines législations étrangères. Elle est arrivée en Belgique douze ans après le vote de la loi et, aux Pays-Bas, vingt-deux ans après (pour les mineurs de moins de 12 ans), répondant ainsi à la problématique de leur fin de vie et de la prise en compte de leurs souffrances, aussi nécessaire que chez leurs ainés.
par Marlène Thomas publié le 2 mai 2023
Révolution féministe ou menace sur l’égalité professionnelle, le congé menstruel inquiète tout autant qu’il intéresse. Selon un sondage Ifop de 2021, 68 % des Françaises soutiennent la création d’un tel dispositif pour les femmes souffrant de règles douloureuses, comme récemment voté en Espagne. La Première ministre, Elisabeth Borne, s’est engouffrée, la semaine dernière, prudemment dans la brèche en assurant réfléchir à «encourager» et «accompagner» le congé menstruel faisant l’objet de quelques initiatives éparses du côté de Carrefour, de la mairie de Saint-Ouen ou encore du Parti socialiste. Alors que des parlementaires socialistes et écolos planchent sur des propositions de loi tentant d’équilibrer la balance bénéfices-risques, Murielle Guilbert, co-déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires, revient avec vigilance sur l’intérêt de ce dispositif ainsi que les défis à relever pour le généraliser.
De Géraldine Mayr , Jimmy Mohamed Mardi 2 mai 2023
Publié le
Le musée des arts buissonniers transporte l'art brut jusqu'à Millau dans le cadre des rendez-vous Hors normes.
Petit musée planté au cœur d’un village guère plus grand aux pieds des monts Lacaune, le musée des arts buissonniers de Saint-Sever-du-Moustier a délocalisé jusqu’au 20 mai quelques œuvres au Vieux moulin. C’est l’un des rendez-vous Hors normes dédié aux arts en marge qui fédèrent les acteurs culturels millavois. Le site aveyronnais qui s’exporte régulièrement en France ou à l’étranger ne pouvait passer à côté de l’événement.
PUBLIÉ LE 05/05/2023
L’année scolaire touche à sa fin, et avec elle arrive le grand moment des premiers entretiens à passer pour décrocher le fameux contrat qui fera de toi : un.e infirmier.e ! A travers mon expérience et mes recherches voici quelques conseils pour saupoudrer ta préparation...
Par Clémence de Ligny Publié le
Pourquoi les personnes de grand âge semblent-elles invisibles dans l’espace public ? Une question qui sera abordée aux Estivales de la Fondation Partage et Vie, en partenariat avec « Le Point ».
S
Dans une société toujours plus productive, qui prône la jeunesse et l'autonomie, la vieillesse incarne dans l'imaginaire collectif tout le contraire : la lenteur, la dépendance, la faiblesse. Des idées reçues qui, pour le philosophe et écrivain Roger-Pol Droit, sont à l'origine du caractère invisible du grand âge : « Il crée dans nos inconscients une forme d'angoisse du fait de la méconnaissance que l'on en a. » Une idée que rejoint la journaliste et essayiste Perla Servan-Schreiber : « On cache les vieux, comme on cache la mort. »
Lundi 1 mai 2023
Provenant du podcast
Être et savoir
Mardi 2 mai 2023
Provenant du podcast
Sans oser le demander
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PAR ALICE ROSATI
Le kintsugi est une ancienne pratique japonaise qui consiste à réparer des objets cassés avec de l'or. Les marques sont comme des cicatrices qui sont magnifiées et transformées en quelque chose de nouveau qui acquiert ainsi une valeur ajoutée, encore plus précieuse. Le Kintsugi a souvent été utilisé comme métaphore de l'art de réparer ses blessures. Mais comment passe-t-on du plan matériel au plan spirituel ?