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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mercredi 18 mars 2020

Cerebrum : un documentaire nous plonge au cœur des problèmes de santé mentale

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PUBLIÉ le 18 mars 2020

CANADA

On voit le profil d'une personne à contre-jour devant une fenêtre par laquelle on voit de la neige.
Une scène dans le documentaire « Cerebrum : 24 heures au cœur de la réalité » Photo : Radio-Canada

Coronavirus: les soins psychiatriques migrent en Valais

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18.03.2020


PANDÉMIE Pour faire de la place aux urgences à l'hôpital de Sion en raison de la crise sanitaire actuelle, les urgences psychiatriques des adultes sont transférées à Martigny. Les hospitalisations psychiatriques des ados passent à Monthey.
L’Hôpital du Valais a besoin de place pour les urgences liées au Coronavirus sur son site de Sion. De plus, il veut éviter que les jeunes patients se trouvent à proximité de la gériatrie à Sierre.
Pour répondre à ces nouvelles nécessités, une réorganisation est mise en place, annonce un communiqué diffusé mercredi.

Coronavirus : les autres malades attendront

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YANN DIENER · 
Ce qui reste de l'hôpital public, sinistré par dix ans de politique d'austérité, est aujourd'hui entièrement mobilisé pour accueillir les patients « Covid-19 ». Manque de personnel et donc de lits d'hospitalisation, soignants travaillant déjà à flux tendu...

mardi 17 mars 2020

Planning, nouvelles règles de vie, bricolage : comment gérer son confinement sans angoisse

le 17 mars 2020

Avec des mesures de confinement durcies pour au moins quinze jours, les Français sont désormais obligés de rester chez eux, sauf exceptions. Europe 1 vous livre quelques conseils pour limiter les tensions au sein d'une famille et gérer son angoisse liée à l'enfermement. [...] L'élaboration de charte ou de planning peuvent être de bonnes solutions, même si les tensions seront inévitables selon la psychologue Caroline Goldman. Il est cependant important de garder son sang-froid. "Ne pas crier pour ne pas générer de l'hostilité qui, dans un contexte de confinement, serait vraiment dommageable", souligne-t-elle.[...] 

Des activités pour ne pas angoisser 

Outre la cohabitation qui peut s'avérer difficile, l'enfermement peut être une source d'angoisse pour certains citoyens. L'essentiel est de continuer à avoir des échanges sociaux. "Cela peut être au téléphone, ça peut être un bon vecteur, ou avec d’autres moyens de communication", explique Antoine Pelissolo, chef du service psychiatrie à l'hôpital Henri Mondor à Créteil. 

Coronavirus, qui faut-il encore tester ?

| 16.03.2020


Dépistage
GARO/PHANIE

Alors que l’épidémie de COVID-19 est désormais au stade 3, la confirmation biologique systématique du diagnostic n’est plus de mise. Elle serait d’ailleurs irréaliste alors que les capacités de test sont déjà presque saturées. Actuellement, « environ 2 000 tests sont réalisables et réalisés chaque jour », a ainsi déclaré Olivier Véran ce dimanche sur France 2.
En ambulatoire, parmi les personnes présentant des symptômes évocateurs, les patients à tester en priorité sont essentiellement ceux présentant des signes de gravité et ceux à risque de formes graves du fait de leur âge ou de leur comorbidité (voir encadré ci-dessous) ainsi que les femmes enceintes symptomatiques quel que soit le terme de la grossesse.

Val-de-Marne. Il aurait tué sa mère de 92 ans à coups d’encyclopédie Larousse

Publié le 
Un homme a été interpellé vendredi 13 mars à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Atteint de troubles psychiatriques, il aurait tué sa propre mère de 92 ans à coups de livre sur la tête.


Décret du 6 mai 2019 relatif au fichier Hopsyweb: compte-rendu d’audience

Le Rapporteur public conclut au rejet des requêtes, mais considère que le Tribunal des conflits dans son arrêt du 9 décembre 2019 nous a donné partiellement gain de cause en déclarant le juge judiciaire compétent pour connaître des demandes d’annulation des refus de destruction des décisions de soins psychiatriques involontaires irrégulières ou infondées.

[EN IMAGES] Une websérie sur la schizophrénie pour sensibiliser la génération Netflix

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Pour les 17e Journées nationales de la schizophrénie, du 14 au 21 mars, l’association éponyme lance une mini-série à suspense ainsi que « le plus grand site de vulgarisation de la recherche » sur la maladie. L’objectif : déstigmatiser ce trouble psychique largement méconnu du grand public. 

Crédit photo : Journées de la schizophrénie.
En France, 660 000 personnes souffrent de schizophrénie selon l’association des Journées de la schizophrénie - Internationale, soit un·e Français·e sur 100. Cette maladie du cerveau, de la famille des psychoses, est classée par l’OMS dans le groupe des dix maladies entraînant le plus d’invalidité, mais dont les symptômes s’améliorent dès qu’ils sont traités dans 80 % des cas. Toutefois, la schizophrénie, méconnue, est attachée à de nombreux préjugés dans l’inconscient collectif (violence, peur…), et 30 % des personnes en souffrant ne sont pas suivies sur le plan médical.
Née en 2004 en Suisse, l’association des Journées de la schizophrénie est aujourd’hui composée de trois entités qui organisent plus de 200 événements en Suisse, en France, au Bénélux, au Québec, en Algérie, au Cameroun, au Liban et au Togo. Pour la 17e édition des journées, qui se déroulera du 14 au 21 mars 2020, elle a choisi d’adopter une double démarche : informative, avec un site de vulgarisation scientifique, et de sensibilisation, avec une mini-série.

CAPTER « L’INTÉRÊT DE LA GÉNÉRATION NETFLIX AVIDE DE ‘DRAMA À SENSATIONS’ »

Hallucinations, idées délirantes, dépression... La maladie se manifeste principalement au début de l’âge adulte et évolue par épisodes. Le format « série » était donc particulièrement adapté. Basée sur des faits réels et validée par un comité d’experts de la schizophrénie, SCHIZO suit Alice, une adolescente dont le quotidien au lycée va devenir de plus en plus étrange. « En utilisant les codes attractifs de la série, nous captons l’intérêt de la génération Netflix avide de ‘drama à sensations’ », a expliqué Maël Sevestre, le réalisateur, dans un communiqué.
Imaginée par l’agence CYCA Creative Hub et réalisée par L’imagerie Films, la série va être partagée gratuitement sur le site dédié jusqu’au 24 mars. Un teaser a été diffusé dans les salles de cinéma, à la télévision et sur les réseaux sociaux.

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Film.“Horse Girl” sur Netflix : un regard singulier sur la maladie mentale

Publié le 
L’actrice américaine Alison Brie dans Horse Girl, sur Netflix. 
PHOTO KATRINA MARCINOWSKI / NETFLIX
Interprété et coécrit par Alison Brie, ce long-métrage tente de saisir la vie intérieure d’une jeune femme atteinte de schizophrénie. Une fiction pour laquelle l’actrice américaine s’est inspirée de sa propre histoire familiale.
Dès les premières minutes de Horse Girl, on se dit que “quelque chose cloche” sans pouvoir le définirremarque The Guardian dans sa critique du long-métrage mis en ligne au début de février par Netflix. Le personnage principal, Sarah (interprétée par Alison Brie), a tout d’une jeune femme lambda. Un peu timide, certes. Un peu étrange, peut-être. Mais sans rien d’inquiétant à première vue.

Pour une France confinée et cultivée comme jamais

Par Didier Péron Frédérique Roussel Guillaume Tion Marius Chapuis Julien Gester Ève Beauvallet Olivier Lamm et Judicaël Lavrador — 
«Fleabag», la série de et avec Phoebe Waller-Bridge.
«Fleabag», la série de et avec Phoebe Waller-Bridge. Courtesy of AMazon Prime video


Musées et salles de spectacles fermés : comment sortir du désert culturel par le haut ? «Libération» propose ses pistes dans tous les domaines. Grâce à Internet, reclus et recluses involontaires peuvent ainsi fouiller des collections d’art, se mettre à l’opéra gratis, se bercer de sorties musicales récentes, ou revisiter le Paris de la Grande Guerre avec l’icône Musidora.

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PAR Jean-Baptiste LAMARCHE   16 mars 2020

Les textes d’un des fondateurs de l’ethno-psychiatrie, complétés par une introduction historique, permettent de découvrir l’originalité d’une approche culturelle des troubles psychiques.

Ethno-psychiatrie

On connait surtout, d’Henri Ellenberger, une Histoire de la découverte de l’inconscient. Dans ce livre rempli d’intuitions hétérogènes, il identifiait un bon nombre de pratiques thérapeutiques ancestrales qui auraient précédé et annoncé celles de la psychanalyse, de phénomènes lui ressemblant, etc.
Ethno-psychiatrie rassemble des textes plus courts sur les buts que se donne cette sous-discipline de la psychiatrie, qui situe les maux traités par celle-ci dans le contexte de leur environnement culturel. Dans une longue présentation érudite, l’historien Emmanuel Delille raconte l’émergence et le développement de cette démarche. Il aborde le rapport trouble de l’ethno-psychiatrie au contexte colonial au sein duquel elle apparût (après avoir d’abord jeté un regard dénigrant et pathologisant sur les mœurs et les pratiques des colonisés, l’approche serait parvenue à s’extirper du colonialisme). Il note que l’ethno-psychiatrie, étant donné le crédit dont bénéficia longtemps la théorie psychanalytique chez les psychiatres, était bien souvent une « ethno-psychanalyse ». Il rapporte l’attention accordée par les ethno-psychiatres aux syndromes propres à une culture, qui n’apparaissent que dans un certain contexte culturel.


lundi 16 mars 2020

Un cabinet français de psychothérapie pour le mieux-être à Barcelone

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20 mars 2020

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À Barcelone, la psychothérapeute Agathe Fourgnaud aide petits et grands à retrouver le chemin du mieux-être.
Niché au cœur du quartier de Sant Gervasi, le cabinet d’Agathe Fourgnaud donne sur le Parc de Monterols, havre de paix entre Balmes et Muntaner. C’est à dessein que cette Parisienne devenue barcelonaise en 2011 a choisi cette adresse après avoir expérimenté d’autres quartiers : « je cherchais un lieu calme et serein mais bien desservi pour recevoir mes patients », explique-t-elle. Agathe Fourgnaud n’a pas toujours été psychothérapeute. Journaliste de presse écrite, auteure de différents ouvrages portant sur des thématiques psycho-sociétales, c’est la pratique de l’interview qui a fini par la faire basculer de l’autre côté. « Pendant plus de quinze ans, j’ai eu la grande chance de pouvoir recueillir les propos de toute sorte de personnes dans des domaines très variés. J’ai mesuré à quel point parler faisait du bien aux gens. A un moment donné, j’ai eu besoin d’aller plus loin dans l’écoute d’autrui ».
francais psychothérapeute barcelone