Par Eric Normand Publié le 05/02/202 Des médecins du CHU de Reims viennent de révéler un cas clinique exceptionnel. Un jeune homme a survécu à une tentative de suicide à l'arbalète. Un cas clinique qui a même fait l'objet d'une publication scientifique, révélée par le journaliste Marc Gozlan. Lire la suite ...
Plusieurs grandes institutions scientifiques nous font jouer pour stimuler notre curiosité… ou aider la médecine.
L’Inserm, le grand institut de recherche médical public français, possède un organoïde de cerveau, une réplication parfaite de l’architecture du cortex humain, totalement fonctionnel. Il sait même verrouiller tout seul les portes de son labo. Seul problème, il est un chouïa sensible aux pannes de courant. L’une d’elles vient temporairement de le mettre hors service. Il s’est réinitialisé, mais il ne sait plus rien faire… Ah, il a aussi bloqué les portes du bâtiment. Les joueurs-chercheurs ont 45 minutes pour le réactiver en s’aidant d’indices et d’éléments répartis dans la salle.
Cet « escape game », qui se joue à plusieurs, en temps réel, en coopération et dans un vrai laboratoire a été installé en novembre à l’Institut de psychiatrie et de neurosciences de l’université Paris-Descartes.
L’Inserm, le grand institut de recherche médical public français, possède un organoïde de cerveau, une réplication parfaite de l’architecture du cortex humain, totalement fonctionnel. Il sait même verrouiller tout seul les portes de son labo. Seul problème, il est un chouïa sensible aux pannes de courant. L’une d’elles vient temporairement de le mettre hors service. Il s’est réinitialisé, mais il ne sait plus rien faire… Ah, il a aussi bloqué les portes du bâtiment. Les joueurs-chercheurs ont 45 minutes pour le réactiver en s’aidant d’indices et d’éléments répartis dans la salle.
Cet « escape game », qui se joue à plusieurs, en temps réel, en coopération et dans un vrai laboratoire a été installé en novembre à l’Institut de psychiatrie et de neurosciences de l’université Paris-Descartes.
Le scénario fictif (on n’en est qu’au début des recherches sur les organoïdes) est censé se dérouler en 2064, année, qui, ce n’est pas un hasard, marquera le 100e anniversaire de l’Inserm.
H24, la nouvelle série médicale de TF1 avec Anne Parillaud et Frédérique Bel, a reçu quelques critiques plutôt acides de la part des professionnels de la santé. Ces derniers ont relevé de multiples erreurs dès le premier épisode.
L’annonce d’une épidémie provoquée par un nouveau coronavirus venu de Chine a provoqué une ruée vers les masques chirurgicaux, en pharmacie et sur Internet. Influencés par des informations contradictoires, les acheteurs espèrent se protéger de l’infection. Ce n’est pourtant pas la mesure de prévention la plus efficace.
Les pharmacies des grandes villes disent avoir été dévalisées et les prix s’envolent sur les sites de e-commerce comme Amazon. Les masques chirurgicaux sont au cœur de toutes les attentions depuis l’annonce d’une épidémie causée par une nouvelle souche de coronavirus (nCOV) venue de Chine. Les acheteurs sont des personnes en bonne santé qui voyagent vers la Chine, ses pays voisins, ou simplement des inquiets restant en métropole. Mais ces masques sont-ils vraiment utiles ? La question mérite une réponse nuancée selon la situation.
LORSQU’ON NE PRÉSENTE PAS DE SYMPTÔMES : INUTILE POUR SE PROTÉGER
Les différentes agences sanitaires présentent un front unanime. Le port d’un masque de protection est inutile, même chez les personnes à haut risque de complications. En effet, plusieurs essais cliniques ont été menés. Ils n’ont pas réussi à démontrer l’efficacité des masques chirurgicaux, portés par les professionnels de santé lors des soins ou des opérations. Les tests effectués avec les modèles plus sophistiqués (FFP), équipés d’un dispositif de filtration et couvrant le bas du visage, ont aussi échoué. De fait, les infections respiratoires ne se propagent pas uniquement par les gouttelettes de salive, mais aussi par les mains, ce qui rend ces masques insuffisants, face à un coronavirus comme face à une grippe saisonnière.
Le scandale des diesels truqués chez Volkswagen, l'effondrement de l’usine textile Rana Plaza au Bangladesh… L'histoire de la mondialisation est pavée de drames et de scandales. Lorsqu'elles ne sont pas emportées par le tsunami, les entreprises tentent d'éviter les risques, de protéger leur réputation. Comment ? En mesurant leurs impacts sur la société et l'environnement. C'est ce qu'on appelle la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Une sorte de "psychothérapie" que les entreprises norvégiennes pratiquent intensément.
Le récent tollé provoqué par le refus du gouvernement d'allonger le congé des parents endeuillés, vient rappeler, s’il en était besoin, à quel point la question de la durée du deuil est sensible. Comment percevons-nous sa temporalité ? Combien de temps faut-il pour “réparer les vivants” ?
Neuf Français sur dix vivent, ou ont vécu, un deuil qui les a particulièrement affectés, d'après une étude du Credoc publiée en 2019.• Crédits : Yin Yang - Getty
Choc, démarches administratives, organisation des obsèques et surtout, une immense peine… Combien de temps dure le deuil ? Cette question s’est récemment immiscée dans l’actualité. Jeudi 30 janvier, l’Assemblée nationale se penchait sur la proposition du député UDI-Agir Guy Bricout d’amender l'article du Code du travail fixant la durée du congé accordé par les entreprises en cas de décès d'un enfant. Estimant que l’actuelle parenthèse de cinq jours proposée n’était pas suffisante pour “reprendre pied”, le député proposait de la fixer à douze jours : "Six jours pour s’occuper des obsèques, la tête dans le malheur, et six autres pour tâcher de reprendre un peu son souffle et penser à l’avenir.”
Cette année, un père de famille américain va utiliser la thérapie antisens pour sauver la vie de sa petite fille, atteinte d’une maladie génétique rare. Une solution qui pourrait être amenée à se développer. Un article à retrouver dans notre nouveau hors-série Le Monde en 2020.
Il était fondamental pour l’établissement de trouver du personnel afin de fonctionner correctement. Pari tenu et gagné, même si les équipes manquent encore de bras un an et demi après l’ouverture officielle.
C
omme dans beaucoup d’autres professions, médicales comprises, pas simple de recruter quand on est collé à la Suisse.
De surcroît, « la difficulté de trouver des soignants est la même sur tout le territoire français aujourd’hui, constate Philippe Abbadi, le directeur de la clinique psychiatrique de Valserhône. C’est pareil partout, autant dans les hôpitaux, que dans les Ehpad… Les jeunes ne sont plus attirés par ces métiers. Ce sont des professions qui ne sont pas valorisées, elles fonctionnent en roulement, il faut travailler le soir… »