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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 26 mars 2019

Prendre soin

LES PIEDS SUR TERRE par Sonia Kronlund

19/10/2018
28 MIN


Hella, Pauline, Farida et Murielle sont aides-soignantes dans une maison de retraite médicalisée (Ehpad) à Marseille.

 Crédits : Pascale Pascariello - Radio France

En sous-effectif, avec un manque de matériel, des cadences de travail insoutenables, Hella, Pauline, Farida et Murielle ont décidé de sortir du silence et d'alerter sur leurs conditions de travail et la maltraitance dans cet établissement où résident quatre-vingt-onze retraités.
« Les gens payent la maltraitance et la mort de leurs parents. »
Pour elles, l’organisation du travail dans cet EHPAD ne peuvent conduire qu’à maltraiter des patients. Avec deux aides-soignantes de nuit pour quatre-vingt-onze résidents, elles estiment être largement en sous-effectif. Si bien que parfois des accidents arrivent. 
« Pour les dirigeants, les résidents ne sont pas des patients. Ce sont des clients ». 

Ils militent pour une psychiatrie humaniste

Publié le 


  • L'équipe de «Psy'Causent» défend une psychiatrie humaniste. / DDM
L'équipe de «Psy'Causent» défend une psychiatrie humaniste. / DDM
Dans le cadre de la semaine d'information sur la santé mentale, une projection débat sur le film «Nous les intranquilles» est ouverte au grand public, ce lundi 25 mars, à 19 h 30, au Chai des Clauzades. L'association Les Psy'Causent et l'Unafam 81 proposent cette soirée.
«Les Psy'Causent» créée il y a 10 ans par quatre soignants du centre hospitalier Pinel est un lieu de réflexion, d'échanges et de transmission pour défendre et promouvoir une psychiatrie humaniste.
«Nous prenons appui sur des soins relationnels respectueux des patients, de leur singularité, de leur citoyenneté, de leur histoire et de leur environnement social et familial», souligne Virginie Perilhou, sa présidente. «Une psychiatrie fondée sur un accueil inconditionnel de la souffrance psychique, sur l'hospitalité, sur une attention soutenue accordée à chacun», ajoute-t-elle. Du sur-mesure avec une psychiatrie artisanale celle des petits riens, des petites attentions. Des soins psychiques cousus main qui sont clairement différents d'un prêt-à-porter standardisé.

L'auteur de cette BD sur le suicide d'un enseignant se confie

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Par Valentin Etancelin  25/03/2019

Dans "Cas d'école, l'histoire de Jean", Christophe Tardieux a voulu raconter l'histoire de Jean Willot telle qu'elle a été vécue par le corps enseignant.


L'heure est à la mobilisation. Jean Willot, un enseignant du Val-d'Oise soupçonné de violence sur l'un de ses élèves, s'est donné la mort, vendredi 15 mars, après avoir appris qu'une plainte avait été déposée contre lui. Depuis, ses collègues réagissent. Sur les réseaux sociaux, ils sont vent debout contre le silence de leur hiérarchie au sein de l'Éducation nationale.
C'est aussi sur les réseaux sociaux que Christophe Tardieux, lui-même professeur des écoles dans la ville de Tremblay-en-France en Seine-Saint-Denis, s'est informé de la suite de l'affaire, révélée au grand jour par Le Parisien peu de temps après le suicide de son confrèreSur Facebook, il est membre de plusieurs groupes privés sur lesquels il échange avec des gens de son milieu professionnel.
D'après lui, la parole et l'indignation du corps enseignant ont été muselées. "Les articles ne parlent pas de leur rapport aux parents ou à leur subordination", estime ce dernier, contacté par Le HuffPost. Cette colère, il a voulu la retranscrire. Il s'est servi des divers témoignages qu'il a récoltés sur le réseau social pour raconter le récit du côté des profs, sous la forme d'une courte bande dessinée sensible et percutante. Elle s'intitule Cas d'école, l'histoire de Jean et se consulte ci-dessous.
Depuis sa publication, vendredi 22 mars, c'est un carton. Elle a été partagée plus de 76.000 fois et compte plus de 22.000 réactions. "C'est hallucinant, je ne m'y attendais pas du tout", confie son auteur. C'est la première fois que l'une de ses bandes dessinées connaît un tel succès. Pour lui, ce n'est pas anodin.

Psychologues sous contraintes: laissez-nous faire notre travail !

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QUEBEC

25/03/2019

Il faut prévenir l’instauration d’une approche «quick fix» ou industrialisée et d’une vision naïve des problèmes de santé mentale.


Pour ceux qui auront accès à la psychothérapie, le plafond de 15 entrevues semble le score à la mode actuellement.
MASKOT VIA GETTY IMAGES
Pour ceux qui auront accès à la psychothérapie, le plafond de 15 entrevues semble le score à la mode actuellement.

Conte à délirer

Imaginez le scénario. On demande dorénavant aux chirurgiens cardiaques de limiter leurs interventions en termes de durée. Après un court délai fixe et préétabli, ils doivent recoudre le patient, fini, pas fini. S'il y a trois pontages à faire, il ne faut faire que le plus urgent, voire ne faire qu'une partie de celui-ci.
On peut imaginer les réactions de ces professionnels et de la population si ce scénario était vrai. Et bien, c'est pourtant ce qu'on demande aux psychologues. Par ignorance de la nature réelle de l'acte professionnel qui s'appelle «psychothérapie», ramenant le tout à de la simple jasette, ou un petit «quick fix», on peut comprendre que nombre de gestionnaires et de décideurs publics aient facilement le réflexe de réduire la jasette. Signes d'ignorance. Et de conception réductrice et mécanisée de l'être humain.

Les séquelles des compressions sauvages

Les psychologues du réseau public se voient de plus en plus contraints à réduire leurs durées de suivi comme solution au problème des listes d'attente qui s'allongent. Je crois sincèrement que les psychologues sont victimes de leur «popularité», soit de la solide réputation qu'ils se sont taillée en première ligne publique au fil des ans.

Il y a une trentaine d'années, dans la foulée de la désinstitutionnalisation et des nouvelles politiques de santé mentale, les premières équipes de santé mentale se mettaient en place dans les CLSC. Depuis ce temps, la population qui a pu profiter des services psychologiques là où ils étaient implantés a été à même d'en constater les bienfaits et de répandre la nouvelle.

Obésité, alcool, nutrition : comment le gouvernement veut faire de la prévention

Les mesures, notamment pour favoriser une activité physique et une alimentation plus saine, restent assez floues.
Par Pascale Santi et Mathilde Gérard Publié le 26 mars 2019
Prévenir le surpoids et l’obésité, favoriser l’activité physique des Français et une alimentation plus saine : le premier ministre, Edouard Philippe, réunissait, lundi 25 mars, un comité interministériel sur la santé, à l’issue duquel ont été présentées quelques dizaines de mesures de prévention. Alors que l’obésité touche 17 % de la population adulte, un pourcentage qui masque des disparités sociales et territoriales très fortes, le gouvernement énonce pour la première fois des objectifs chiffrés de réduction de la prévalence de cette maladie chronique : d’ici à 2023, celle-ci devra avoir diminué de 15 % chez les adultes et de 20 % chez les enfants et adolescents.
Ces objectifs, jugés très ambitieux par plusieurs spécialistes, sont surtout l’occasion pour l’exécutif de définir une nouvelle feuille de route, neuf ans après le précédent « plan obésité 2010-2013 ». « L’obésité paraît comme une fatalité, alors que c’est une porte d’entrée pour beaucoup de pathologies, note le professeur Olivier Ziegler, coordinateur du Centre spécialisé de l’obésité de Nancy. C’est une maladie complexe, qui nécessite une approche globale, dont on peut tirer des enseignements pour les cancers, les diabètes… »

La Drees publie 20 indicateurs pour mesurer l’efficacité des politiques de santé

Amandine Le Blanc
| 26.03.2019


comité interministériel
GARO/PHANIE

Au lendemain de la réunion du Comité interministériel pour la Santé(CIS) qui a présenté les 25 mesures phares de sa politique de prévention, c'était au tour, ce mercredi, de la Drees de dévoiler 20 indicateurs pour mesurer l’efficacité des politiques publiques dans le cadre de la Stratégie nationale de santé (SNS) 2018-2022. « Le suivi de cette sélection restreinte d’indicateurs permettra à tous d'apprécier, de manière transparente, leurs évolutions, sur les axes prioritaires des politiques de santé », promet la Direction du ministère de la Santé.

L’INSPECTION DU TRAVAIL ATTEINTE PAR UNE VAGUE DE SUICIDES

Loan Nguyen    25 Mars 2019

Les syndicats et le ministère du Travail ont recensé douze suicides ou tentatives de suicide en moins de deux ans dans les services de l’inspection. Des enquêtes sont en cours pour établir un éventuel lien avec les conditions de travail.

La loi de santé adoptée par les députés, ce que vous devez retenir





vote loi sante
Crédit Photo : S. Toubon

Après une semaine de débat acharné et l'examen de plus 2 000 amendements déposés, les députés ont adopté − avec 349 voix pour et 172 voix contre − ce mardi après-midi en première lecture le projet de loi de santé. Le Sénat prendra le relais mi-mai, précise la direction générale de l'offre de soins (DGOS, ministère). Florilège des mesures phares pour les médecins.

La réalité virtuelle pour comprendre la schizophrénie

Sophie Coisne
| 18.03.2019




  • schizolab
Dans la nouvelle version du schizolab, le praticien s’entraîne à la...
Crédit Photo : DR

À la veille des Journées de la schizophrénie, le laboratoire Janssen a présenté la nouvelle version de son expérience de réalité virtuelle Schizolab. Elaborée en partenariat avec le psychiatre rennais David Travers et l’Union nationale de familles et amis de personnes malades (Unafam), cette expérience vécue à l’aide d’un casque de réalité virtuelle a été conçue pour deux cibles : le grand public et le psychiatre.

Manifestation "Les psys en ont assez" : grève le mardi 26 mars, au centre hospitalier Daumézon, à Fleury-les-Aubrais

La Republique de Centre

Publié le 25/03/2019

"Les psys en ont assez" : grève le mardi 26 mars, au centre hospitalier Daumézon, à Fleury-les-Aubrais
En mai 2018, à Orléans, manifestation "pour donner un avenir à la fonction publique". Photo d'archives

Ses revendications portent sur les conditions de travail : une intersyndicale CGT et Sud de l'établissement public de santé mentale Georges-Daumézon, à Fleury-les-Aubrais, a adressé un préavis de grève. Il est valable à partir de minuit, mardi 26 mars. "Les psys en ont assez de cette maltraitance institutionnelle" : au titre de la section Sud et du syndicat CGT, un préavis de grève allant du mardi 26 mars (minuit), au lendemain (7 heures), a été adressé au directeur de l'établissement public de santé mentale (EPSM) Georges-Daumézon, à Fleury-les-Aubrais.

Schizophrénie : une maladie au quotidien

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publié le 

Schizophrénie : trois infos indispensables pour comprendre

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publié le 

En prison, jusqu'à un quart des détenus atteints de troubles psy graves, mais des soins défaillants

26.03.19

Zonzon.
Jusqu'à 25% des 70 000 détenus présentent des maladies psychiatriques lourdes. Ils ne devraient pas être en prison, mais soignés en psychiatrie, d'autant que le système de soins pour les détenus présente de graves défaillances, selon des observateurs. Pour Adeline Hazan, contrôleure générale des lieux de privation de liberté, 70% des détenus souffrent de troubles psychiatriques, dont des troubles anxio-dépressifs, et parmi eux, entre 20 et 25% présentent des pathologies lourdes dont la psychose, la schizophrénie, «des pathologies qui ne peuvent que s'aggraver en détention».

«Il ne faut pas avoir peur» : l’appel de Nathalie Baye contre les préjugés sur la schizophrénie

Elsa Mari|26 mars 2019


Nathalie Baye signe la préface du livre «Des lumières sur le ciel», qui raconte le combat d’une mère pour son fils, diagnostiqué schizophrène à 17 ans. Bestimage/Guillaume Gaffiot

L’actrice Nathalie Baye s’engage pour en finir avec les idées reçues sur cette pathologie qui touche 670 000 personnes en France.

Elle le répète avec conviction. Notre regard sur la maladie mentale, qui enferme les familles, peut changer. Nathalie Baye, dont la fille Laura Smet a déjà été hospitalisée en psychiatrie, ne le sait que trop bien.

lundi 25 mars 2019

Psychotrauma : un centre national pour une prise en charge « tout au long de l’histoire traumatique »





chu lille
Crédit Photo : S. Toubon


Améliorer la prise en charge des victimes de psychotraumatisme, quelle que soit sa source (attentats, violences sexuelles ou physiques, épreuves migratoires, catastrophes naturelles ou encore tentatives de suicide) : telle est la vocation d’une structure, qualifiée d’« unique au monde » par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, inaugurée au CHU de Lille vendredi dernier et annoncée au Journal Officiel samedi.

Mécanismes impliqués dans l'insomnie : de nombreux gènes et des cellules spécifiques identifiés

Charlène Catalifaud
| 25.02.2019


Une équipe internationale a identifié de nombreux variants génétiques impliqués dans l'insomnie et apporte un nouvel éclairage sur les mécanismes cellulaires et tissulaires en jeu. Cette étude est publiée dans « Nature Genetics ».
« Il s'agit de la plus grande étude d'association génétique sur l'insomnie incluant plus de 1,3 million d'individus », indique au « Quotidien » Danielle Posthuma, auteure senior de l'étude.

Une nouvelle « pilule pour homme » passe les premiers tests de sécurité

Damien Coulomb
| 25.03.2019



Contraception homme
Crédit Photo : PHANIE

Une pilule contraceptive pour homme vient de passer avec succès l'étape de l'étude de phase I, selon des données présentées aujourd'hui au congrès de la société américaine d'endocrinologie, ENDO 2019.
La 11β-methyl-19-nortestosterone 17β-dodecylcarbonate (11β-MNTDC) en prise orale a une double activité androgénique et progestogénique : une fois métabolisée en 11β-methyl-19-nortestosterone (11β-MNT), elle se lie à la fois aux récepteurs des androgènes et aux récepteurs de la progestérone, supprimant ainsi la production de gonadotrophine.
Selon des travaux in vitro menés par les chercheurs de l'institut de recherche Biomed de Los Angeles, le 11β-MNT a une affinité 10 fois supérieure pour les récepteurs aux androgènes que la dihydrotestostérone (DHT)

Les bugs de l’intelligence artificielle

Par David Larousserie    Publié le 25 février 2019

Les succès de l’IA dans les domaines les plus divers, de la conduite automatique au diagnostic médical, feraient presque oublier qu’elle reste faillible.


Côté face, tout va bien pour l’intelligence artificielle, surtout pour son volet dit d’apprentissage automatique (ou statistique). Depuis le début des années 2010, elle vole de succès en succès. Ses algorithmes battent les humains au jeu de go, aux échecs, au poker, au casse-briques ou aux jeux d’arcade. Ils conduisent des voitures autonomes sur des milliers de kilomètres (presque) sans accident mortel. Commandés par la voix, ils lancent des flux radio, des achats en ligne, des bulletins météo… Ils diagnostiquent mieux que les médecins.
Côté pile, c’est moins riant. « Je ne ferais pas confiance à une très grande partie des découvertes en cours qui recourent à de l’apprentissage automatique appliqué à de grands ensembles de données », a prévenu le 15 février Genevera Allen, de l’université Rice, lors du congrès annuel de l’Association américaine pour l’avancement de la science, comme le rapporte le Financial Times. Dans leurs articles de recherche ou dans des tribunes publiées dans les médias, des spécialistes parlent d’« intelligence artificielle trompée », de « failles dans l’apprentissage automatique », de « crise », de « trouble profond »

Généalogie : grâce au numérique et à l’ADN, les Français se prennent de passion pour leurs origines

La quête des origines n’a jamais fait autant d’adeptes. Près de sept Français sur dix ont déjà entrepris des recherches sur leur famille.
Par Catherine Rollot Publié le 15 mars 2019

Selon la Fédération française de généalogie (FFG), cinq millions de personnes pratiquent ce loisir.
Selon la Fédération française de généalogie (FFG), cinq millions de personnes pratiquent ce loisir. MASAHISA FUKASE ARCHIVES / EDITIONS XAVIER BARRAL

Plusieurs fois par semaine, Stéphanie Gamois part à la pêche. Mais nul besoin de descendre sur les rives du Fessard, la rivière qui traverse Oizé, le paisible bourg sarthois où elle s’est installée avec mari et enfants, pour avoir une touche. C’est de son ordinateur qu’elle ferre ses prises. Dans ses filets, déjà 3 400 spécimens, attrapés en remontant le cours de son histoire familiale sur Internet « jusqu’en 1576 ».
A 42 ans, l’agente technique de la police nationale fait partie de ces passionnés qui reconstituent les ramifications de leur arbre généalogique. Le soir, le week-end, et même à la pause déjeuner, sa tablette est de sortie pour mettre un nom sur le visage d’un aïeul, compléter une génération ou localiser une ­lignée. « C’est devenu un challenge entre mon mari et moi : qui va trouver quelque chose de nouveau le premier ? » Le couple a quelques mystères à percer, comme la présence incongrue d’enfants dans une lignée qui n’était pas censée en avoir.

Vers un droit opposable au médecin traitant ?

Paris, le vendredi 15 mars 219 – Les députés, réunis en commission des affaires sociales, ont adopté, hier, le projet de loi de santé, qui sera examiné en séance plénière à partir de la semaine prochaine.
Parmi les mesures qui seront discutées, un amendement qui prévoit un droit opposable au médecin traitant suscitera sans doute de nombreux commentaires.
Trois textes identiques avaient été déposés par des députés LREM d’une part et du groupe Les Républicains (LR) d’autre part.
Alors que « 8,6 % des assurés de plus de 16 ans n'ont pas de médecin traitant déclaré », ces élus proposent qu’un patient qui en est dépourvu puisse saisir le conciliateur de sa CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie) « afin qu'un médecin traitant lui soit désigné parmi une liste de son ressort géographique ». « Cet amendement a donc pour but de rendre opposable l'accès au médecin traitant pour tout assuré qui en fait la demande et qui effectue des démarches auprès de l'organisme gestionnaire » précise Bernard Perrut (LR, Rhône).

MYC2CARE UNE PLATEFORME D'ESSAI GRATUITE POUR DÉCOUVRIR DES LOGICIELS DE RÉALITÉ VIRTUELLE POUR CHAQUE PROFESSIONNEL DE SANTÉ

Publié le 19 Février 2019




MyC2Care une plateforme d'essai gratuite pour découvrir des logiciels de réalité virtuelle pour chaque professionnel de santé

Leader dans le développement de logiciels thérapeutiques en réalité virtuelle, la Start up française C2Care a lancé, depuis Février, la plateforme MyC2Care. Cet espace permet de se connecter et de découvrir tous les environnements de réalité virtuelle C2Care pour le traitement des phobies, des troubles du comportement alimentaire, des addictions, et des troubles anxieux.

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