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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 29 novembre 2018

[VIDEO] Le combat d’un généraliste pour une loi contre les violences éducatives

Amandine Le Blanc
| 28.11.2018



Enfant et peluche
Adobe Stock / dmitrypk

Claque de fin pour les violences éducatives ordinaires ? Ce jeudi 29 novembre à l’Assemblée, les députés devront se prononcer sur une proposition de loi qui prévoit l’interdiction des châtiments corporels, des brimades, des humiliations verbales et psychologiques envers les enfants. Fessée, gifle etc ne devraient plus avoir droit de cité au sein du domicile familial. C’est en tout cas ce qu’espère Maud Petit, députée Modem du Val-de-Marne, à l’origine de la proposition de loi. « Au-delà de l’éducation, c’est une histoire de droit », souligne-t-elle. En l’occurrence de droit de l’enfant.

Télémédecine : des consultations de spécialistes sans quitter la prison

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Des projets de télémédecine se développent entre des hôpitaux et des lieux de détention. Outre le fait que ces consultations à distance évitent les « extractions » de détenus, coûteuses, risquées et mal vécues, elles améliorent leur accès aux soins. Les infirmiers y participent activement. Article initialement paru dans le n°28 d'ActuSoins Magazine (mars 2018).


La sédation, issue floue pour la fin de vie

Par Eric Favereau — 
Dans le service de soins palliatifs de l’hôpital de Saint-Malo.
Dans le service de soins palliatifs de l’hôpital de Saint-Malo. Photo Fabrice Picard. Vu  

Introduit par la loi Claeys-Leonetti de 2016, ce droit visant à éviter la souffrance des patients n’ayant plus de perspectives de guérison reste sous-utilisé, montre un rapport publié mercredi. Nombre de soignants y voient en effet un début d’euthanasie.

Une histoire comme il en arrive parfois. Une femme de 92 ans, atteinte d’un cancer. Sa chimio ne donne plus de résultats, un traitement de confort est décidé. La patiente a dit récemment qu’elle voulait mourir chez elle et ne plus avoir de traitement. «Maintenant, c’est le moment», a-t-elle précisé à son médecin généraliste, qui décide de lui prescrire «une sédation profonde et continue jusqu’au décès»,comme le lui permet la loi Claeys-Leonetti de février 2016. Cela porte un sigle impossible - une SPCJD - mais c’est la grande innovation de cette loi : endormir jusqu’au décès. «Les proches de la patiente étaient présents. Elle est morte quarante-huit heures après», raconte cette médecin, qui reconnaît néanmoins que ce n’est pas simple et qu’elle doit, en général, «se débrouiller». Il n’empêche, la praticienne a pu donner suite au souhait de sa patiente.

17e Colloque SMP : « Et la santé ? Quoi de neuf ? »

SMP

« Et la santé ? Quoi de neuf ? »

Vendredi 22 mars 2019 de 18:00 à 21:30
Samedi 23 mars 2019 de 08:30 à 18:00

Lieu : École des Mines de Paris
60 bd Saint Michel, Paris 6e


La santé est, plus que jamais, la grande question de notre quotidien. Quoi de neuf du côté des maladies et de leur traitement ? Beaucoup de mutations dans le système de santé : télémédecine, télé-expertise, dispositifs de soins et de recherche repoussent les limites actuelles de la pensée avec l’usage du numérique. Les relations entre les différentes catégories de professionnels se reconfigurent et leurs identités professionnelles connaissent des transformations.
Quoi de neuf pour les patients et pour leurs familles face au renouvellement des modes de prise en charge et d’hospitalisation ? L’accès élargi aux connaissances médicales leur permettra-t-il de se faire davantage acteurs de leur parcours dont la médecine, de son côté, souhaite rassembler et gérer les données ? 

mercredi 28 novembre 2018

Achète-t-on des choses en promotion pour combler notre peur du vide ?

Entre le « Black Friday », les soldes et les multiples opérations promotionnelles, nous sommes entourés de signaux nous poussant à l’achat. Métaphysique des soldes, avec Thomas Schauder, professeur de philosophie.
Publié le 28 novembre 2018

Temps de
Lecture 4 min.    Quel est ce vide que le « Black Friday » vient combler ?

Quel est ce vide que le « Black Friday » vient combler ? DAMIEN MEYER / AFP
Chronique Phil’d’actu, par Thomas Schauder. En 1714, Leibniz écrit dans les Principes de la Nature et de la Grâce : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Car le rien est plus simple et plus facile que quelque chose. » On pourrait penser que ce problème métaphysique est purement abstrait. Qu’il est très éloigné de la vie « réelle » des gens, davantage préoccupés par l’augmentation du prix du gazole que par la philosophie.
On aurait tort. Ne vous êtes-vous jamais demandé, alors que vous supprimiez les spams de votre boîte e-mail ou que vous erriez dans les rayons d’un grand magasin, l’esprit engourdi par la musique répétitive et les couleurs criardes, quelle était la raison de tout cet étalage de biens matériels ? Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi existe-t-il un « support pour lunettes en bois de rose »plutôt que… rien ?

La liberté est-elle le pouvoir de choisir ?

Je me souviens de la première fois où je me suis posé cette question. C’était dans mon supermarché, au rayon moutardes. Je suis resté paralysé par la difficulté de choisir. Car, finalement, qu’est-ce qui différencie vraiment telle marque plutôt que telle autre ? Quel critère permettrait d’être sûr et certain de ne pas passer à côté de « la » moutarde, celle qui changera votre expérience gustative irrémédiablement ? C’est alors que la question s’est posée : pourquoi y a-t-il cinq, dix, quinze marques de moutarde différentes ? Est-ce cela la liberté : le pouvoir de choisir sa moutarde au lieu de subir la dictature de la moutarde unique ?

Crise de la psychiatrie, comment les familles la vivent-elles ?

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DÉBAT Les points de vue d’Anne Salmon, membre de l’Unafam (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques) et vice-présidente de la Commission des usagers de l’hôpital Pinel à Amiens, et de Léamère d’un garçon schizophrène.

Des professionnels de l’hôpital Pinel, à Amiens, manifestent pour plus de moyens dans les soins aux malades en psychiatrie, le 3 novembre 2018.
ZOOM 
Des professionnels de l’hôpital Pinel, à Amiens, manifestent pour plus de moyens dans les soins aux malades en psychiatrie, le 3 novembre 2018. / Fred Douchet/Le Courrier Picard/MaxPPP

■ « Des chambres sur-occupées et des médecins usés »


Anne
 Membre de l’Unafam (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques) et vice-présidente de la Commission des usagers de l’hôpital Pinel à Amiens
« Cette crise est aiguë à l’hôpital Pinel d’Amiens. En juin, une unité d’hospitalisation y a été fermée. C’était le 4e en quatre ans. En quelques années, cet hôpital a perdu un tiers de ses lits. Résultat, les chambres sont souvent suroccupées. On met 3 patients dans des chambres de 2, ce qui ne facilite pas le repose et des prises en charge sereines. À cause de ce manque de moyens mais aussi faute d’un véritable projet médical, les psychiatres s’usent et finissent par s’en aller, le plus souvent sans être remplacés (1).

Robert Badinter et les mondes disparus

LA GRANDE TABLE IDÉES par Olivia Gesbert
27/11/2018
34 MIN

Comment écrire la mémoire familiale et à travers elle celle des juifs en Europe et en France ? Ecrire sur ce monde disparu : le Yiddishland de l'empire tsariste ? Comment écrire avec force l'amour d'un petit-fils ? Avec Robert Badinter, ancien garde des Sceaux, pour "Idiss" (Fayard, 2018).
Robert Badinter
Robert Badinter Crédits : JOEL SAGET - AFP
Après une vie de barreau et de chancellerie, Robert Badinter a mis de côté ses sujets de prédilection, le travail et la loi, les prisons, l’abolition, l’indépendance de la justice, le sens de la peine… pour en revenir aux origines d’une vie, à l’enfance, la sienne, marquée par la figure de sa grand-mère maternelle : Idiss , titre de ce livre témoignage qui parait chez Fayard. 
Témoigner comme une dette dont on s’acquitte envers ceux qui nous ont précédés… Témoigner aussi pour se souvenir et pour transmettre l’histoire d’un monde disparu. 
Je suis retourné en ces lieux déserts où il n'y avait plus de juifs, plus de synagogues (...) C'est un monde qui a été délibérément assassiné. Robert Badinter sur sa visite en Bessarabie, la région de sa grand-mère.

Pour comprendre la série "Hippocrate", accrochez-vous (mais ça vaut le coup)

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Par Lauren Provost     26/11/2018 


Le réalisateur-médecin Thomas Lilti est de retour sur Canal+ avec une série de 8 épisodes, montrant des internes lâchés dans un service sans titulaire.


Le réalisateur de "Médecin de campagne" et "Première année" propose cette fois-ci une série courte sur Canal+. On y retrouve (comme ici de gauche à droite) Zacharie Chasseriaud, Louise Bourgoin, Karim Leklou et Alice Belaïdi.
CANAL PLUS
Le réalisateur de "Médecin de campagne" et "Première année" propose cette fois-ci une série courte sur Canal+. On y retrouve (comme ici de gauche à droite) Zacharie Chasseriaud, Louise Bourgoin, Karim Leklou et Alice Belaïdi.
SÉRIES - Bonne nouvelle pour les amateurs du cinéma médical de Thomas Lilti. Le réalisateur d'"Hippocrate", "Médecin de campagne" et "Première Année" s'attaque, à partir de ce lundi 26 novembre, aux difficultés de l'internat à travers une série de 8 épisodes de 52 minutes pour Canal+.
"Hippocrate" (comme son premier film) se déroule dans un hôpital public. Suite à des mesures sanitaires, les médecins titulaires du service de médecine interne se retrouvent confinés chez eux, en quarantaine. Trois internes inexpérimentés et un médecin légiste, qui ne se connaissent pas encore, vont devoir gérer seuls le service et les malades.

Violences faites aux femmes : la plateforme de signalement en ligne est lancée

Elsa Bellanger
| 27.11.2018


Deux jours après la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, la plateforme de signalement en ligne des violences sexistes et sexuelles était officiellement lancée ce matin. Pas moins de quatre membres du gouvernement, les ministres Nicole Belloubet (Justice) et Christophe Castaner (Intérieur), accompagné de son secrétaire d’État, Laurent Nuñez, ainsi que Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, se sont déplacés, à cette occasion, à Guyancourt (Yvelines), dans un des deux commissariats, aux côtés de celui de Rennes, où seront installés les 36 policiers et gendarmes, formés pour recueillir les appels et orienter les victimes.

EDEN : premier préservatif remboursé par la Sécurité sociale

Hélia Hakimi-Prévot
| 27.11.2018



preservatifs
Crédit Photo : PHANIE

Médecins spécialistes, généralistes et sages-femmes peuvent désormais accroître leur marge de manœuvre en matière de prévention des infections sexuellement transmissibles en prescrivant un préservatif pris en charge par l'Assurance-maladie.

Nofakemed : « Il y a des enjeux corporatistes dans ce mouvement »

Pour Alexandre Klein, docteur en philosophie et histoire des sciences, la virulence du collectif Fakemed traduit un symptôme du mal-être croissant de certains médecins.
Propos recueillis par Sandrine Cabut Publié le 27 novembre 2018

Temps deLecture 4 min.   Docteur en philosophie et histoire des sciences, Alexandre Klein est chercheur postdoctoral au département des sciences historiques de l’université Laval (Québec). Ses travaux portent en particulier sur l’histoire de la médecine contemporaine, de la psychologie et de la psychiatrie.

Le mouvement #nofakemed est très virulent contre les médecines complémentaires. Y a-t-il des antécédents dans l’histoire de la médecine ?

Depuis la Révolution française, à chaque fois que le corps médical a voulu s’affirmer et s’unifier, il s’est trouvé des ennemis qu’il a appelés « charlatans » pour mieux se définir en opposition. A une époque, ce furent les guérisseurs, à d’autres les sages-femmes ou les officiers de santé… Le travail d’exclusion des autres soignants a été particulièrement actif au XIXe siècle, lorsque la médecine a œuvré pour acquérir le monopole de la santé.

La stratégie du président,« Ma santé 2022 », n’est pas un plan de santé durable

Dans une tribune adressée au « Monde », un collectif déplore que l’offre de transformation du système de santé présentée en septembre par Emmanuel Macron n’est qu’une succession de mesures d’urgence.
Par Collectif Publié le 28 novembre 2018

Temps de
Lecture 3 min.   Tribune. Ce qu’a présenté le président de la République, en septembre, est moins un plan portant sur le système de santé pour les cinquante prochaines années qu’une série de mesures d’urgence, assorties de quelques perspectives encourageantes et d’une reformulation de mesures déjà prises, manquant de cohésion.

Il est nécessaire et possible de faire mieux rapidement. Sans prétendre à l’exhaustivité, nous estimons indispensables les démarches suivantes.

SANTÉ ETHIQUE ET FOI 2019 : SANTÉ, MÉGADONNÉES ET LIBERTÉ INDIVIDUELLE

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Journée d’étude pour les professionnels de la santé


Le recueil des données de santé à très grande échelle sur un support numérique est vu comme un authentique progrès médical.
Cela pourrait favoriser une médecine personnalisée et des politiques de santé publique, incluant la prévention et le traitement à distance (télémédecine, e-santé). La gestion de ces mégadonnées pose cependant des questions juridiques et éthiques quant au respect de la liberté individuelle, essentiellement en termes de consentement, de maintien du secret médical et de protection de la vie privée. Elle met également en tension économie de la promesse et médecine soignante. Comment éviter le mirage de la « santé parfaite » au prix de l’abdication de sa liberté ?

Quand le patient ignore servir de cobaye pour une prothèse de hanche

« Implant Files ». Le laboratoire Ceraver a mené des essais cliniques illégaux en implantant une prothèse d’un nouveau type, censée annihiler les infections post-opératoires.
Par Emeline Cazi Publié le 28 novembre 2018

Temps deLecture 8 min.   Vitrine avec prothèses au stand Ceraver pendant le congrès de la Société française de chirurgie orthopédique et traumatologique (Sofcot) en novembre 2018 au Palais des Congrès à Paris.
Vitrine avec prothèses au stand Ceraver pendant le congrès de la Société française de chirurgie orthopédique et traumatologique (Sofcot) en novembre 2018 au Palais des Congrès à Paris. Nicola Lo Calzo pour Le Monde
Daniel Blanquaert n’est ni médecin ni chirurgien, mais, chaque jour, depuis son bureau de Roissy d’où il voit décoller les avions, il se rêve en cador des blocs opératoires. Le PDG de Ceraver, dont les prothèses de hanche, de genou et d’épaule made in France ont plutôt bonne réputation, est certain, en ce printemps 2011, que sa nouvelle prothèse de hanche, l’« Actisurf », mise au point par une chercheuse du CNRS avec laquelle il s’est associé, va révolutionner la médecine. Terminées les reprises d’opération pour cause d’infection. Pour la première fois, un moyen a été trouvé pour que les bactéries, ces bêtes noires des chirurgiens, ne collent pas à la tige implantée dans le corps du patient.
Les études réalisées sur des lapins sont bonnes, les greffes sur les brebis concluantes, lui a expliqué la professeure Véronique M., du laboratoire de Villetaneuse, en Seine-Saint-Denis. Voilà plus de vingt ans que cette ingénieure en matériaux travaille à recouvrir une prothèse en titane d’un film antibactérien. Une fois les derniers tests sur animaux effectués, les essais cliniques sur l’homme vont pouvoir débuter. Mais le patron de Ceraver ne l’entend pas de cette oreille. Ses concurrents américains et européens lorgnent sur le brevet, il ne faut pas traîner.

Millau : pour le docteur Delion, "les ministères n’en ont rien à cirer de la psychiatrie"

Publié le 


Le docteur Pierre Delion entouré d'une partie du pôle psychiatrie de l'hôpital de Millau.
Le docteur Pierre Delion entouré d'une partie du pôle psychiatrie de l'hôpital de Millau. - V. G.

Le Dr Delion était à Millau la semaine passée pour alerter sur le manque de moyens dans le secteur.

Professeur des universités à la Faculté de médecine de Lille II et pédopsychiatre consultant au CHRU de Lille, le docteur Pierre Delion était à Millau la semaine dernière, à l’invitation de l’Assud (Association pour la santé mentale en Sud-Aveyron) et “Dessine Moi un mouton”. Auteur de "Mon combat pour une psychiatrie humaine", il est venu parler de la menace qui pèse aujourd’hui sur le service public de la psychiatrie. Notamment à Millau, où récemment les départs à la retraite de deux praticiens n’ont pas été remplacés. 


mardi 27 novembre 2018

Les députés accordent un sursis aux « indispensables » médecins à diplôme étranger

Anne Bayle-Iniguez
| 28.11.2018



assemblee padhues
Crédit Photo : S. Toubon

C'est dans une « belle unanimité » saluée par la présidente de la commission des affaires sociales Brigitte Bourguignon que les députés ont voté ce mercredi une proposition de loi (PPL) pour sortir (provisoirement) les médecins diplômés hors de l'Union européenne (PADHUE) de la précarité statutaire. L'examen en séance publique de cette proposition de loi est prévu le 5 décembre.

LORSQUE VIEILLISSENT LES SCHIZOPHRÈNES





REVUE SANTÉ MENTALE
N° 232 NOVEMBRE 2018


N° 232 - Novembre 2018

Dans la psychose, l’âge amène des modifications de l’expression clinique, tout en conservant le «noyau dur» des pathologies. Alors que, dès 60 ans, la plupart des psychotiques vieillissants sont orientés en Ehpad, quels sont leurs besoins spécifiques ? Comment faire cohabiter ces «jeunes» patients avec des résidents de plus de 85 ans, très dépendants physiquement et psychiquement ? Quels partenariats les équipes de psychiatrie peuvent-elles mettre en place avec les Ehpad ? Souvent oubliés des politiques publiques, ces patients bénéficient encore trop rarement de prises en charge cohérentes et adaptées.

Les handicapés psychiques âgés (HPA) ont-ils une identité collective définie par un lieu ou un lien d’appartenance, et constituent-ils un groupe social ? Les enjeux d’une...
Auteur(s) : Georges JOVELET, psychiatre
Dans la psychose, l’âge amène des modifications de l’expression clinique, tout en conservant « le noyau dur » des pathologies. À domicile, en milieu psychiatrique ou en...
Auteur(s) : Georges JOVELET, psychiatre

Toujours sexuellement actifs malgré les troubles cognitifs !

Publié le 19/11/2018



Les manifestations et la prégnance de la sexualité tendent à s’atténuer avec l’âge, mais elle tarde à disparaître totalement, car il s’agit d’une fonction biologique majeure. Une enquête menée dans les lieux de long séjour étatsuniens illustre ce propos.

Où la dépression chronique mène au long séjour

Publié le 22/11/2018

Les symptômes dépressifs au long cours pourraient avoir un effet cumulatif et augmenter la probabilité d’être placé dans une unité de soins de longue durée (USLD). Cette hypothèse a fait l’objet d’une étude de cohorte prospective menée sur deux décennies dans trois régions des États-Unis, situées autour de Baltimore (Maryland) de Minneapolis (Minnesota) ou encore de Pittsburg (Pennsylvanie).