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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 27 avril 2015

Prime pour mieux prescrire : de plus en plus de médecins concernés

Le Monde | 


Dans un cabinet médical de Godewaersvelde (Nord), en 2013.


Les médecins généralistes qui font des efforts pour mieux prescrire ont touché environ 6 200 euros dans le cadre de la rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP), a indiqué, lundi 27 avril, l'Assurance-maladie. Le montant de cette prime annuelle, en vigueur depuis janvier 2012, et le nombre de ses bénéficiaires sont en hausse.

C'est le signe que les médecins libéraux volontaires qui touchent ce complément de revenus remplissent davantage les indicateurs de santé publique qui la conditionnent : prévention, prescription, vaccination, suivi des pathologies chroniques ou encore organisation du cabinet.

Au total, l'Assurance-maladie a déboursé 376 millions d'euros pour 2014 pour ce dispositif, une dépense en hausse par rapport à 2012 et 2013 (respectivement de 294,4 millions et 351,9 millions), ce qui traduit une « évolution positive des indicateurs de santé publique, d'efficience et de modernisation du cabinet ».

Quelque 89 000 médecins (toutes spécialités confondues) viennent de toucher 4 215 euros en moyenne au titre de l'année 2014. La somme est plus rondelette pour les 51 526 généralistes concernés par le dispositif qui ont perçu 6 264 euros en moyenne (contre 5 774 euros en 2013).

  • Meilleur suivi des diabétiques

Le suivi est meilleur pour les diabétiques (plus de 3 millions de personnes), avec notamment la progression de 7,5 points sur la part des patients ayant réalisé un certain nombre de dosages sanguins (HbA1c).

  • Meilleure prescription
Le nombre de prescriptions d'antibiotiques aux patients adultes est en baisse, de même que celui de benzodiazépines (somnifères ou médicaments contre l'anxiété) pour les plus de 65 ans.




2 personnes sur 3 n’ont pas accès aux soins chirurgicaux

27.04.2015

Deux personnes sur trois – soit presque 5 milliards d’individus dans le monde – n’ont pas accès aux actes chirurgicaux de routine pour traiter des complications courantes, comme l’appendicite, un accouchement difficile, ou une fracture... C’est l’estimation mis en avant dans uneétude publiée aujourd’hui dans « The Lancet », menée par 25 experts internationaux dans 110 pays. Cette estimation correspond au double de celles avancées précédemment, qui ne prenaient en compte que la disponibilité de la chirurgie dans différentes régions. Cette fois, les auteurs ont également voulu refléter les problèmes liés aux barrières économiques et géographiques des populations.

À Cluj, le suicide d’étudiants français en médecine préoccupe les autorités

27.04.2015



  • À Cluj, le suicide d’étudiants français en médecine préoccupe les autorités - 1
Crédit photo : S TOUBONZoom
Les suicides de deux étudiantes en médecine françaises de la faculté de Cluj-Napoca, en Roumanie, et la tentative de suicide de deux autres de leurs camarades, en mars dernier, mettent en lumière les graves difficultés rencontrées par ces jeunes expatriés qui souhaitent à tout prix devenir médecin.

Strasbourg candidate à l’ouverture d’une « salle de shoot » dans son hôpital

27.04.2015



  • Strasbourg candidate à l’ouverture d’une « salle de shoot » dans son hôpital - 1
Crédit photo : S TOUBONZoom
Candidate, avec Bordeaux et Paris, à l’ouverture expérimentale de l’une des trois « salles de consommation à moindres risques » pour les usagers de drogues, - dites aussi « salles de shoot » -, Strasbourg envisage d’installer rapidement cette dernière dans le cadre de son hôpital, et table sur un « réel consensus » quant à son acceptation par la population.

Pourquoi appeler "maladies mentales" des problèmes relationnels ou spirituels ?

26 avril 2015

Dr Michaud-Nérard , Pédopsychiatre, DEA de Psychologie clinique.


Aujourd’hui, la vie et le langage des peuples occidentalisés, imprégnés par l’idéologie dominante de la médecine, sont rythmés par les fictions de la propagande publicitaire des laboratoires pharmaceutiques en faveur du "tout-médicament". L’idéologie de la médecine est celle de la soi-disant révélation de la "Science".
C’est "la Famille" qui, autrefois, symbolisait le rôle si important de "protecteur naturel", joué en faveur des enfants, dans la vie de tous les jours. Pourtant, aujourd’hui, la maladie du TDAH offre, au "médecin-tout-médicament", l’opportunité de jouer un rôle similaire, mais cette fois, en défaveur des enfants.
On sait que "la Famille", autrefois, n’avait nul besoin d’être initiée aux subtilités de la religion du "tout-médicament". Mais, aujourd’hui, la maladie du TDAH offre l’opportunité aux psychiatres de refuser toute forme de courage intellectuel, pour se soumettre au vocabulaire du DSM, importé abusivement des États-Unis.
Le DSM est devenu l’ouvrage mondial de référence, publié par l’APA, la toute-puissante Association Américaine de Psychiatrie, classifiant les critères diagnostiques et statistiques de soi-disant troubles mentaux. Le DSM est devenu le "bréviaire de la domination idéologique" de la psychiatrie consumériste quasi-religieuse nord-américaine. (DSM : de l’anglais, signifie : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders).
Les psychiatres médiocres disposent d’un catalogue publicitaire des troubles mentaux made in USA où, à chaque rubrique du DSM, correspond un symptôme et un diagnostic, ce qui conditionne le traitement.
La plupart des grands groupes pharmaceutiques nord-américains ont bien compris leurs intérêts très profitables à exporter dans le monde entier cette conception de l’idéologie scientiste faussée de la psychiatrie biologique. Le "tout-médicament" est imposé comme le "nouveau langage de la psychiatrie moderne".
Pour la famille de l’enfant turbulent, qui bouge beaucoup et qui n’écoute pas, et surtout qui n’obéit pas quand on lui parle, la notion de l’enfant turbulent, employée dans le langage courant, a un sens complètement différent de celui de la psychiatrie moderne, qui vend le mythe rentable "pour tous" de la maladie du TDAH.
Une chose, pour la famille, était d’appeler "turbulent", l’enfant "normal" qui n’écoute pas et qui n’obéit pas, une autre chose est d’appeler l’enfant turbulent, un enfant handicapé de la maladie imaginaire du TDAH.
Si le DSM-business avait voulu pousser plus avant l’analyse linguistique du "nouveau vocabulaire de la psychiatrie moderne", importé abusivement des États-Unis, les soi-disant adeptes ignares de l’idéologie de la psychiatrie biologique moderne auraient vite compris que le mot "turbulent" n’avait pas le même sens, selon qu’on parle de l’enfant "normal" ou de l’enfant devenu "handicapé" selon la maladie imaginaire du TDAH.
La critique scientifique condamne tous les mensonges publicitaires du DSM-business.

Ces remarques n’ont d’autre but que de démontrer que, dans une "société psychiatrique avancée", "la famille" ne peut jamais comprendre parfaitement le sens caché des mensonges publicitaires de la psychiatrie biologique et de la religion du "tout-médicament". Le mythe de la maladie du TDAH "pour tous" conduit tout un chacun à confondre le sens réel du comportement "normal" de l’enfant turbulent, et le sens médicalisé du handicap imaginaire de la maladie du TDAH, emprunté au vocabulaire du DSM-business.

Le scandale des peignoirs de bain

24 AVRIL 2015





Dans un épisode excellent de The West Wing (A la Maison Blanche), Bartlet’s Third State of the Union (2001, saison 2 épisode 13), un des membres de l’équipe du président Bartlet à la Maison Blanche, Sam Seaborn (Rob Lowe), apprend par hasard, lors d’une conversation avec C.J. Cregg (Alison Janney), la porte-parole de la présidence, et son assistante Carol Fitzpatrick, que la salle de sport réservée aux personnels de la Maison Blanche met à disposition de confortables peignoirs de bain… seulement dans les vestiaires des femmes. Vert de jalousie, il s’indigne : «C’est un scandale. Alors qu’il y a mille hommes qui bossent ici et seulement 50 femmes.» A quoi C.J. rétorque :«Ouais, c’est ça, c’est les peignoirs de bain, le scandale.»
Cet échange illustre astucieusement la facilité qu’on a à s’indigner de toute apparence d’avantage donné aux femmes (comme le montre par exemple la mobilisation masculiniste sur la garde des enfants des couples divorcés ou séparés) et, particulièrement en France, à s’indigner au nom de l’égalité de toute mesure qui mettrait en cause une domination installée. Par exemple, en assurant la parité, au sens d’une représentation plus équitable des sexes (40% minimum de chaque), que ce soit dans le domaine de la vie politique (lois de parité de 2000, 2011) ou de la vie académique (loi Fioraso de 2013). Car, dans ce domaine aussi, il s’agit encore de passer à des droits porteurs d’égalité réelle, à un moment où les politiques sont tentés de clore la période des réformes et des mesures dites «coercitives», et de laisser les choses et comportements suivre leur cours naturel.

Hôpital d'Aulnay : après les inaugurations, les économies

Gwenaël Bourdon | 27 Avril 2015


150 M€ de dettes, des suppressions de postes et de lits, un pôle psychiatrie « en état de sinistre ». Après une importante restructuration, Ballanger doit se serrer la ceinture.

Petits-fours et orchestre jazzy dans le hall... Banderole CGT à l'extérieur. Il y avait deux ambiances, lors de l'inauguration du nouveau pôle mère-enfant à l'hôpital intercommunal Robert-Ballanger (Aulnay-Villepinte) à la mi-avril.

Au terme d'un chantier de 90 M€, l'établissement s'est doté d'un bâtiment rutilant, belle vitrine abritant une maternité ultramoderne (lire ci-dessous), des services de pédiatrie innovants, un pôle tout neuf de consultations (autrefois éclatées sur 18 sites)... Avec l'ouverture, l'an dernier, d'un bâtiment de soins de suite, d'une crèche, d'un hôpital de jour en pédopsychiatrie, l'hôpital a vécu « sa plus importante restructuration depuis trente ans », selon les mots d'un responsable. Mais cette modernisation a son revers. Après les travaux, c'est le temps des économies, ce qui inquiète le personnel et les élus.


Un contrat de santé pour faciliter l'accès aux soins

Hervé Sénamaud | 22 Avril 2015



Creil, à l’hôtel de ville, hier. Signé par la Région, l’ARS, la sous-préfecture et la ville, le contrat local de santé aura pour ambition d’améliorer la situation sanitaire des Creillois, autour de quatre priorités.
Creil, à l’hôtel de ville, hier. Signé par la Région, l’ARS, la sous-préfecture et la ville, le contrat local de santé aura pour ambition d’améliorer la situation sanitaire des Creillois, autour de quatre priorités. (LP/H.S.)

« Le malade imaginaire », de Molière, teste toutes les médecines, sans être réellement malade, les habitants de Creil, eux, souffrent de nombreuses pathologies, mais ne les soignent pas toujours de façon efficace.

La signature, hier, d'un contrat local de santé, paraphé par la ville, la région Picardie, l'Agence Régionale de Santé (ARS) et l'État, devrait permettre de faciliter l'accès aux soins d'une population qui n'est épargnée ni par le chômage, avec un taux de 14 %, ni par la maladie, le taux de mortalité prématurée étant supérieur à la moyenne nationale.

Après le cas Andreas Lubitz, les différentes autorités internationales de sécurité aérienne doivent s’entendre

Le Monde.fr 

Par Trang Dao, psychiatre à Montréal (Canada) et Jean Pariès, président de la société de conseil Dédale, spécialisée dans gestion de la sécurité dans les grands systèmes sociotechniques

Les crashs liés à la déficience psychiatrique d’un pilote représentent moins de 2% des accidents aériens sur les 40 dernières années. Même si ce pourcentage est probablement sous-estimé par manque d’expertise psychiatrique au sein des enquêtes, ces événements restent rares. Mais l’exemple récent de Germanwings rappelle à quel point ils sont insupportables. Avec les évidences trompeuses de la rétrospection, on cherche alors facilement des boucs-émissaires : « comment a-t-on pu laisser A. Lubitz accéder à ce cockpit alors qu’il présentait des signes si évidents ? » …

La prévention de tels désastres représente en réalité un défi considérable, qui peut se résumer à deux questions : peut-on empêcher les profils à risque psychiatrique d’accéder aux cockpits ? Sinon, peut-on les y empêcher de nuire ? Sur la seconde, même si on peut espérer progresser grâce à la technologie (porte de cockpit plus « intelligente », couplage de certaines alarmes avec le pilote automatique, etc.) ou le recours au collectif (ex. présence permanente de deux personnes au cockpit), il restera quasiment impossible de contrer les impulsions suicidaires d’une personne experte sur l’avion et vraiment déterminée à mourir. Nous consacrons cet article à la première question.

LIMITES DE LA DÉTECTION

Les candidats pilotes de ligne sont sélectionnés selon des normes internationales d’aptitude comprenant des tests psychologiques. Ceci a pu donner l’impression que tous ceux qui sont retenus bénéficient d’une bonne santé mentale. En fait, à la différence de ce qui se pratique dans l’aviation militaire, aucun examen réel de santé mentale n’est pratiqué dans l’aviation civile, et cela, depuis le début de son histoire. Les pilotes doivent simplement remplir un questionnaire dans lequel ils sont censés « auto-diagnostiquer » un éventuel contexte de trouble mental et le signaler.

Cette stratégie, reproduite à chaque visite médicale périodique, est peu efficace. Le tabou de la maladie mentale, toujours bien vivace, entrave la détection dans la population générale, et joue évidemment pour les pilotes : leur sous-signalement n’est donc pas juste un camouflage malhonnête. Mais pour eux la crainte additionnelle de perdre la licence est considérable ; même l’amende de 250 000 dollars prévue aux Etats-Unis pour déclaration falsifiée représente un « faible coût » comparé à l’investissement et aux sacrifices souvent consentis pour accéder à ce métier.




dimanche 26 avril 2015

Un rapport sur les coûts financiers et psychologiques de la mastectomie

23.04.2015


La ligue contre le cancer publie aujourd’hui le quatrième rapport de l’Observatoire sociétal des cancers. Cette nouvelle édition donne la parole aux femmes ayant subi une mastectomie afin de mieux comprendre leur parcours dans la maladie. Le rapport pointe d’abord que la mastectomie est souvent perçue comme violente et associée à des termes comme « mutilation » ou « perte ». Sur le plan financier, il relève qu’à la suite d’une mastectomie, un reste à charge moyen de 456 euros, est déclaré par une femme sur trois ayant eu des soins supplémentaires. Parmi ces femmes, 33% ont eu des restes à charge pour des consultations de psychologues, 25% pour des séances de kinésithérapie, 70% pour d’autres soins (achat de prothèses amovibles, de manchons pour prévenir le lymphoedème, honoraires de professionnels de santé).

Usagers et syndicalistes organisent la résistance pour sauver l’hôpital Bichat

25.04.2015

Usagers et syndicalistes organisent la résistance pour sauver l’hôpital Bichat - 1

Après la polémique autour du sort de l’Hôtel Dieu, c’est le destin de l’hôpital parisien Bichat qui agite les esprits dans la capitale. Le projet de l’AP-HP de création à l'horizon 2025 d'un grand hôpital universitaire au nord de Paris, destiné à palier la vétusté et la non-conformité aux normes de sécurité des hôpitaux Bichat-Claude-Bernard (XVIIIe) et Beaujon (Clichy, Hauts-de-Seine) est en effet loin de plaire à tout le monde. Citoyens, usagers, salariés de l'hôpital, organisations syndicales et partis regroupés au sein du "Collectif Bichat" voient dans le futur grand hôpital "une machine ingérable, avec près de 100.000 urgences par an" et " la garantie d'urgences engorgées et d'une moindre qualité d'accueil", prédisent un "risque de décès accru par la traversée du périphérique lors des embouteillages". En outre, les protestataires dénoncent un projet qui représente un total de 600 lits de moins "et la disparition d'une offre de santé de proximité pour les habitants des quartiers du nord de Paris et des communes environnantes".

Si " Le Généraliste " était paru en avril 1898 Mortels bénitiers...

25.04.2015

" Les contacts multiples que subit l'eau des bénitiers avec des doigts souvent peu aseptiques autorisent à supposer que dans certaines conditions ce liquide est susceptible de jouer un rôle important dans la diffusion des maladies infectieuses. Et, de fait, en analysant bactériologiquement de l'eau puisée dans le bénitier d'une des églises de Sassari, M. le Professeur Vincenzi a constaté la présence d'une foule de bactéries : staphylocoques et streptocoques, colibacilles, microbes tétragènes, bacille de Loeffler, etc.

Don d’organe : l’Ordre des médecins s’oppose au principe du consentement présumé

Coline Garré
| 27.04.2015

Le conseil de l’Ordre des médecins s’oppose à l’amendement 46 ter du projet de loi Santé qui instaure le principe du consentement présumé pour le don d’organe à partir de 2018.
Présenté par Jean-Louis Touraine et Michèle Delaunay, cet article stipule que « le prélèvement peut être pratiqué sur une personne majeure dès lors qu’elle n’a pas fait connaître, de son vivant, son refus d’un tel prélèvement ». La personne peut exprimer son refus – révocable à tout moment – « principalement par l’inscription sur un registre national des refus » ou au moyen d’autres voies, qui seront déterminées à l’issue d’une concertation puis d’un décret.
Le médecin devra « informer » les proches du défunt « de la nature et de la finalité » du prélèvement, à la différence d’aujourd’hui où la famille est « consultée » pour connaître la position du défunt lorsqu’elle n’a pas été explicitée au préalable.

Dons d’organes : la loi ne vise « pas à imposer le prélèvement à qui que ce soit », explique Touraine qui annonce une concertation

15.04.2015


Certains médecins s’en sont émus. Une des mesures du projet de loi sur la modernisation du système
de santé votée hier à l’Assemblée nationale, prévoit le renforcement du principe du consentement présumé en donnant la possibilité aux personnes d’exprimer leur refus par d’autres moyens que le seul registre national des refus.
Le texte reprend par ailleurs la modification principale apportée en commission par le socialiste Jean-Louis Touraine, à savoir que les proches du défunt seront seulement « informés » par le médecin de la nature du prélèvement envisagé et de sa finalité et non plus consultés comme c’est le cas jusqu’à présent.

Autisme : un diurétique en prévention ?

 22/04/2015


Le bumetanide (diurétique) diminue le taux de chlore dans les cellules. Or, des études expérimentales ont montré que la concentration de chlore est très élevée dans les neurones immatures, ainsi que dans certaines pathologies résultant d’un trouble du développement cérébral, comme l’autisme.

samedi 25 avril 2015

Aloïse Corbaz en constellation - Exposition temporaire au LAM à Lille


LAM
DU 14/02/15 AU 10/05/15

Aloïse Corbaz en constellation - Exposition temporaire

Aloïse Corbaz est l’une des figures emblématiques de l’art brut. Elle est l’auteure d’oeuvres reconnaissables entre toutes, colorées, luxuriantes, peuplées de figures historiques, de couples amoureux, de personnages d’opéra, de symboles pacifistes et religieux… La plus monumentale d’entre elles, le Cloisonné de théâtre, rouleau de papier de 14 mètres de long, déposé au LaM depuis 2003 par le collectionneur Jean-David Mermod, est présentée de façon permanente dans les salles du musée depuis 2010. C’est autour de cette œuvre remarquable et de sa créatrice que l’exposition Aloïse Corbaz en constellation se déploie, rassemblant près de 250 œuvres et documents.

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