Le brigadier-chef Eric Furmanczak a une voix douce, presque monocorde. Quand il interroge une femme venue lui révéler ce que son mari lui fait subir, en fermant les yeux, on pourrait se croire chez un psy. Pourtant, aucun divan dans le cadre. Mais des chaises sans confort et tout le mobilier hors d’âge propre aux commissariats.