blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

dimanche 25 septembre 2011


MERCREDI 21 SEPTEMBRE 2011


Psychanalyse et politique : les liaisons dangereuses ?

(cet article est une version de travail. Pour consulter l'article final, publié dans Le Cercle psy, cliquez ici.)


Nous sommes en 1929. Alors qu'une terrible crise économique s'abat sur le monde, Sigmund Freud est d'humeur maussade. Sa santé est mauvaise, il n'est guère optimiste sur son avenir et s'ennuie à Berlin. Jusqu'au jour où il rencontre William C. Bullit, diplomate américain aussi familier de la Maison Blanche que de Lénine. Les deux hommes lient conversation. Leur causerie aboutira au texte probablement le plus atypique du corpus freudien : un stupéfiant portrait psychopathologique du président Thomas W. Wilson, plus connu pour son plan de reconstruction de L'Europe en « quatorze pointes » que pour sa certitude d'être en communication directe avec Dieu à toute heure du jour et de la nuit. Si Freud ne s'est jamais engagé dans un parti politique et qu'il n'est ni le réactionnaire fascisantque certains ont voulu voir, ni un progressiste en matière politique, on trouve dans plusieurs de ses textes, deTotem et Tabou à Pourquoi la Guerre ? en passant parPsychologie des foules et analyse du moi et Malaise dans la civilisation des réflexions sur la répression des pulsions dans la civilisation contemporaine et les raisons sociales des névroses. A la fin de Malaise dans la culture, Freud mentionne l'existence de « névroses sociales » qui frapperaient certaines civilisations. Mais immédiatement après, il souligne que d'une part il faudrait définir ce qu'est une société « normale » et, surtout, il s'interroge sur l'efficacité d'un tel diagnostic puisque, dit-il, «personne ne dispose de l’autorité suffisante pour imposer une thérapie aux masses ? » Alors, quel rapport au juste entre cette métapsychologie et la « politique »? Réelle et profonde, ou contingente et anecdotique?

« On couche les politiques sur des divans imaginaires »

Lire la suite ici



6480-1329-Couverture
Septembre 2011 - CNRS Alpha

Pourquoi, après des décennies de critique, de discrédit, voire d’ignorance, l’empathie connaît-elle aujourd’hui un regain d’intérêt théorique en philosophie, en psychanalyse et en sciences sociales ? C’est à cette question que cet ouvrage collectif souhaite répondre en interrogeant les recherches contemporaines sur l’empathie à partir de ses paradoxes théoriques, cliniques et moraux : une compréhension d’autrui à la fois affective et cognitive, identificatoire et sélective, automatique et inégalement distribuée. En examinant les perspectives récemment ouvertes qui montrent l’empathie sous un jour nouveau, en prenant en compte la complexité de son histoire et de ses modèles, la diversité de ses pratiques et de ses usages, les auteurs proposent des analyses originales qui la remettent au cœur d’une dialectique de l’affectivité et de la représentation, de l’intersubjectivité et des rapports sociaux, de l’expérience individuelle et de l’expérience sociale. Cet ouvrage s’appuie sur des rencontres et des programmes de recherche pluridisciplinaires qui renouvellent l’approche de l’empathie, en examinent les mécanismes, les usages et la portée dans les sciences sociales, la philosophie morale et sociale, et la psychanalyse. Il constituera un instrument irremplaçable de découverte, d’approfondissement et de critique d’une notion qui a enfin trouvé toute sa place dans la pensée contemporaine.


Le corps, porte-parole de l'enfant et de l'adolescentMarika Bergès-Bounes et Jean-Marie Forget (ed.)
2
Septembre 2011 – Erès 

Comment parler du corps de l’enfant sans le chosifier, sans en faire seulement un paquet de chair, en le reconnaissant comme marqué du sceau du désir des parents et chargé de leurs rêves ? Cet ouvrage s’efforce d'offrir des outils de compréhension des manifestations du corps souffrant, souvent difficiles à décrypter chez l'enfant. Des psychanalystes et des professionnels engagés dans leurs rencontres avec l’enfant et l’adolescent proposent un tour d’horizon de la clinique actuelle qui permet d’ajuster leurs questionnements théoriques à la singularité de chacun. Ils s’efforcent de différencier, dans la constitution du symptôme corporel, la part respective qui revient à l’initiative de l’enfant manifestant sa subjectivité, à la trame familiale dans laquelle il s’inscrit et à l’incidence du discours consumériste actuel.
Marika Bergès-Bounes et Jean-Marie Forget sont psychanalystes à Paris, membre de l’Association lacanienne internationale.

Infirmiers en psychiatrie : tranches de vies en Paca


De la prison à l’appartement thérapeutique, du centre d’accueil d’urgences des personnes hospitalisées sous contrainte à la médiation thérapeutique par l’art, le métier d’infirmier en psychiatrie s’exerce de multiples manières. Des soignants se sont réunis en Paca pour échanger sur leurs pratiques.


« Le degré de civilisation d'une société se mesure à la manière dont elle traite ses fous », affirmait le psychiatre Lucien Bonnafé au début du XXe siècle. En pleine refonte des modalités d’hospitalisation sous contrainte, les infirmiers de psychiatrie réfléchissent plus que jamais à la manière d’améliorer leurs pratiques. Ainsi le Serpsy  (Soin étude et recherche en psychiatrie) de Provence-Alpes-Côte d’Azur a-t-il organisé le 15 septembre une après-midi de réflexion sur le thème « Le soin infirmier en psychiatrie aujourd’hui, qu’en est-il ? ». Des échanges nourris par des témoignages sur le quotidien d’infirmiers travaillant dans diverses structures, à l’hôpital ou en-dehors.
Laurent Séguy, infirmier psychiatrique en prison,  a été le premier à prendre la parole face aux 200 personnes présentes ce jour-là au centre hospitalier Edouard Toulouse de Marseille.  Durant une vingtaine de minutes, il a confié la difficulté qu’il y a à se trouver quotidiennement face à des détenus considérés comme très dangereux, condamnés à des lourdes peines, et en l’occurrence incarcérés à la Maison centrale d’Arles. L’infirmier a levé le voile sur cet univers carcéral où l’on vit dans des cellules fermées en permanence, où l’intimité nécessaire aux soins est souvent très difficile à organiser face à des gardiens qui ont peur de leurs détenus, lesquels sont parfois atteints de pathologies psychiatriques très lourdes. « Pourquoi tu soignes un monstre ? », lui demandent parfois les gardiens… L’infirmier n’en démord pas : on ne peut pas réduire une personne à ses actes.
Rétablir la confianceAprès cette immersion en prison, c’est de l’hospitalisation sous contrainte dont il a été question avec Yves Benoist et Raphaël Jacquetin, infirmiers au pavillon d’accueil du centre hospitalier psychiatrique de Laragne (05). Lorsqu’il leur est demandé de sortir de leur structure pour aller chercher des personnes dont l’hospitalisation sous contrainte vient d’être décidée, ont-ils raconté, il n’est pas rare qu’on leur dise que le patient « est calme, tout à fait d’accord pour venir ». C’est alors que la question a fusé: « Quelqu’un qui a déjà mobilisé des policiers, un préfet et un juge peut-il vraiment être calme ? » Il arrive pourtant que certains patients reviennent se présenter d’eux-mêmes, sans contrainte cette fois. Là, c’est une vraie victoire, insistent les infirmiers ; le fruit d’années de travail et de mise en confiance.
Ont ensuite témoigné Vannina Philipi, infirmière au centre hospitalier spécialisé Montperrin d’Aix-en-Provence, à propos de la médiation thérapeutique par l’art, puis Anne-Laure Friard-Brame et Marie-Laure Vella, exerçant dans le même hôpital, pour parler de la complémentarité entre les métiers d’infirmière et d’éducatrice spécialisée. Enfin, Nicole Taliana, cadre de santé en psychiatrie, s’est penchée sur le rôle du cadre prenant soin de son équipe.
Laure de Montalembert


Les articles d'actualité d'Espaceinfirmier.com sont réalisés par les rédactions de L'Infirmière magazine, L'Infirmière libérale magazine et Objectif soins. Notre newsletter, gratuite, paraît le jeudi. Inscrivez-vous !

Les psychiatres de cité
MARDI 27 SEPTEMBRE 2011


Par Claire Hédon
La prise en charge des populations les plus vulnérables telles que les personnes résidant dans les Zones Urbaines Sensibles représente un enjeu particulier pour la psychiatrie publique. Un environnement défavorable, un faible niveau d’éducation et des retards dans l’accès aux soins se cumulent avec le caractère toujours stigmatisant de la maladie mentale. Cette question a rassemblé nombreux spécialistes ce mois-ci à Grenoble à l’occasion d’une journée d’étude dédiée à La psychiatrie publique à l’épreuve des zones urbaines sensibles. Alors y a t-il une épidémiologie et une clinique spécifiques de ces territoires urbains ? Si oui, les acteurs de la psychiatrie publique ont-ils les moyens de maintenir une offre de soins qui garantisse aux populations concernées une véritable équité ?
Pour en parler :
  • Dr Pierre Murry, psychiatre et chef de Pole Grenoble Sud-Isère au CH Alpes-Isère.
  • Tao Adohane, psychologue clinicien et psychothérapeute dans le champ social et de l’enfance en région parisienne. Auteur d’Itinéraires déracinés aux éditions de L’Harmattan.
  • Michel Dzalamou, Psychologue clinicien au service psychiatrique du CHU de Brazzaville.
En fin d’émission, à l’occasion du G20 « Travail/Emploi » qui se tient les 26 et 27 septembre à Paris, Médecins du Monde, Oxfam France et Avocats pour la Santé dans le Monde se mobilisent pour interpeller les leaders du G20 en faveur de la couverture maladie universelle. Pour en parler : Pierre Salignon, directeur général de Médecins du Monde.


LIVRES Jeudi dernier à 0h00

Perdre la tête par temps de révolution


CRITIQUELaure Murat explore les relations entre troubles politiques et folie au XIXe siècle
Par DOMINIQUE KALIFA

«Jamais il n’y eut autant de maladies mentales qu’après l’orage de la Révolution», écrit Michelet dans Ma jeunesse : «La vie nerveuse semblait atteinte dans ses sources mêmes.» L’idée d’une relation directe entre les désordres de la vie publique et ceux de l’esprit trouble le XIXe siècle. Dès 1816, le Dr Esquirol estime que les «malheurs politiques» du pays conditionnent ses délires. Dix ans plus tard, son collègue Félix Voisin explique comment «les commotions politiques produisent les maladies mentales».C’est cette relation singulière entre l’histoire et la folie, entre le politique et le pathologique qu’explore le livre de Laure Murat, archives des asiles de la Seine à l’appui.
Rationalisation. La Révolution constitue un évident point de départ. L’aliénisme moderne y trouve sa source, tant sur le plan de l’organisation que sur celui des pratiques médicales. A Bicêtre à compter de 1793, puis à la Salpêtrière où il officie vingt-cinq ans, Philippe Pinel s’efforce de rationaliser le traitement de la folie, qu’il considère comme une altération curable de la raison.
Mais la Révolution est en elle- même porteuse d’anxiétés psychiques : à l’ordre stable de l’Ancien Régime, elle substitue un monde où l’individu est promu sujet politique et social, acteur de son propre destin. On perçoit qu’un tel bouleversement, lié au choc de la Terreur, ait pu susciter des dérèglements. Pour Pinel, un quart des internés de Bicêtre a vu sa «raison aliénée par les événements de la Révolution». La guillotine, autre invention médicale et politique du temps, symbolise bien ce risque de «perdre la tête».
S’y ajoutent les différents usages politiques de la folie. Certaines convictions jugées déraisonnables sont vite rangées du côté de la pathologie. Le député Jacob Dupont, qui prêche l’athéisme à l’Assemblée en 1792, est interné pour«rêveries métaphysiques et révolutionnaires» et la carrière de la féministe Théroigne de Méricourt s’achève en 1794 à la Salpêtrière.
La Terreur transforme de nombreuses maisons de santé en lieux de réclusion et la tendance s’accentue sous l’Empire, qui confond internement médical et détention administrative. De nombreux opposants font ainsi l’expérience de l’asile, comme l’abbé Fournier, les complices de Cadoudal ou encore le général Malet. Sous la Restauration, on interne des journalistes comme Paul-François Dubois ou des caricaturistes comme Philippon ou Daumier, coupables de délits d’opinion.
A compter de 1830, les révolutions relancent l’attention des aliénistes, qui diagnostiquent le morbus democraticus. On dénonce les utopies comme une déraison, la conspiration comme un désordre intellectuel, le communisme comme une monomanie. A l’hôpital d’Arbois, le Dr Bergeret affirme que les cas de folie se sont multipliés par dix en 1848. «J’ai toujours pensé que dans les révolutions et surtout dans les révolutions démocratiques, les fous jouent un rôle politique considérable», surenchérit Tocqueville. D’autres, comme l’aliéniste allemand Wilhelm Grisienger, contestent ce constat, simple projection suscitée selon eux par l’effervescence du moment.
«Panophobie».Les comptages opérés par Laure Murat dans les registres d’admission confirment cette version : ni 1830, ni 1848 ou 1871 n’enregistrent de pic particulier. Mais la population asilaire est profondément troublée par les événements : le spectre de la barricade ou de l’insurrection hante les esprits, les guillotinés imaginaires animent les cabanons. Le paroxysme est atteint en 1871, au lendemain de la Semaine sanglante, lorsque tout s’enchaîne en visions de cauchemar: les obus, les Prussiens, les communards, les versaillais et les flammes de la guerre civile. Des aliénistes parlent de «panophobie» ou peur de tout.
«Moi colossal». Le cas d’école, qui donne son titre au livre, réside dans la figure devenue lieu commun de «l’homme qui se prend pour Napoléon». L’identification aux grands de ce monde est bien sûr un symptôme classique de dérèglement mental, mais cette identification-là est particulièrement révélatrice des désirs et des anxiétés du temps. Sa relation au contexte est évidente puisque c’est après le retour des cendres de l’ex-empereur, en décembre 1840, que l’on recense le plus grand nombre de cas. Mais quelque chose de plus profond, que les aliénistes vont intituler «monomanie orgueilleuse», se joue autour de Napoléon. Qu’est-il d’autre en effet que ce«moi colossal», perversion de la conscience individuelle, que ce héros démocratique, sorti de nulle part et devenu Dieu et surhomme à la fois, que cet être au psychisme dissocié (Bonaparte vs Napoléon) incarnant toutes les contradictions du sujet moderne ? Prudent, le livre de Laure Murat ne nous dit pas pour qui on se prend aujourd’hui.

Jacques Lacan, 30 ans après : rencontre-débat à la BnF

Mardi 4 octobre 2011 à 18h30, la BnF organisera une rencontre-débat en hommage à la disparition du psychiatre et psychanaliste français Jacques Lacan.



Figure majeure du paysage intellectuel français de l’après seconde-guerre mondiale, Lacan a notamment travaillé sur le rapport entre le langage et l’inconscient, avant de fonder sa propre école, proche du structuralisme.



Cette rencontre-débat sera animée par Christine Goémé et verra des interventions d’Elisabeth Roudinesco, historienne de la psychanalyse et Alain Badiou, philosophe et romancier.



Lacan, 30 ans après - Mardi 4 octobre 2011, 18h30 - BnF I François-Mitterrand, Hall Est - Grand auditorium - Entrée libre


Quotidien marocain d'information générale

Un ensemble de réflexions sur la psychanalyse au Maghreb et au Machreck

CULTURE | SALIM JAY | 22 SEPTEMBRE 2011 
La revue freudienne Topique que publient les éditions L’Esprit du Temps consacre son n° 110 à un riche ensemble de réflexions et de mises en perspective autour de la psychanalyse au Maghreb et au Machreck. Les contributions de ce numéro sont, pour une part, issues d’un colloque organisé en octobre 2009 par l’Association internationale d’histoire de la psychanalyse. Les lecteurs découvriront dans ce panorama non exhaustif mais stimulant des articles concernant le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Egypte, le Liban, la Syrie, la Turquie.
Des informations stupéfiantes apparaissent. Par exemple, lorsque Raja Ben Slama évoque dans sa contribution intitulée La psychanalyse en Egypte – Un problème de non-advenue : « le féminisme anti-freudien, chez une grande féministe, psychiatre de formation, Nawal Saadaoui (née en 1930). Qui force le respect par son militantisme, mais qui sidère par la force de son déchaînement contre Freud et la confusion qu’elle érige en méthode entre le juridique et le psychique. Ainsi va-t-elle jusqu’à comparer Freud aux inquisiteurs qui pourchassaient les sorcières et lui attribuer des propos caricaturaux qu’il n’a jamais écrits ».
Raja Ben Slama montre, par ailleurs, que Mustapha Ziwer, le fondateur de la psychanalyse en Égypte, « n’est pas tout à fait perçu par lui-même, par ses disciples et par la postérité comme un psychanalyste. » Et de signaler que l’Association égyptienne de psychanalyse qui a vu le jour en 2004 « continue, par ses objectifs et ses activités, à ne pas identifier la psychanalyse comme discipline spécifique ».

Lire la suite ici

Féministes en tous genres

entretiens et articles de chercheuses sur le genre et les sexualités


Au lieu du féminin


Entretien avec Monique Schneider (première partie)


conte,différence des sexes,détresse,duras,éthique,féministe,freud,lacan,lévi-strauss,lévinas,sarah kofman,maternité,matriciel,nicole loraux,psychanalyse
Monique Schneider est psychanalyste, et membre de la Société de psychanalyse freudienne. Directrice de recherche émérite au CNRS, après avoir enseigné dans le département de psychanalyse de Paris VII, elle assure un séminaire à l’Ecole normale supérieure.

 Monique Schneider a répondu par écrit à nos questions, tandis qu'elle rédigeait La détresse aux sources de l'éthique (parution en avril 2011).




Dans La détresse aux sources de l’éthique, Monique Schneider repart de L’« Esquisse d’une psychologie scientifique », rédigée par Freud en 1895 sous l’inspiration et à l’adresse de Fliess (p. 10) [1]. En bonne et nombreuse compagnie – celle, entre autres, de Melville, Montaigne, Herman Cohen, Levinas et Claude Lévi-Strauss –, elle poursuit son questionnement sur le rapport à l’autre et « le partage sexué » promus par une psychanalyse d’obédience freudo-lacanienne.

Lire la suite ici

Jeune mère de famille paraplégique, Stéphanie vit comme tout le monde. Sauf quand la réalité la rattrape…

22 septembre 2011

Toujours à la recherche d'un emploi, j’ai pensé me réinscrire à la fac afin de faire de la sociologie dans le cadre de la validation des acquis de l'expérience (VAE)...
Je parle de tout ça à mon mari qui me dit «rue d'Hautpoul c’est au fin fond du 19e, ça va être compliqué en bus et j’ai bien peur que les rues soient un peu en dévers dans ce coin là de Paris!»
L
ire la suite ici