blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mercredi 12 février 2020

Engager davantage d'infirmiers ferait économiser plus de 350 millions

Résultat de recherche d'images pour "rts info logo"
Publié le 11 février 2020

SUISSE

Plus de 38'000 lits sont disponibles dans les hôpitaux helvétiques.
Engager davantage d'infirmiers ferait économiser plus de 350 millions par an, selon une étude Le 12h30 / 2 min. / samedi à 12:30
Augmenter la proportion de personnel infirmier dans les hôpitaux permettrait notamment de faire baisser la durée des hospitalisations. Une économie de plus de 350 millions de francs par an serait ainsi possible. Telle est la conclusion d'une étude publiée samedi par l'Association suisse des infirmiers et infirmières (ASI).
Dans les hôpitaux, si on augmente à 80% la proportion d'infirmières et infirmiers dans les équipes de soins, la masse salariale augmentera peut-être de quelques millions, mais 357 millions de francs pourraient être économisés, souligne l'ASI, qui a commandé cette étude réalisée par des chercheurs des Universités de Bâle et de Berne sur la base de données collectées par l'Office fédéral de la statistique.


Cancer du cerveau : une molécule intelligente trompe et tue les cellules du glioblastome

RTFLASH 05/02/2020

Après sept ans de collaboration, une équipe de chercheurs de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) a mis au point une molécule intelligente qui pourrait prolonger considérablement la vie des patients atteints de glioblastome, un cancer du cerveau incurable et dévastateur, qui touche des personnes de tout âge, indépendamment de leurs habitudes de vie.
Selon les résultats d’une étude dirigée par la Docteure Siham Sabri et publiée dans le journal Clinical Cancer Research de l’American Association of Cancer Research, cette molécule nommée ZR2002, administrée par voie orale et capable de pénétrer la barrière hématoencéphalique, retarderait la multiplication des cellules souches du glioblastome résistantes au traitement standard offert aux patients.
Le glioblastome est un cancer qui touche 1500 Canadiens chaque année, pour qui la survie moyenne actuelle est de 15 mois suivant le diagnostic. Malheureusement, le traitement standard, qui a très peu évolué depuis une quinzaine d’années, n’empêche pas la tumeur de récidiver.
Quatre chercheurs de l’IR-CUSM et co-auteurs de l’étude, Siham Sabri, auteure principale ; Bertrand Jean-Claude, directeur de la plate-forme de découverte de médicaments ; Docteur Janusz Rak, titulaire de la chaire Jack Cole en hématologie-oncologie pédiatrique à l’université McGill ; et Docteur Bassam Abdulkarim, radio-oncologue.
« Les cellules souches du glioblastome, extrêmement agressives et fortement résistantes au traitement standard de radiothérapie et de chimiothérapie temodal®, seraient à l’origine de la récidive de la tumeur. Elles ont la capacité de se réparer lorsqu’on les attaque avec ce traitement », explique Bertrand Jean-Claude, co-auteur de l’étude et chercheur senior à l’IR-CUSM au sein du Programme de recherche en désordres métaboliques et leurs complications.

A l’hôpital Sainte-Anne, un climat «irrespirable» entre psychiatres

Par Eric Favereau — 
Dans l’enceinte de l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, en septembre 2018.
Dans l’enceinte de l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, en septembre 2018. Photo Cyril Zannettacci. VU


Dans ce temple parisien de la psychiatrie française, de virulents différends mettent l’équipe en souffrance, sur fond de domination des neurosciences.

«C’est une ambiance de terreur, lâche un historique de l’hôpital Sainte-Anne. Mais surtout vous ne me citez pas.» Que se passe-t-il dans cet éminent établissement de la psychiatrie française, qui depuis quelques années regroupe également d’autres hôpitaux de la région parisienne pour en faire ce que l’on appelle aujourd’hui un GHU (groupe hospitalier universitaire) ? Silence. Il n’y a rien à voir.

Guerres

Un lourd climat s’est installé dans le vaste périmètre de Sainte-Anne (XIVe arrondissement de Paris), entre les jardins, les pavillons historiques et le bâtiment des neurosciences. Dans ce lieu où la parole est censée être valorisée, pas une personne ne veut parler. Le directeur du centre hospitalier, Jean-Luc Chassaniol, pourtant présent depuis près de vingt ans, s’énerve : «Non, je n’en ai rien à foutre de Libération.» D’anciens membres éminents de la Commission médicale d’établissement (CME, la plus haute instance) confirment cet air du temps «irrespirable». Plus déroutant, les voilà comme des enfants perdant toute distance. Et ne voulant surtout pas que leur nom apparaisse. Un ancien chef de secteur, psychiatre de haut vol, a beau avoir été mis sur la touche, il se retranche : «Je ne peux pas participer à cet entretien, désolé.»

lundi 10 février 2020

AVC : Récupérer par la pensée

RTFLASH  05/02/2020

Tous les ans, en France, quelque 140 000 personnes sont victimes d’un accident vasculaire cérébral (AVC), une obstruction ou une rupture d’un vaisseau sanguin dans le cerveau. 31 000 en décèderont. Pour les rescapés, les séquelles peuvent être importantes : hémiplégie, hémiparésie, troubles cognitifs, troubles de l’équilibre…
Les AVC sont la première cause de handicap chez l’adulte. L’enjeu de la récupération de la motricité ? Restaurer la circulation des informations entre le cerveau et les membres. Longtemps, la rééducation a consisté à favoriser la récupération motrice en mobilisant les membres et en faisant manipuler différents objets, avec un succès limité.
Depuis les années 2000, une révolution technologique est apparue – ouvrant de nouvelles perspectives pour la rééducation : l’imagerie par résonance magnétique (IRM). Elle permet d’observer l’intérieur du cerveau en deux ou trois dimensions et de révéler des informations jusque-là invisibles avec des techniques d’imagerie traditionnelles. En d’autres termes : les médecins ont désormais accès à ce qui se passe dans le cerveau des patients en temps réel lors d’une tâche.

samedi 8 février 2020

Le monde en 2020.Les infirmières prendront plus de responsabilités

Publié le 

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que 2020 serait l’année internationale des sages-femmes et du personnel infirmier, afin de marquer les 200 ans de la naissance de Florence Nightingale, qui a défini les principes régissant les soins infirmiers et l’hygiène hospitalière à l’époque moderne. Si celle-ci se rendait aujourd’hui dans un hôpital, elle constaterait avec satisfaction les avancées qu’a connues la profession depuis le XIXe siècle, mais aussi les évolutions qui restent à venir.
Florence Nightingale a fondé la première école de soins infirmiers dans un hôpital londonien en 1860, et elle a écrit environ 200 livres et articles scientifiques. Elle a été la première femme admise à la Société royale de la statistique, au Royaume-Uni.

À l’époque où elle soignait les soldats britanniques pendant la guerre de Crimée, elle a défendu l’hygiène hospitalière en proposant un graphique circulaire adapté, appelé “Diagramme des causes de mortalité dans l’armée sur le front de l’Est”. Elle voulait montrer que les soldats mouraient plus souvent d’infection que de leurs blessures et elle a conçu son graphique afin de “montrer aux yeux ce que nous ne parvenons pas à transmettre au cerveau du grand public par ses oreilles sourdes aux mots”.

Eva Illouz : "La liberté sexuelle a été récupérée par des forces économiques pour créer des marchés de masse"

L'INVITÉ(E) DES MATINS par Guillaume Erner
05/02/2020
41 MIN

Après 20 ans d’enquête sur la transformation par le capitalisme de la vie amoureuse, la sociologue spécialiste des émotions Eva Illouz, revient avec "La fin de l’amour, enquête sur un désarroi contemporain" (éd. Seuil) où elle analyse désormais les "non-relations".
Comment l'amour se conjugue-t-il avec la modernité ? - Photographie d'un couple se tenant la main
Comment l'amour se conjugue-t-il avec la modernité ? - Photographie d'un couple se tenant la main  Crédits : Suwannar Kawila / EyeEm - Getty
Après une recherche menée pendant 20 ans autour de la transformation par le capitalisme de la vie amoureuse, la sociologue franco-israélienne Eva Illouz enquête désormais sur le "non-amour", les aventures d’un soir ou encore les divorces. Spécialiste des émotions, elle dresse une sociologie de l’intime sous le prisme de la modernité des rapports amoureux. Comment le vent de liberté qui a soufflé sur les relations amoureuses a-t-il influencé notre vie sociale et affective ? La liberté de s’engager ou de se désengager d'accord, mais à quel prix ? Se dirige-t-on inéluctablement vers la fin de l’amour ? 
Eva Illouz  est sociologue franco-israélienne, directrice d’études à l’EHESS. Elle enseigne à l’Université hébraïque de Jérusalem. Elle est auteure de « La Fin de l’amour, enquête sur un désarroi contemporain » (Seuil 2020).

Des hommes violents

DOCUMENTAIRES  UN PODCAST EN 6 ÉPISODES

Par Mathieu Palain


Des hommes violents.

Condamnés par le tribunal pour violences conjugales, ces douze hommes sont contraints par la justice de participer à un groupe de parole pendant six mois. Tous viennent d’univers différents : l'un est un homme d’affaires à succès, un autre à la recherche d’emploi, un autre tient un garage... Ils commencent par clamer unanimement leur innocence ou par refuser de reconnaître leurs torts. Puis évoluent, ou pas. Ce podcast s’attache séance après séance à suivre leur avancée, à partir à leur rencontre, à les écouter. Il est nourri des propres interrogations du narrateur, Mathieu Palain, sur le mouvement #metoo et la question des masculinités aujourd’hui. Et mis en perspective par trois récits de victimes. Un podcast de Mathieu Palain et Cécile Laffon, disponible à partir du 21 novembre


Violences envers les femmes : faut-il inscrire l’emprise dans la loi ?

4 février 2020

Photo Rip Hopkins. Agence VU

L’Assemblée nationale votait la semaine dernière, en première lecture, une proposition de loi «visant à protéger les victimes de violences conjugales». Fallait-il introduire dans la loi la notion d'emprise difficile à prouver devant les juges ? Deux juristes en débattent.

POUR
Yael Mellul, coordinatrice juridique du Pôle d'aide aux victimes de violence : «L'emprise relève de la même cruauté que les violences physiques et doit être traitée avec la même gravité»
Sans une préparation psychique destinée à la soumettre, aucune femme n’accepterait la violence physique. C’est cette préparation psychique, cette pression psychologique, cette violence des mots créant une situation de domination, qui conduit à la destruction morale d’un être, puis à la violence des coups, et hélas trop souvent, à la mort.
Par des microviolences, mensonges, sarcasmes, mépris, humiliations, dénigrement, insultes, isolement, état de dépendance financière, harcèlement, menaces, le libre arbitre de la victime et son regard critique sur la situation vont progressivement être altérés. Ce processus d’emprise entraîne chez la victime une altération de ses capacités de jugement, qui la conduit à accepter l’inacceptable, à tolérer l’intolérable. La victime se trouve alors dans l’impossibilité de nommer ce qu’elle vit, ce qu’elle peut tolérer ou pas. Les conséquences traumatiques sont considérables : s’opère une véritable rupture identitaire.

Hospitalisation sans consentement : seules des raisons médicales peuvent justifier des restrictions d'accès à internet, rappelle Adeline Hazan

PAR 
COLINE GARRÉ - 
PUBLIÉ LE 06/02/2020



Crédit photo : Phanie
La Contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) Adeline Hazan recommande qu'un accès à internet soit aménagé dans l'ensemble des hôpitaux accueillant des patients admis en soins sans consentement, et que ces derniers puissent conserver leurs téléphones, dans un avis paru au « Journal Officiel », ce 6 février.

Hôpital public: le cri de colère d'un centre psychiatrique

Face à la situation de péril que subissent les établissements hospitaliers, le collectif pour le soin au Centre Montfavet s’inscrit pleinement dans le mouvement national visant à sauver l'hôpital public. Il dénonce cette crise sans précédent : «Les dysfonctionnements constatés ne sont pas accidentels mais le résultat d'un système délétère de gestion qui privilégie l’aspect comptable et financier au détriment du soin.»
Une situation de péril imminent sévit dans les établissements hospitaliers, liée à l'organisation du système de santé en général et celui de la santé mentale en particulier. Les décisions politiques nationales et leurs déclinaisons locales et régionales provoquent partout une pénurie de moyens, sous prétexte d'objectifs budgétaires et managériaux, et ce en dépit des rapports alarmants venus du terrain et des incidents dramatiques qui font l'actualité. Les premiers impactés sont les patients et leurs proches.
On ne dira jamais assez la souffrance d’une famille qui voit l’un des siens s’enfoncer dans la maladie mentale sans trouver l’aide professionnelle  nécessaire. La crise sociale actuelle décuple les difficultés d’une grande partie de la population de notre pays et les malades psychiques, exclus parmi les exclus, sont touchés de plein fouet. La crise des divers dispositifs d’aide sociale se conjugue aux réorganisations imposées par la baisse drastique des moyens des hôpitaux et conduit à une situation dramatique.
C’est face à cette situation que s’est constitué un collectif pour le soin au centre hospitalier de Montfavet. En tant que soignants, nous constatons chaque jour le malaise du service public de santé mentale et la dégradation de la qualité et de la pertinence des soins prodigués. Il y a quelques années encore, lorsque la psychiatrie de secteur avait les moyens de fonctionner, la plupart d’entre nous  auraient été soulagés et fiers de pouvoir proposer une prise en charge dans nos propres services à un proche. Aujourd’hui, la fierté a laissé place à la honte, celle des modalités indignes d’accueil et de prise en charge des patients : hospitalisation en sureffectif avec des malades qui se retrouvent à devoir dormir sur des matelas à même le sol, promiscuité de pathologies incompatibles qui met en danger les patients les plus vulnérables, unités de soins sans médecin pendant plusieurs jours consécutifs du fait de la pénurie médicale, sorties précipitées pour « faire de la place », délais de consultation en ambulatoire totalement inadaptés à la demande et aux besoins, crises de violence de certains patients induites simplement par le manque de disponibilité des soignants. Cela se passe bien à Montfavet, en France, en 2020. C’est insupportable.

Psychiatrie dans la Nièvre : les nombreuses inquiétudes des agents du centre hospitalier Pierre-Lôo

Le Jdc

Publié le 06/02/2020  

Psychiatrie dans la Nièvre : les nombreuses inquiétudes des agents du centre hospitalier Pierre-Lôo
L'établissement public de santé mentale rayonne à l'échelle de la Nièvre.

Inquiets du devenir du centre hospitalier Pierre-Lôo à La Charité-sur-Loire, établissement public de santé mentale rayonnant à l'échelle de la Nièvre, près de 70 agents ont manifesté leur colère, jeudi 6 février.
Rien ne va plus non plus chez les professionnels de la psychiatrie publique de la Nièvre. Alors qu'un cortège de manifestants mobilisés contre la réforme des retraites les rejoignait, près de 70 manifestants, agents du centre hospitalier Pierre-Lôo de La Charité-sur-Loire, Nevers et de partout où l'établissement gère des centre médico-pédagogiques, des centres d'accueil thérapeutiques à temps partiel et hôpitaux de jour, manifestaient devant le siège départemental de l'agence régionale de santé (ARS) à Nevers. Nouvelle étape après le dépôt d'un préavis de grève illimitée et l'élaboration d'une pétition signée par plus de 700 personnes.

Chirurgie bariatrique à l’adolescence : entre physique et mental

Univadis

Par Nathalie Barrès   4 févr. 2020

À retenir 

La plus large étude de cohorte menée jusqu’à présent ayant évalué la santé mentale à moyen terme d’adolescents en post-chirurgie bariatrique vient de livrer ces résultats. Ceux-ci ont été publiés dans The Lancet. Ils révèlent que la prévalence des problèmes de santé mentale est plus élevée chez les adolescents obèses que dans la population générale qu’il y ait ou non une prise en charge chirurgicale de l’obésité. Ces jeunes sont tout particulièrement en attente d’une meilleure santé physique et mentale après la chirurgie. La chirurgie bariatrique améliorerait bien des aspects de la santé physique et la qualité de vie des adolescents, mais environ un quart des adolescents présenteraient toujours à moyen terme des troubles de santé mentale nécessitant une prise en charge spécifique. Ces résultats mettent en évidence que la chirurgie de l’obésité doit s’inscrire dans une prise en charge multidisciplinaire, et ce, d’autant plus qu’elle s’adresse à des individus en pleine période de construction et de vulnérabilité.

Succès des thérapies cognitives et comportementales digitales pour améliorer l’insomnie chez la femme enceinte

Univadis

Par Agnès Lara  3 févr. 2020

À retenir

La thérapie cognitive et comportementale pour l’insomnie (TCCi) délivrée par voie digitale à des femmes enceintes améliore de façon significative la sévérité des symptômes d’insomnie par rapport aux soins standards, avec un effet de taille important.
Davantage de femmes ont pu obtenir une rémission de leur insomnie dans le groupe TCCi vs le groupe contrôle et les symptômes d’anxiété et de dépression ont aussi été largement améliorés.

Les Français achètent moins de médicaments sans ordonnance mais plus de compléments alimentaires

 06.02.2020


  • Compléments
JOHN GREIM/SPL/PHANIE

Les ventes de médicaments sans ordonnance ont poursuivi leur recul en 2019 en France, selon les fabricants, qui plaident pour l'automédication comme générateur d'économies pour le système de Sécurité sociale. 
Le chiffre d'affaires des médicaments vendus hors prescription médicale en pharmacie a diminué de 4 % pour représenter 2,1 milliards d'euros en 2019, après une baisse déjà marquée en 2018 (-4,6 %), selon le baromètre annuel de l'Association française des fabricants du secteur (Afipa) diffusé mercredi. Les médicaments pour les voies respiratoires, le confort digestif ou les antalgiques figurent parmi les plus vendus.

Les tarifs à l’hôpital vont augmenter jusqu’en 2022

Par Le Parisien avec AFP 

Le 6 février 2020 

 Les tarifs des hôpitaux et cliniques augmenteront pour la deuxième année consécutive en 2020, après la signature d’un accord entre le ministère de la Santé et les cinq fédérations hospitalières.
Les tarifs des hôpitaux et cliniques augmenteront pour la deuxième année consécutive en 2020, après la signature d’un accord entre le ministère de la Santé et les cinq fédérations hospitalières. LP/Fred Dug

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a annoncé ce jeudi la signature d’un protocole d’accord garantissant une hausse minimale des tarifs pour la deuxième année consécutive et jusqu’en 2022.


Suicide d'un patient en soins palliatifs à l'hôpital de Pithiviers : "Ce drame aurait pu être évité"

Résultat de recherche d'images pour "france bleu loiret logo"
Un patient en soins palliatifs s'est suicidé à l'hôpital de Pithiviers la semaine dernière. La CGT estime que ce drame aurait pu être évité : il n'y a plus de psychologue dans ce service, depuis des années, pour accompagner les patients en fin de vie. L'Agence régionale de santé ouvre une enquête.

L'hôpital public de Pithiviers (janvier 2019)
L'hôpital public de Pithiviers (janvier 2019) © Radio France - Anne Oger
Lire la suite et voir la vidéo ...

Au sud de Nantes, une communauté de « veilleurs » face au suicide

  • Florence Pagneux (correspondante à Nantes)
      • La 24e journée de prévention du suicide, mercredi 5 février, insiste sur la nécessité d’un travail de tous pour prévenir le suicide. Une philosophie expérimentée depuis 15 ans dans le vignoble nantais par le Groupe de prévention du suicide (GPS)
        • Au sud de Nantes, une communauté de « veilleurs » face au suicide

            • Un père de famille en arrêt de travail après un « burn-out », qui ne supporte plus cette situation. Une femme de 58 ans en instance de divorce qui vit très mal la séparation. Une mère découvrant des idées noires dans les cahiers de sa fille de 15 ans… Toutes ces personnes ont récemment pris contact avec le Groupe prévention du suicide (GPS) de la communauté de communes Sèvre et Loire, dans le vignoble nantais.

Suicide au travail : 5.000 morts par an pourraient être évités

Résultat de recherche d'images pour "france bleu logo"
Par , France Bleu Paris Mercredi 5 février 2020 

A l'occasion de la 24e journée nationale de prévention du suicide, l'économiste Jean-Claude Delgènes estime qu'il faut changer la loi pour mieux protéger les salariés. Ce spécialiste de la prévention des risques au travail appelle l'Etat à mettre en oeuvre un vrai plan d'action.
Jean-Claude Delgènes, président-fondateur de Technologia.
Jean-Claude Delgènes, président-fondateur de Technologia. © Radio France - Nicolas Olivier

Lire la suite et voir la vidéo ...

Suicide au travail : 5.000 morts par an pourraient être évités

Résultat de recherche d'images pour "france bleu logo"
 - 
Par France Bleu Paris

Suicide au travail : 5.000 morts par an pourraient être évités

Résultat de recherche d'images pour "france bleu logo"