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vendredi 30 octobre 2020

"Al-Rissala/Le Message" : l’épopée du film qui raconte la vie du prophète Mahomet... sans jamais le montrer

Par Tewfik Hakem  30/10/2020

Rediffusée à chaque fête religieuse sur les chaînes de télévisions arabes, "Ar-Risālah/Le Message", superproduction réalisée en 1976 par le réalisateur syro-américain Mustapha Al-Akkad, a paradoxalement renforcé la doctrine d’Al-Azhar qui interdit rigoureusement toute représentation du prophète.

L'acteur américain Anthony Quinn dans le rôle de Hamza dans le film Le Message de Moustapha Akkad (1977)
L'acteur américain Anthony Quinn dans le rôle de Hamza dans le film Le Message de Moustapha Akkad (1977) Crédits : Film Publicity Archive/United Archives - Getty

Quand les patrons des studios hollywoodiens reçoivent en 1973 le projet du film The Message de Mustapha Al-Akkad, ils oscillent entre scepticisme et perplexité : "Mais enfin comment peut-on raconter au cinéma la naissance de l’Islam sans montrer son Messager, le prophète Mahomet ?" 

Face à eux le réalisateur syro-américain est persuadé qu’on peut faire un biopic sur Mahomet tout en gardant le prophète hors-champ durant tout le film, comme l’exigent les théologiens égyptiens d’Al-Azhar.  

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"On ne peut pas se moquer impunément des religions" : la déclaration polémique de l'Archevêque de Toulouse


Publié le 30/10/2020

La France est endeuillée par le terrorisme. Après le nouvel attentat commis ce jeudi 29 octobre à Nice, Monseigneur Le Gall, Archevêque de Toulouse, déclare vendredi 30 octobre que "l'on ne peut pas se moquer impunément des religionsRegardez ce que cela donne" provoquant la polémique.

Monseigneur Robert Le Gall, archevêque de Toulouse, le jour de la cérémonie de l'ordination épiscopale.

Monseigneur Robert Le Gall, archevêque de Toulouse, le jour de la cérémonie de l'ordination épiscopale. • © JL.Pradels/MaxPPP

Selon l'Archevêque de Toulouse, Robert Le Gall, "on ne peut pas se permettre de se moquer impunément des religions". Pour le prélat toulousain, la France en paie le prix fort. "Regardez ce que cela donne" a-dit-il déclaré sur l'antenne de France Bleu Occitanie, vendredi 30 octobre, faisant référence aux attentats de ces dernières semaines : celui de Notre-Dame-de-l’Assomption à Nice, le 29 octobre, ayant coûté la vie à trois personnes, et celui du collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) le 16 octobre où le professeur Samuel Paty a été tué par un islamiste de 18 ans pour avoir montré à ses élèves de 4e des caricatures du prophète Mahomet publiées par Charlie Hebdo.

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Solidaire et volontaire

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Nous recherchons 25 000 volontaires pour participer au développement de vaccins sûrs et efficaces.

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Pourquoi être volontaire ?

Parce que demain, nous avons tous envie de pouvoir sortir voir nos amis sans contrainte, déjeuner en famille, prendre dans nos bras nos parents ou nos grands-parents, mobilisons-nous pour stopper la pandémie.

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RTFLASH  Mercredi, 28/10/2020

Les lésions de la colonne vertébrale peuvent rompre les connexions nerveuses, empêchant les signaux de passer du cerveau aux nerfs et aux muscles ; des maladies comme la maladie d’Alzheimer peuvent également entraîner la destruction des neurones et de leurs connexions. Ce qui se traduit par des pertes de mémoire, une communication perturbée et des changements comportementaux.

Afin d’identifier des traitements potentiels pour ce genre de maladie, une équipe du Laboratoire de recherche en biologie moléculaire de l’Université de Cambridge a étudié un groupe de protéines appelées organisateurs synaptiques. Comme leur nom l’indique, ces molécules aident à relier les neurones entre eux par l’intermédiaire des synapses, et maintiennent ainsi les nombreuses connexions intervenant au sein du système nerveux.

Partant du principe que le fait de mélanger et combiner les propriétés utiles de ces protéines permettrait de rétablir certaines des connexions perdues à la suite de troubles neurologiques ou de blessures, l’équipe est parvenue à concevoir une molécule artificielle particulière appelée CPTX, qui s’est révélée particulièrement efficace lorsqu’il s’agissait d’organiser les connexions entre les neurones dans différentes cultures cellulaires. « Les dommages au cerveau ou à la moelle épinière impliquent souvent la perte des connexions neuronales dans un premier temps, ce qui conduit finalement à la mort des cellules neuronales », explique Radu Aricescu, un des auteurs de l’étude. « Avant que les neurones ne meurent, il existe toutefois une fenêtre d’opportunité durant laquelle ce processus peut théoriquement être inversé. Nous avons donc conçu une molécule susceptible de réparer ou de remplacer les connexions neuronales de manière simple et efficace ».

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Un lien entre les neurones sensoriels et le système immunitaire

 RTFLASH    Mercredi, 28/10/2020

La douleur est un mécanisme de protection qui nous avertit du danger en générant une sensation désagréable. Le message d'avertissement est transmis à la moelle épinière par des neurones sensoriels spécialisés, qui sont entrelacés avec d'autres neurones sensoriels et moteurs dans les nerfs périphériques. « Pendant longtemps, on a cru que la douleur et l'inflammation étaient des processus distincts, générés indépendamment. Il n'avait encore jamais été démontré si les fibres sensorielles qui déclenchent la douleur pouvaient induire une inflammation », indique Frédéric Michoud, post-doctorant à l'EPFL.

L'optogénétique est une technique qui permet de moduler l’activité des neurones sélectionnés génétiquement en les éclairant. L'optogénétique a révolutionné les neurosciences ; le cerveau a jusqu’à présent été la cible privilégiée de ces études, l’application de l’optogénétique aux neurones des nerfs périphériques s’avérant plus difficile. « Le défi a été de développer une approche technologique qui permette une stimulation/éclairage optique répétée sur plusieurs jours sans endommager le nerf ni affecter le comportement de l'animal », explique le professeur Clifford Woolf de la Harvard Medical School/Boston Children's Hospital.

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Le vaccin contre la grippe pourrait réduire le risque de contamination au Covid-19

 RTFLASH Jeudi, 29/10/2020 

Le vaccin contre la grippe pourrait aussi avoir une vertu insoupçonnée : il pourrait avoir des effets protecteurs contre le Covid-19, selon les résultats d’une étude néerlandaise réalisée par des chercheurs de l’Université de Nijmegen. Mais ces travaux sont encore préliminaires et ne signifient pas que le vaccin contre la grippe assure une protection totale contre le coronavirus.

Les auteurs de ces travaux ont observé que « les infections au SARS-CoV-2 étaient moins courantes chez le personnel hospitalier vacciné aux Pays-Bas durant l’hiver 2019/2020 contre la grippe saisonnière ». « Plusieurs études épidémiologiques ont également suggéré une protection croisée entre la vaccination contre la grippe et le Covid-19 pendant la pandémie actuelle », avancent les chercheurs à l’appui de leurs conclusions.

En outre, d’après les résultats de tests menés in vitro par ces chercheurs, le vaccin antigrippal induirait une réponse immunitaire contre l’infection à SARS-CoV-2, « y compris une amélioration des réponses des cytokines après stimulation de cellules immunitaires humaines avec le SARS-CoV-2 ».

En clair : la réponse immunitaire de l’organisme exposé au Covid-19 – qui lutte en libérant des molécules inflammatoires – serait plus efficace. Or, dans les formes graves de coronavirus, de nombreux patients ont souffert de «  l’orage de cytokine », qui correspond à un emballement du système immunitaire, lequel surréagit à l’infection au Covid-19. « Ces données, associées à de récents rapports indépendants similaires, plaident en faveur d’un effet bénéfique de la vaccination antigrippale contre la grippe et le Covid-19 », assurent les auteurs.

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Les corneilles possèdent une forme de conscience

 RTFLASH   Jeudi, 29/10/2020

Les oiseaux de la famille des corvidés sont réputés pour leurs capacités cognitives remarquables et, selon Suzanna Herculano-Houzel, professeure de neurobiologie à l’Université américaine Vanderbilt, ils seraient aussi intelligents que nos cousins les primates.

On a longtemps pensé que les oiseaux étaient dépourvus d’un néocortex, cette partie de la matière grise cérébrale propre aux primates. Particulièrement développée chez l’humain, elle est impliquée dans des fonctions cognitives dites supérieures, comme la perception sensorielle et la réaction. L’étude de Martin Sacho et Christina Herold, chercheurs en neuroscience des universités allemandes de Bochum et Dusseldorf, révèle une neuroarchitecture jusqu’ici inconnue du cerveau antérieur sensoriel des oiseaux, le pallium.

Cette organisation pourrait générer des capacités de calcul qui rappellent celles du néocortex, selon l’étude. Elle conforte le constat que certains volatiles possèdent des capacités cognitives complexes, comme par exemple la fabrication d’outils pour saisir de la nourriture. On sait que le pallium des corvidés et perroquets contient plus d’un demi-milliard de neurones, et jusqu’à un à deux milliards, comme celui des singes, note l’article de Science. L’étude de Stacho et Herold démontre que ce réseau a une organisation similaire à celui du cortex des mammifères.

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Sport et mémoire : une alliance gagnante …

 RTFLASH

Jeudi, 29/10/2020



Sport et mémoire : une alliance gagnante…

Si le sport est bon pour le corps, il semble l'être aussi pour le cerveau. En évaluant les performances mnésiques suite à un exercice sportif, des neuroscientifiques de l'Université de Genève (UNIGE) démontrent qu'une séance d'exercice physique intensif aussi brève que 15 minutes de vélo améliore la mémoire, et notamment l'acquisition de nouvelles compétences motrices.

En cause ? L'action de molécules connues pour augmenter la plasticité synaptique : les endocannabinoïdes. Cette étude met en lumière les vertus du sport pour la santé comme pour l'éducation. Les programmes scolaires et les stratégies visant à réduire les effets de la neurodégénération sur la mémoire pourraient ainsi en bénéficier.

Bien souvent, juste après un exercice sportif --en particulier d'endurance comme la course à pied ou le vélo --on ressent un bien-être physique et psychologique. Cette sensation est due aux endocannabinoïdes, de petites molécules produites par l'organisme lors d'un effort physique. « Ils circulent dans le sang et passent facilement la barrière hématoencéphalique. Ils se fixent alors sur des récepteurs cellulaires spécialisés et déclenchent cette sensation d'euphorie. De plus, ces mêmes molécules se fixent sur des récepteurs de l'hippocampe, la structure cérébrale au cœur des processus mnésiques » indique, Kinga Igloi, maître assistante au sein du laboratoire de la professeure Sophie Schwartz, au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l'UNIGE, qui a dirigé ces travaux. « Mais quel est le lien entre sport et mémoire ? C'est ce que nous avons voulu comprendre », poursuit-elle.

Pour tester l'effet du sport sur l'apprentissage moteur, les scientifiques ont demandé à un groupe de 15 hommes jeunes et en bonne santé, sans pour autant être des athlètes, de se soumettre à un test de mémoire dans trois conditions d'exercice physique : après 30 minutes de vélo d'intensité modérée, après 15 minutes de vélo intensif (défini comme 80 % de leur fréquence cardiaque maximale), ou après un moment de repos. 
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Avec le reconfinement, la crainte d'une recrudescence des violences conjugales

Par Marlène Thomas — 

Manifestation contre les violences faites aux femmes à Paris, le 23 novembre.

Manifestation contre les violences faites aux femmes à Paris, le 23 novembre. Photo Édouard Caupeil pour Libération

Après le rebond constaté lors du premier confinement, les mesures sanitaires annoncées mercredi font redouter une augmentation des violences intrafamiliales. Le dispositif mis en place au printemps reste en vigueur.

«On a toujours les mêmes inquiétudes pour les femmes et enfants qui seraient bloquées avec leur agresseur à leur domicile lors du reconfinement», confie Françoise Brié, directrice de la Fédération nationale solidarité femmes (FNSF), qui a créé la ligne nationale d’écoute Violences femmes info 3919 en 1992. «Le confinement est toutefois plus souple. Il y a la possibilité de travailler et les écoles restent ouvertes, ce qui donnera quelques portes de sortie aux femmes victimes de violences conjugales», nuance-t-elle. Ces nouvelles modalités permettent aussi d’organiser plus aisément la poursuite des activités des associations.

Serge Tisseron : « Quelle place pour la santé psychique des Français confrontés au Covid-19 et au terrorisme ? »

Aux quatre angoisses de la pandémie – la mort physique, sociale et psychique, ou la disparition de l’espèce – s’ajoute le terrorisme, analyse le psychiatre Serge Tisseron.

Publié le 30 octobre 2020

Un patient attend dans un couloir du centre psychiatrique du Bois-de-Bondy (Seine-Saint-Denis), le 7 mai.

Tribune. Les grandes lignes du nouveau plan de lutte contre la propagation du Covid-19 présentées par le président de la République, mercredi 28 octobre, suffiront-elles à désamorcer le déni de la gravité de la pandémie qui sévit chez beaucoup de nos concitoyens ? Un déni qui se perçoit dans la façon dont le masque est souvent réduit à un accessoire inefficace, et qui alimente parfois des déclarations sur la prééminence des liens sociaux sur toute autre considération.

Un déni problématique, certes, mais qui ne fait, hélas, que répondre en miroir à un autre : le déni de l’importance des liens sociaux, notamment familiaux, qui semble avoir présidé aux mesures de confinement imposées entre mars et juin 2020.

Accès aux masques à géométrie variable pour les professionnels de l’Autonomie : la Fédésap indignée !

 Accueil - Fedesap

Protection gratuite pour les salariés des EHPAD et des particuliers-employeurs MAIS PAS pour ceux des Services d’Aide et d’Accompagnement à Domicile (SAAD).

Conviée le 22 octobre par la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), au Ministère des Solidarités et de la Santé, pour une réunion de suivi de la crise sanitaire, la Fédésap a fait part de sa stupéfaction quant à l’annonce d’un traitement différencié entre les professionnels intervenant en EHPAD ou en emploi direct et les 400 000 auxiliaires de vie des SAAD.

Seuls les professionnels des EHPAD ou en emploi direct bénéficieront de la prise en charge gratuite des masques de protection. Mieux, ces derniers bénéficient de 50 masques par mois retirables en pharmacie sur simple présentation de leur contrat de travail et/ou de leur bulletin de salaire.

La Fédésap réclame un traitement identique sur TOUS LES TERRITOIRES et pour TOUS LES PROFESSIONNELS de l’Autonomie.

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Tombeau de la fille inconnue

Nicolas Gastineau publié le  

Un fantôme du passé revient nous hanter. La revue Antiquity a publié le mois dernier le résultat d’une enquête scientifique longue d’un demi-siècle. L’enjeu était de comprendre l’histoire d’un crâne retrouvé dans des décombres il y a 55 ans en Grande-Bretagne. Résultat : il appartenait à une jeune fille du IXe siècle, exécutée avec une inqualifiable cruauté. Mais quoi de surprenant au lointain Moyen Âge, réputé brutal et obscur ? Pourquoi ce meurtre aurait-il une signification particulière aujourd’hui ? L’historien et philosophe Pierre Vesperini nous l’explique avec souffle et érudition : loin d’être un isolat dans l’histoire, cette fille a été brutalisée au nom d’une violence continue et millénaire. Une entreprise délibérée d’« avilissement des femmes » et de leur « destruction morale et physique » portée par l’Église et l’État. D’après lui, les violences d’aujourd’hui, les « féminicides » et les « porcs », en sont les héritiers. Vesperini inscrit ainsi sa généalogie dans l’actualité : pour lui, la brutalité continuera tant que « ses racines n’auront pas été clairement nommées, reconnues, et extirpées. »

  • La fille avait entre 15 et 18 ans. On lui a tranché le nez et les lèvres, on l’a scalpée, et elle est morte. Et pourtant, ce n’était pas un crime, mais un meurtre légalprévu par une loi de l’époque. Ce qu’il faut retenir, c’est donc qu’il ne s’agissait pas d’un lynchage spontané : c’était une entreprise rationnelle. L’inspirateur de la loi, l’archevêque d’York Wulfstan, était un ecclésiastique érudit et lettré. Vesperini s’appuie sur l’exemple de ce personnage pour avancer une première thèse. Non, la violence la plus cruelle ne provient pas toujours d’un « peuple » mal éduqué et sauvage que les savants chercheraient à modérer. Elle émanerait aussi d’une « contribution active que, tout au long de l’histoire, les intellectuels ont apporté à l’institution de la violence. »
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«PRENDRE PLACE», LE LONG CHEMIN DES ROMS

Par Luc Chessel — Le documentaire de Jérémy Gravayat est une cartographie de la mémoire. Photo J. Gravayat

«Celui qui trahit l’amour / Que Dieu le frappe à son tour / Que le vent et la poussière / Soient son lot sur cette terre» : la voix de la chanteuse roumaine Maria Tanase étend les syllabes de sa malédiction d’amour sur le travelling urbain du générique de Prendre place. Il existe, il survit, il revit, le cinéma qui ne trahit pas l’amour. Entre 2013 et 2018, avec quelques habitants d’un bidonville de La Courneuve, le «platz du Samaritain» - expulsé et détruit en 2015, non sans résistance, et sans solutions de relogement -, Jérémy Gravayat a fabriqué un très beau film. Son titre original en roumain, A Lua Platz, pourrait se traduire «prendre platz», mais si le point de départ de son trajet est bien la lutte des habitants contre la disparition du platz de la rue Pascal, le film va dans toutes les directions qui s’offrent à lui, dans l’espace et dans le temps, pour rendre compte des vies de ceux qu’ils filment, c’est-à-dire prendre position et place à leur côté.

Troubles bipolaires : l’intérêt des interventions psychosociales confirmé

 Univadis - Photos | Facebook

Par Agnès Lara   26 oct. 2020


À retenir

  • Une méta-analyse américaine en réseau montre à partir des résultats de 39 essais cliniques que globalement l’ajout d’une psychothérapie au traitement pharmacologique est associé à une réduction nettement plus importante des rechutes par rapport à un traitement pharmacologique avec soins usuels.
  • L’analyse par type d’intervention fait apparaître les thérapies familiales ou de couple et les interventions psycho-éducatives standards (entraînement au repérage des symptômes prodromaux) comme étant les plus fortement associées à une réduction des rechutes.