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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 19 décembre 2020

"N’oublie pas mon petit soulier" : une histoire du cadeau de Noël

LE 17/12/2020

À retrouver dans l'émission

LE COURS DE L'HISTOIRE

par Xavier Mauduit

Noël a-t-il perdu une partie de sa magie ? Du recentrage sur l’enfant à l’émergence de la figure du donateur surnaturel, les traditions et les significations de l’échange de cadeaux ont considérablement évolué. Quelle place conserve le jeu dans l’histoire de Noël ?

Fêter Noël dans les années 1960 et fêter Noël aujourd'hui, quelles différences pour le jeu ?
Fêter Noël dans les années 1960 et fêter Noël aujourd'hui, quelles différences pour le jeu ?Crédits :  Getty

« Ah, de mon temps, à Noël, comme cadeau je n’avais qu’une orange… et j’étais bien content ! » La belle orange, dévorée en un instant par les uns, conservée plus longtemps par les autres, fut une tentation sucrée et légèrement acidulée de Noël. C’est ainsi qu’elle est présentée quand les anciens parlent de leur jeunesse. Pourtant, l’orange de fin d’année a une histoire. Le 31 décembre 1866, le Petit Journal fait sa une sur les oranges et le jour de l’an : « À l’approche du jour de l’an, il est un objet d’étrennes, à la portée de tout le monde, et qui constitue le modeste cadeau du pauvre. Bien qu’il ne coûte que quelques centimes, il est joli de forme, attrayant de couleur, succulant (sic) de goût, suave de parfum… La belle dame y applique ses lèvres dans le fond de sa loge à l’Opéra, cachée sous l’éventail. Le gamin de Paris en absorbe le contenu et fait ensuite, avec la pelure, des feux d’artifice à la chandelle ». Cette friandise aimée de tous est l’orange ! Ce « fruit plébéien », commet dit le journal, s’inscrit dans la longue histoire de Noël et de celle des cadeaux. Pour l’écouter, installons-nous au pied du sapin. (Xavier Mauduit)

" De mon temps, on ne recevait qu’une orange pour Noël " : que de fois avons-nous attendu cette Vieille lune dans la nuit de Noël. 

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vendredi 18 décembre 2020

Linguistique intérieure : qui me parle ?

LE 17/12/2020

À retrouver dans l'émission

LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE

par Nicolas Martin


Que sait-on de notre petite voix intérieure ? Comment ce langage privé se manifeste-t-il ? Quelles en sont ses caractéristiques au niveau comportemental, physiologique et cérébral ? Quel est le rôle de cette parole intérieure chez l’humain ?

L’endophasie est une certaine forme de manifestation du langage humain, qui est audible uniquement par locuteur, également nommée langage intérieur.
L’endophasie est une certaine forme de manifestation du langage humain, qui est audible uniquement par locuteur, également nommée langage intérieur.  Crédits :  Getty

Bon allez c’est parti, dernière émission avant la fin de la semaine c’est parti on se motive… oh… pardon… j’ai dit ça à voix haute ? Ah… c’est le problème parfois avec la voix intérieure. On se parle sans verbaliser et puis d’un coup, paf ! ça sort. Vous avez toutes et tous fait cette expérience, ce dialogue avec vous-même, souvent inconscient, parfois volontairement, il peut même devenir envahissant à l’heure du coucher, lorsque ces voix virent obsessionnelles et tournent en boucle, vous empêchant de trouver le sommeil. Mais qu’est donc cette voix intérieure ? Une discipline l’explore, et cherche à comprendre quand elle apparaît, et ce qui se passe lorsqu’elle dysfonctionne.

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L'année 2020 à hauteur d'enfant

LE 18/12/2020

À retrouver dans l'émission

GRAND REPORTAGE

par Aurélie Kieffer


Covid-19, terrorisme, réchauffement climatique… L’année 2020 a été marquée par des événements particulièrement anxiogènes. Comment aborder ces sujets d’actualité avec les enfants ? Comment les accompagner dans leur découverte du monde sans les traumatiser ?

"On n'est pas protégé de tout", constate Héloïse, 10 ans, à l'issue d'une année 2020 qu'elle qualifie de "pas géniale". Romainville, le 17/12/2020
"On n'est pas protégé de tout", constate Héloïse, 10 ans, à l'issue d'une année 2020 qu'elle qualifie de "pas géniale". Romainville, le 17/12/2020  Crédits :  Aurélie Kieffer - Radio France

L'année qui s'achève a été source d’angoisse pour les adultes mais également pour les enfants. Eux aussi ont été confrontés aux restrictions sanitaires, privés de fêtes d’anniversaire et d’activités collectives, appelés à respecter les gestes barrière et à porter un masque dès six ans. La vie familiale a été chamboulée, les grands-parents souvent éloignés…

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Saint-Malo : treize arrêts de travail simultanés, un service de l'hôpital ferme un mois

Par Bernadette Ramel  Publié le 

Un service psychiatrique de l'hôpital de Saint-Malo, qui a compté récemment jusqu'à 13 arrêts de travail simultanés, va fermer provisoirement. Une grève est annoncée ce vendredi.

Le service « entrant » de psychiatrie 1, qui compte 22 lits, va être fermé durant un mois, jusqu'au 18 janvier 2021. Il a compté récemment jusqu'à 13 arrêts de travail simultanés.
A Saint-Malo, le service de psychiatrie 1, qui compte 22 lits, sera fermé durant un mois, jusqu’au 18 janvier 2021. Il a compté récemment jusqu’à 13 arrêts de travail simultanés. (©Le Pays Malouin)
Un malaise profond, au sein d’un service de psychiatrie de l’hôpital de Saint-Malo, se retrouve aujourd’hui dévoilé au grand jour. Ce service – « psychiatrie 1 » situé sur le site de Broussais – a compté jusqu’à 13 arrêts de travail simultanés sur 22 personnels.
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J'ai grandi avec une mère bipolaire

 SLATE

Publié le 

«Avoir une mère bipolaire, c'est devoir faire une croix sur la présence maternelle.» Yohann, 22 ans, a grandi dans un foyer brisé, seul avec sa mère bipolaire qui refuse les soins et est dépendante affectivement d'hommes qui la maltraitent. «J'ai dû grandir vite, trop vite...» Comment se reconstruit-on après avoir vécu dans une famille dysfonctionnelle ?

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AP-HP : Christian Perronne démis de ses fonctions "pour des propos indignes de la fonction qu'il exerce"

Publié 

"Depuis plusieurs mois, dans un contexte de crise sanitaire, Christian Perronne a tenu des propos considérés comme indignes de la fonction qu'il exerce", a indiqué jeudi l'AP-HP dans un communiqué.

Le professeur Christian Perronne, le 26 janvier 2017.  (LEEMAGE / AFP)

Le directeur général de l'AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris) Martin Hirsch a mis fin, jeudi 17 décembre, aux fonctions de Christian Perronne, annonce l'établissement dans un communiqué. Le chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches est accusé d'avoir "tenu des propos considérés comme indignes de la fonction qu'il exerce""depuis plusieurs mois, dans un contexte de crise sanitaire", faisant référence à l'épidémie de Covid-19.

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"Histoires Ordinaires" : le webzine breton qui met en lumière la confrérie discrète des "gens bien"


Publié le 17/12/2020 

Il y a Vincent l'entendeur de voix, qui milite pour une autre psychiatrie, Pauline, la jeune précaire libre, Jean-Pierre l'ethnobotaniste... Au tota,l ce sont plus de 400 portraits d'anonymes mis en lumière par le webzine breton "Histoires ordinaires", qui revendique un "journalisme de solutions".

Histoires Ordinaires ce sont plus de 400  portraits d’anonymes, rebelles, solidaires, engagés, passionnés…
Histoires Ordinaires ce sont plus de 400 portraits d’anonymes, rebelles, solidaires, engagés, passionnés…

Créé à Rennes il y a dix ans par des passionnés de journalisme, le magazine en ligne associatif est né d'un constat: la nécessité "de diffuser les idées qui foisonnent dans la société, face au désenchantement de la politique qui amène à se démobiliser", raconte Michel Rouger, son cofondateur et rédacteur en chef.

"On donne la parole à des citoyens ordinaires auxquels les grands médias ne s'intéressent pas ou peu, en général des gens des classes moyennes populaires qui résistent, qui ont des idées à revendre pour trouver des solutions aux problèmes de la société", poursuit cet ancien journaliste.

Des histoires qui font du bien

Pas question pour autant de "s'embarquer dans des articles sympathiques sur des gens qui ont des passions individuelles, des collectionneurs". "On veut des gens qui ont un projet collectif, des gens qui ont un impact sur le vivre ensemble", précise-t-il en rappelant que les rubriques du site s'intitulent: "Rebelles, solidaires, engagés, passionnés".

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Au Liban, le principal asile psychiatrique du pays à bout de souffle

Par   Publié  le 17 décembre 2020

D’ici à un mois et demi, en raison de la crise économique, les patients internés à l’hôpital de la Croix n’auront plus rien à manger. 

LETTRE DE BEYROUTH

A Jal el-Dib, une banlieue de Beyrouth, la folie du monde s’est engouffrée dans le monde des fous. L’hôpital de la Croix, le principal asile psychiatrique du Liban, est percuté par le cataclysme économique qui ravage le pays du Cèdre. La chute libre de la monnaie nationale, la livre libanaise, qui a perdu 80 % de sa valeur, couplée à l’envol des prix des denrées de base, de l’ordre de 120 % sur un an, a vidé les caisses de cette institution.

Logé dans un vaste parc, havre de calme sur les hauteurs de la capitale libanaise, l’hôpital vacille sous les coups de la crise. « Il nous reste de quoi nourrir les malades pour encore un mois et demi,soupire la directrice, sœur Jeannette Abou Abdallah. Après cela, on comptera sur la providence. » L’établissement a été ouvert en 1951 par le moine capucin Jacques Haddad (1875-1954), dit Abouna Yaacoub, célèbre défenseur des déshérités. Il est installé sur le site d’un ancien couvent des franciscaines de la Croix du Liban, une congrégation fondée par le frère Jacques.

A l’époque, le principal lieu d’accueil des malades mentaux était l’hôpital Asfourié de Beyrouth, crée en 1900 par un missionnaire quaker suisse. Mais l’endroit, bombardé à de multiples reprises durant la guerre civile et assailli par les difficultés financières, a dû fermer ses portes en 1982. Dans les années qui ont suivi, plusieurs autres hôpitaux se sont dotés d’un service de médecine psychiatrique. Mais aucun n’a acquis l’importance de l’établissement géré par les franciscaines, le seul à être entièrement consacré au traitement de ces pathologies. Avec 1 000 lits et 376 employés, c’est une très grosse structure qui se trouve aujourd’hui sur le fil du rasoir.

Etudiants confinés : «L’entièreté de ma promotion est en panique»

Par Cassandre Leray — 17 décembre 2020

Dans une résidence universitaire à Saint-Denis, le 4 novembre.
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Dans une résidence universitaire à Saint-Denis, le 4 novembre. Photo Cyril Zannettacci. VU

«Libération» a interrogé une quinzaine de jeunes dont le quotidien a été bouleversé par la fermeture des facs quelques semaines après leur première rentrée universitaire. Trop-plein de visios, manque de lien social, appart minuscule… deux mois après, certains craquent.

Jessica a tout lâché il y a trois semaines. La ville bretonne dans laquelle elle étudiait, sa licence d’arts plastiques, sa chambre universitaire… Deux mois après le début des cours, cette néobachelière de 18 ans est même allée jusqu’à se désinscrire, le moral en miettes : «Je pleurais tout le temps, je ne me faisais même plus à manger, je passais mes journées allongée dans mon lit sans aucune énergie. J’ai craqué.» De retour chez ses parents près d’Orléans, elle a décidé de ne plus s’obstiner à suivre des heures d’enseignement à distance alors qu’elle avait perdu le fil. Certes, la fac, c’était son dernier choix sur Parcoursup. Mais Jessica comptait bien «se donner à fond» pour réussir son entrée dans le monde des études supérieures : «Dans ce contexte, c’est impossible. Si on avait eu cours en présentiel, j’aurais sans doute tenu.» Quelques semaines à peine après la rentrée universitaire, l’annonce du reconfinement, le 28 octobre, fait mal. Certaines formations ont pu rester ouvertes, mais pour une grande partie des étudiants, être confiné signifie depuis deux mois avoir cours face à un écran.

jeudi 17 décembre 2020

Ce biologiste méconnu aurait percé le mystère des origines de la vie sur Terre

 NATIONAL

GEOGRAPHIC

Tibor Gánti aurait percé l'un des plus grands mystères scientifiques, et pourtant vous n'avez sans doute jamais entendu parler de lui. Plus d’une décennie après sa mort, la communauté scientifique découvre progressivement ses théories.

DE MICHAEL MARSHALL
PUBLICATION 16 DÉC. 2020
Peinture à l’huile représentant le biologiste hongrois Tibor Gánti.

Peinture à l’huile représentant le biologiste hongrois Tibor Gánti.

PHOTOGRAPHIE DE LÁSZLÓ GULYÁS

Lorsque Tibor Gánti est mort à l’âge de 75 ans le 15 avril 2009, son nom était loin d’être connu. Ce biologiste a passé une grande partie de sa carrière derrière le rideau de fer qui a scindé l’Europe pendant des décennies, entravant tous types d'échanges.

Si ses théories de Tibor Gánti l'ont fait connaître à l’époque communiste, c’est aujourd’hui qu’il est acclamé comme l’un des biologistes les plus novateurs du 20e siècle. Pourquoi ? Car il est à l’origine du modèle de l’organisme vivant le plus simple possible, qu’il a baptisé « chimioton », qui met en lumière une explication passionnante sur les origines de la vie sur Terre.

Celles-ci constituent l’un des mystères les plus déroutants de la science, en partie parce qu’il est composé de plusieurs mystères. À quoi ressemblait la Terre lorsqu’elle s’est formée ? Quels gaz entraient dans la composition de l’air ? Des milliers de substances chimiques désormais utilisées par les cellules vivantes, quelles sont celles qui s’avèrent essentielles ? Et quand ces substances sont-elles apparues ?

Mais la question la plus simple est peut-être la plus complexe. Quel était le premier organisme ?

Chiffre du jour.En Suède, le personnel soignant compte 1,5 million d’heures supplémentaires à son actif

Publié le 

En Suède, le personnel soignant de six des sept CHU a effectué 1,5 million d'heures supplémentaires depuis le début de la pandémie de Covid-19.  Courrier international 

Depuis le début de la crise du Covid-19, infirmiers, médecins, aides-soignants ont au total cumulé près de 1,5 million d’heures supplémentaires. Une situation expliquée par le manque de personnel dans ces corps de métiers.

La radio publique suédoise Sveriges Radio (SR) a récolté des données qui dressent un constat alarmant de la tension à laquelle est soumis le personnel soignant du royaume nordique face au Covid-19.

Le patriarcat était-il déjà présent à la préhistoire ?

© Crawford Jolly/Unsplash

Ariane Nicolas publié le  

C’est un fait reconnu, l’immense majorité des sociétés humaines sont patriarcales, et ce depuis des millénaires. Mais comment expliquer ce phénomène ? Quand les hommes ont-ils pris le pouvoir, et pour quelles raisons ? Depuis des décennies, les sciences humaines tentent de comprendre les mécanismes de “l’oppression masculine” et des violences qui l’accompagnent. Une discipline, notamment, a vu ses travaux sur le sujet se développer en profondeur : la paléoanthropologie, soit l’évolution de la lignée humaine depuis des millions d’années. L’une des questions qui anime les chercheurs est la suivante : la préhistoire détiendrait-elle le secret de la naissance du patriarcat ?

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"N’oublie pas mon petit soulier" : une histoire du cadeau de Noël

LE 17/12/2020

À retrouver dans l'émission

LE COURS DE L'HISTOIRE

par Xavier Mauduit

Noël a-t-il perdu une partie de sa magie ? Du recentrage sur l’enfant à l’émergence de la figure du donateur surnaturel, les traditions et les significations de l’échange de cadeaux ont considérablement évolué. Quelle place conserve le jeu dans l’histoire de Noël ?

Fêter Noël dans les années 1960 et fêter Noël aujourd'hui, quelles différences pour le jeu ?
Fêter Noël dans les années 1960 et fêter Noël aujourd'hui, quelles différences pour le jeu ?Crédits :  Getty

« Ah, de mon temps, à Noël, comme cadeau je n’avais qu’une orange… et j’étais bien content ! » La belle orange, dévorée en un instant par les uns, conservée plus longtemps par les autres, fut une tentation sucrée et légèrement acidulée de Noël. C’est ainsi qu’elle est présentée quand les anciens parlent de leur jeunesse. Pourtant, l’orange de fin d’année a une histoire. Le 31 décembre 1866, le Petit Journal fait sa une sur les oranges et le jour de l’an : « À l’approche du jour de l’an, il est un objet d’étrennes, à la portée de tout le monde, et qui constitue le modeste cadeau du pauvre. Bien qu’il ne coûte que quelques centimes, il est joli de forme, attrayant de couleur, succulant (sic) de goût, suave de parfum… La belle dame y applique ses lèvres dans le fond de sa loge à l’Opéra, cachée sous l’éventail. Le gamin de Paris en absorbe le contenu et fait ensuite, avec la pelure, des feux d’artifice à la chandelle ». Cette friandise aimée de tous est l’orange ! Ce « fruit plébéien », commet dit le journal, s’inscrit dans la longue histoire de Noël et de celle des cadeaux. Pour l’écouter, installons-nous au pied du sapin. (Xavier Mauduit)

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Nouvelles compétences à venir pour les paramédicaux via les protocoles de coopération

Par    16.12.20

Elargir l’offre de soins, réduire les délais d’accès à une prise en charge, et donc améliorer les parcours de santé des patients est aujourd'hui une impérieuse nécessité. Les protocoles de coopération entre professionnels de santé apportent une réponse innovante à ces besoins. Le ministère des Solidarités et de la Santé entend bien les développer aujourd'hui en publiant quatre nouveaux appels à manifestation d’intérêt (AMI). Infirmiers, aides-soignants et ergothérapeutes sont ainsi invités avec les médecins à l'élaboration de protocoles de coopération pour de nouveaux transferts de tâches qui seraient effectifs au cours de l'année 2021, et ce sur l'ensemble du territoire.

Le ministère des Solidarités et de la Santé rappelle que depuis 2019, l’ensemble des appels à manifestation d’intérêt (AMI)pour des protocoles nationaux de coopération est publié par le comité national des coopérations interprofessionnelles1, composé entre autre de l’assurance maladie, de la Haute autorité de santé et d’un représentant des agences régionales de santé avec la participation des conseils nationaux et des ordres professionnels. Si le ministère se félicite de la dynamique engagée grâce au travail d’équipes de professionnels, portant à près de 60 le nombre de protocoles coopération autorisés aujourd'hui, il souligne que la période récente a rappelé l’importance d’engager et de fédérer les professionnels de santé autour d’une organisation transversale et décloisonnée, principe majeur des engagements du Ségur de la santé


Présentation du référentiel des Infirmières en Pratique Avancée (IPA) en Gérontologie

Rédigé par La SFGG

Le référentiel des infirmières en Pratique Avancée (IPA) en Gérontologie, soutenu par le Collège des Soignants de la SFGG,  a été présenté lors de la session "Recherche en sciences cliniques infirmières" par Loriane Saliège.


La taille du pénis n’inquiète pas tous les hommes de la même manière

Par Nathalie Barrès     16 déc. 2020


Une enquête menée chez plus de 52.000 hommes et femmes hétérosexuels suggère que seulement 55% des hommes seraient satisfaits de la taille de leur sexe, alors que 85% des femmes rapportaient être satisfaites de la taille du sexe de leur partenaire. Ainsi, selon cette enquête, près d’un homme sur deux jugerait son pénis trop petit. L’inquiétude d’un homme sur le sujet relèvera le plus souvent d’un simple complexe psychologique gérable et plus rarement d’un trouble dysmorphique pénien, qui nécessitera quant à lui, une prise en charge psychologique ou psychiatrique spécialisée. Quelques études sur le sujet rapportent que ce trouble concernerait 1 à 3% des hommes.

SANTÉ MENTALE ET FOI CHRÉTIENNE

 Accueil

L’irruption de la maladie mentale ou de la blessure de l’intelligence dans une famille ou dans une communauté chrétienne s’accompagne le plus souvent d’un malaise et d’une difficulté à faire face. Le Christ est pourtant présent au cœur de la vie des personnes en souffrance psychique comme en chaque personne. 

Comment accompagner, dans ce contexte, le chemin spirituel ? Quel soin choisir au regard de la foi ? Comment se protéger d’emprises psychiques ? Prêtres et professionnels de santé nous partagerons leurs expériences pour un juste discernement.

Programme

9h00 : Accueil

9h15 : Introduction et modération : Jean LACAU SAINT-GUILY

9h20 - 10h40 : Comment accompagner le chemin spirituel des personnes en souffrance psychique ?

9h20 - 9h50 : L’accompagnement spirituel
R. P. Laurent LEMOINE o.p., théologien et psychanalyste, aumônier de l’hôpital Sainte Anne.

9h50 - 10h20 : L’accompagnement en famille et en communauté chrétienne
Monique DURAND-WOOD, psychologue et théologienne

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Voir la schizophrénie dans la rétine

MATHIEU PERREAULT   Publié le 17 décembre 2020

QUEBEC

Diagnostiquer la schizophrénie en observant… la rétine d’un patient ? C’est l’objectif d'une entreprise de Québec, qui vient d’obtenir que sa technologie soit évaluée en accéléré par les autorités américaines. L’analyse de la rétine pourrait ainsi faire partie du dépistage de certaines maladies mentales d’ici cinq ans.

La maladie dans la rétine

« On sait depuis une trentaine d’années que les signaux rétiniens contiennent des biomarqueurs pour certaines maladies », explique Claude Hariton, vice-président et chef de la direction scientifique de diaMentis, entreprise de Québec qui a mis au point cette technologie. « Dans le développement du cerveau, la rétine est un élément du cerveau, les tissus cérébraux constituent la rétine, alors il y a une homologie, une similarité. Ce qui est nouveau, c’est la capacité d’analyser ces informations. » L’électrorétinogramme, l’enregistrement de la réponse de la rétine à la stimulation lumineuse sous forme de flashes, pourrait être pour la psychiatrie ce que l’électrocardiogramme est à la cardiologie ou l’électroencéphalogramme à la neurologie, selon le DHariton.

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Dépister l'autisme grâce à un test auditif

 RTFLASH

Mercredi, 16/12/2020 

L'autisme est un trouble précoce du développement du cerveau touchant notamment la formation des connexions neuronales. Caractérisé par des altérations qualitatives des interactions sociales, des problèmes de communication et par des troubles du comportement, le trouble du spectre autistique (TSA) est souvent couplé à des troubles auditifs, qui peuvent exacerber les problèmes des communications et interférer avec les capacités linguistiques. L’évaluation précoce de ces troubles auditifs est donc un facteur déterminant dans la prise en charge de l’autisme.

Des chercheurs de l'Université de Miami et de la faculté de médecine de Harvard ont découvert des indicateurs précoces de l'autisme qu’il est possible de dépister grâce à l’étude des réponses au test auditif standard administré aux nouveaux nés à la maternité pour détecter une éventuelle perte auditive. Ces tests fonctionnent en mesurant la réponse auditive du tronc cérébral (ABR), qui évalue la manière dont l'oreille interne et le cerveau d'un bébé réagissent aux sons.

« Nous n'en sommes pas encore au point où nous disons aux cliniciens d'utiliser les tests ABR comme un déterminant de l'autisme chez les bébés », nuance Elizabeth Simpson, professeure associée au département de psychologie du College of Arts and Sciences et co-autrice de l’étude. « Mais nous disons que cette étude présente une direction prometteuse dans la façon dont le test ABR peut être utilisé comme une méthode de détection précise de l'autisme à la naissance ».

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PODCAST. Isabelle Joschke confie ses émotions et ses doutes au cœur du Vendée Globe

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La série docufiction « Seule en mer » avec Isabelle Joschke est disponible sur Le Mur des podcasts d’Ouest-France. En partenariat avec la MACSF. La navigatrice franco-allemande installée à Lorient, dans le Morbihan, a pris le départ du Vendée Globe, aux Sables-d’Olonne, à bord de l’IMOCA MACSF.


17 enfants donnent leur définition de l'amour : c'est touchant de naïveté

 pausecafein

Publié le 18 décembre 2020


"L’amour, c’est quand papa met le meilleur bout du poulet sur l’assiette de maman et sourit" 

Les enfants ont une fraîcheur d'esprit que beaucoup d'adultes devraient jalouser. Tandis que certaines hommes et certaines femmes ne savent pas draguer et encore moins être romantiques, on a demandé à des enfants de 4 à 8 ans leur définition de l'amour. C'est drôle, c'est maladroit, mais c'est plein de beauté et de profondeur. Maintenant on en a la preuve, la vérité sort de la bouche des enfant

 

enfants

 

Quand ma grand-mère a commencé à développer une arthrose, elle ne pouvait plus toucher ses pieds et mettre du vernis sur ses orteils. Donc mon grand-papa le faisait pour elle, tous les jours. Et il avait l’arthrose dans ses mains. C’est ÇA l’amour !
Rebecca, 8 ans

 

J'allais débuter mon récital de piano et j’avais vraiment peur. J’ai regardé les visages dans le public, puis j’ai vu celui de mon père. Il m’a salué de la main et m’a sourit. Il a été le seul à faire ça. Je n’avais plus peur.
Cindy, 8 ans

 

Quand tu es aimé, ça sonne différemment quand la personne dit ton nom. Tu sens qu’elle aime le dire.
Billy, 4 ans

 

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