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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 16 mars 2020

Un cabinet français de psychothérapie pour le mieux-être à Barcelone

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20 mars 2020

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À Barcelone, la psychothérapeute Agathe Fourgnaud aide petits et grands à retrouver le chemin du mieux-être.
Niché au cœur du quartier de Sant Gervasi, le cabinet d’Agathe Fourgnaud donne sur le Parc de Monterols, havre de paix entre Balmes et Muntaner. C’est à dessein que cette Parisienne devenue barcelonaise en 2011 a choisi cette adresse après avoir expérimenté d’autres quartiers : « je cherchais un lieu calme et serein mais bien desservi pour recevoir mes patients », explique-t-elle. Agathe Fourgnaud n’a pas toujours été psychothérapeute. Journaliste de presse écrite, auteure de différents ouvrages portant sur des thématiques psycho-sociétales, c’est la pratique de l’interview qui a fini par la faire basculer de l’autre côté. « Pendant plus de quinze ans, j’ai eu la grande chance de pouvoir recueillir les propos de toute sorte de personnes dans des domaines très variés. J’ai mesuré à quel point parler faisait du bien aux gens. A un moment donné, j’ai eu besoin d’aller plus loin dans l’écoute d’autrui ».
francais psychothérapeute barcelone


Vidéo Metz et ses environs : un défilé singulier pour expliquer la maladie mentale

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Par Vidéo: Karim SIARI 12 mars 2020
Les mannequins paradent dans l'allée improvisée de l'Esat l'Espoir 57, situé sur le plateau de Frescaty. Une quarantaine de personnes défileront officiellement jeudi 19 mars à 19 h, à l'hôtel de ville de Metz, à l'occasion de la Semaine de la santé mentale. Quatre couturières se sont associées au dispositif Profamille (de l’hôpital de jury) pour mettre en scène des patients souffrant de troubles psychiques, leurs familles, leurs amis et le personnel soignant.


Cerveau & Psycho

BÉNÉDICTE SALTHUN-LASSALLE|  
femme dépression

Ça y est, nous sommes tous concernés : nous sommes confinés, certaines personnes sont même en quarantaine, afin de préserver notre santé et celle d’autrui. Séparation d’avec les êtres chers, perte de liberté, ennui et incertitude face à la maladie qui menace notre bien-être ou celui des autres : quels sont les effets psychologiques de tels facteurs ? L’équipe de Samantha Brooks, du King’s College, à Londres, a analysé 24 études scientifiques, réalisées dans 11 pays depuis 2003, suite aux épidémies de SRAS, MERS, grippe H1N1 et Ebola, pour identifier les conséquences psychologiques des quarantaines, les facteurs aggravants, ainsi que les conseils à prodiguer.

« Passport BP » : un nouveau parcours de soins pour patients bipolaires

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18/03/2020



Dans le cadre de l'article 51, la Fondation FondaMental s'est associée à 5 centres hospitaliers et à des sociétés de nouvelles technologies afin de mener un projet d'expérimentation : un parcours de soins innovant dédié aux personnes atteintes de troubles bipolaires, intitulé « Passport BP ».

Comment les bébés apprennent à parler

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20.03.2020

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Comment les bébés font-ils pour apprendre une langue ? Une équipe de psycholinguistes du Babylab s’intéresse à l’apprentissage de la structure des phrases, de l’organisation des sons dans le langage, ou encore à influence de l’environnement social sur le développement cognitif de l’enfant. Découvrez, dans ce reportage diffusé en partenariat avec LeMonde.fr, les protocoles expérimentaux étonnants qui permettent de sonder les cerveaux des tout-petits.

Comment les bébés font-ils pour apprendre une langue ? Une équipe de psycholinguistes du Babylab s’intéresse à l’apprentissage de la structure des phrases, de l’organisation des sons dans le langage, ou encore à influence de l’environnement social sur le développement cognitif de l’enfant. Découvrez, dans ce reportage diffusé en partenariat avec LeMonde.fr, les protocoles expérimentaux étonnants qui permettent de sonder les cerveaux des tout-petits.


NOBONY VIT UNE EXPÉRIENCE INOUÏE GRÂCE AU SPORT PARTAGÉ

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Publié le 


e sport partagé permet à des enfants ou adolescents en situation de handicap de se découvrir une véritable passion. C'est le cas de Nobony, élève de 3e victime d'un accident vasculaire cérébral qui l'a paralysée du côté droit, lui provoquant des problèmes d'élocution. Le collège Victor Hugo à Issy-les-Moulineaux permet aux enfants en situation de handicap de faire du sport avec la section sportive. Grâce à ce dispositif, des enfants comme Nobony vivent des expériences formidables.

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samedi 14 mars 2020

Auriane Guilbaud : « Il n’est pas possible d’embaucher des milliers de soignants en un claquement de doigts »

Publié le 13 mars 2020



TRIBUNE

L’« immunité collective », stratégie risquée du Royaume-Uni pour lutter contre le coronavirus

Selon les conseillers de Boris Johnson, il faudrait qu’environ 60 % de la population britannique contracte la maladie pour qu’elle développe cette immunité collective permettant d’éviter de futures épidémies.
Par  Publié le 14 mars 2020
Italie, France, Allemagne, Espagne, Danemark, Belgique… Les pays européens ont tous pris des mesures radicales pour limiter la pandémie due au coronavirus. Interdire les rassemblements importants, fermer les écoles, les commerces non essentiels, filtrer les entrées aux frontières… Le Royaume-Uni est le seul à résister encore, optant pour une stratégie de santé publique originale, mais risquée.
Lundi 16 mars, les écoliers et les étudiants britanniques devraient encore pouvoir se rendre dans leur établissement, et si Downing Street semble avoir changé d’avis au sujet des rassemblements (ils pourraient finalement être limités à partir de la semaine prochaine), aucune mesure de confinement stricte n’a été décidée. Les personnes présentant des symptômes légers du Covid-19 (la maladie causée par le SARS-CoV-2) doivent seulement rester chez elles sept jours et limiter les contacts avec leurs proches, ont recommandé les autorités jeudi 12 mars.

« Herd immunity »

Patrick Vallance est le conseiller scientifique en chef (chief scientific advisor) du gouvernement britannique, l’autorité scientifique sur laquelle Boris Johnson s’appuie pour prendre ses décisions. Il est secondé par Chris Whitty, le médecin-chef (chief medical officer). M. Vallance, 59 ans, ex-chef de la recherche et développement du géant pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK), a détaillé son approche jeudi soir à Downing Street ; il a refait le tour des médias vendredi pour insister sur la notion d’« immunité collective » (herd immunity), à la base de la stratégie nationale. « Il n’est pas possible d’éviter que tout le monde attrape le virus. Et ce n’est pas non plus souhaitable car il faut que la population acquière une certaine immunité », a-t-il répété.

Covid-19 : «En prison, l’angoisse est réelle, on est en vase clos»

Par Chloé Pilorget-Rezzouk — 
A Fresnes en 2018.
A Fresnes en 2018. Photo Philippe Lopez.Afp


Le milieu carcéral est en alerte redoutant une diffusion du coronavirus dans des centres pénitentiaires surpeuplés.

Depuis quelques semaines, le milieu carcéral en alerte connaît de multiples suspicions de Covid-19. Comme à la maison d’arrêt surpeuplée de Colmar – dans le Haut-Rhin, un des «clusters» – où une vingtaine de prisonniers ont été mis en quatorzaine par précaution. Comme aux Baumettes, où une détenue a été placée à l’isolement à la suite d’un parloir avec ses parents italiens. Comme au centre pénitentiaire de Poitiers-Vivonne, où huit détenus ont été confinés quelques heures après être entrés en contact avec un médecin contaminé. Ou encore ce surveillant pénitentiaire, confiné chez lui après un retour de vacances à Venise.

Sur le blog de Luc Périno Nature de la mort

Humeurs médicales

Réflexions d'un médecin sur les dérives du système sanitaire

Les épidémies d’autrefois simplifiaient l’épidémiologie de la mort, ceux qui en avaient réchappé accédaient au privilège de la mort de vieillesse. Puis, au fil des progrès diagnostiques et sociaux, la notion de mort naturelle a progressivement disparu pour être remplacée par les divers vocables de l’usure organique : crise d’urémie, apoplexie, arrêt cardiaque, phtisie, démence sénile, pneumonie, emphysème et autres termes sans équivoque ni rédemption.

Le certificat de décès est ensuite devenu un vecteur de science en imposant aux médecins de mentionner la cause primaire de la mort en plus de sa cause immédiate. Non seulement la mort naturelle avait disparu, mais aussi les diagnostics terminaux qui ne pouvaient désormais s’expliquer que par d’autres maladies plus insidieuses, plus anciennes et plus sophistiquées. La fibrillation auriculaire expliquait l’apoplexie, la bronchite chronique expliquait l’emphysème, les cancers et les bacilles expliquaient la phtisie.

Faute de pouvoir dominer la mort, la médecine en dissimulait l’inexorabilité. La trivialité de la cause ultime faisait place à la science de la cause primaire.

Les certificats de décès ont logiquement suivi les modes diagnostiques. Ainsi avec le succès diagnostique de la maladie d’Alzheimer, le taux de mort ultime par démence est passée de 5 à 25% en un quart de siècle. Le vernis de la maladie recouvrait l’infamie de la sénilité.

Les causes primaires ont à leur tour suivi les engouements métaboliques et moléculaires. Les lipides ont remplacé l’athérosclérose, les plaques amyloïdes ont remplacé la neurodégénérescence, les télomères ont remplacé le cours de la vie. 

Plus qu’un mode de mort, les maladies dites chroniques sont devenues un mode de vie. Arthrose, apnée du sommeil, LDL cholestérol, diabète ou dépression étant de nouvelles rubriques de l’identité.