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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 22 janvier 2022

Sept idées pour reprendre le contrôle sur sa façon de s’informer


  • Aude Carasco, 
  • le 21/01/2022
  • « Diète » médiatique, recours à l’intelligence artificielle, nouvelles manières de produire de l’information en recréant des liens avec les lecteurs : des solutions existent pour mieux consommer l’information, en privilégiant la qualité à la quantité.

    Sept idées pour reprendre le contrôle sur sa façon de s’informer

     Le « jeûne médiatique » de la docteure Anne-Sophie Novel

    Quelles sont vos habitudes informationnelles ? Que ressentez-vous d’ordinaire ? Vous arrive-t-il d’être satisfait ?… Stylo à la main, Anne-Sophie Novel, journaliste et docteure en économie, sonde la façon de s’informer d’un participant du premier festival du « bien s’informer », organisé en mars 2020 à l’espace Ground Control à Paris.


    [...] 

    La sélection du robot Flint

    « Moins de bruit, plus de diversité et de qualité pour des décisions éclairées et des débats apaisés. » C’est la promesse du robot Flint, imaginé par Benoît Raphaël, journaliste et entrepreneur, et Thomas Mahier, ingénieur en intelligence artificielle, pour sortir du « chaos de l’info » en sélectionnant le meilleur du travail journalistique (articles, études, podcasts, documentaires…), « grâce à un savant mélange » d’intelligence artificielle et humaine.

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    Frederick Wiseman

    5 ÉPISODES (5 DISPONIBLES)

    À PROPOS DE LA SÉRIE

    Réalisateur, scénariste, producteur, monteur, preneur de son, et parfois  même interprète, Frederick Wiseman  a très tôt affirmé son ambition de  cinéaste : dresser un portrait critique des États-Unis, dont le résultat  serait « un seul et très long film qui durerait quatre-vingts heures ».

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    Omicron : le début de la fin, ou la fin du début ?

    LE 17/01/2022

    À retrouver dans l'émission

    LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE

    par Nicolas Martin

    Comment expliquer la progression fulgurante du variant Omicron ? De quels moyens dispose-t-on pour enrayer sa progression ? L’idée d’une immunité collective atteinte grâce à cette forte propagation du variant est-elle illusoire ? L’apparition d’autres variants plus dangereux est-elle à prévoir ?

    .
    . Crédits :  Andriy Onufriyenko - Getty

    Ce matin, l’épidémiologiste Arnaud Fontanet déclarait que le pic de contaminations au CoVid-19 était en train de passer, que la pointe avait été dépassée et que le nombre de cas positifs était en train de diminuer doucement, avec en ligne de mire, le retour à des taux marginalement bas vers le début du mois de mars.

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    Douche écossaise Covid-19: en fait, le pic n’est pas encore dépassé

    par Olivier Monod

    publié le 21 janvier 2022 
    Au lendemain des annonces du calendrier de levée des mesures de restriction par le Premier ministre Jean Castex, Santé publique France alerte sur le fait que les contaminations au Covid-19 ne diminuent pas.

    «Il est prématuré de considérer que le pic est dépassé.» Le point épidémiologique hebdomadaire de Santé publique France a fait l’effet d’une douche froide ce vendredi. Alors que la France baignait dans une séquence de communication de l’exécutif axée sur la sortie prochaine du long tunnel de la pandémie, les chiffres de cette fin de semaine font mal. Plus de 500 000 cas recensés en vingt-quatre heures, une incidence sur sept jours qui dépasse les 3 200 pour 100 000 habitants. La France continue de caracoler dans le peloton de tête des pays les plus touchés par la contamination.

    COVID-19 : désormais 2 alternatives aux vaccins à ARNm pour convaincre les réticents

    Fanny Le Brun    17 janv. 2022

    La Haute autorité de santé (HAS) maintient sa recommandation de privilégier les vaccins à ARNm en primovaccination et en rappel contre le COVID-19. Toutefois, elle propose aujourd’hui deux alternatives efficaces pour les personnes réticentes à ce type de vaccin et pour celles qui ne peuvent en bénéficier pour cause de contre-indication ou d’évènement indésirable grave après une première injection : les vaccins Nuvaxovid® de Novavax et COVID-19 Janssen® de Janssen.


    Variant Omicron : « Quasiment une autre maladie »

    20/01/2022

    Le Pr Yazdan Yazdanpanah, infectiologue, directeur de l’agence interne ANRS (Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales) Maladies infectieuses émergentes et membre du Conseil scientifique, a dressé le portrait-robot du variant Omicron du Sars-CoV-2 lors de son audition devant la Commission des affaires sociales du Sénat, le 19 janvier.


    Un dépistage qui reste efficace


    Il s’est déjà montré rassurant quant au dépistage du variant Omicron, alors que des alertes avaient été émises sur une moindre efficacité de dépistage avec les tests antigéniques (TAG). « D’une manière générale, les tests antigéniques sont moins sensibles que les PCR », explique d’emblée Yazdan Yazdanpanah, qui rappelle que l’intérêt des TAG est d’abord de rechercher la contagiosité, et qu’ils sont plus faciles à mettre en place en population générale que les tests PCR. « Les outils diagnostiques marchent bien sur ce variant », conclut le professeur.



    Covid-19 : 76% des effets indésirables des vaccins sont liés à "l'effet nocebo", d'après des chercheurs

    Anne Le Gall Publié 

    Des scientifiques américains ont publié des travaux selon lesquels les trois quarts des effets secondaires indésirables après une vaccination contre le Covid-19 sont ressentis parce que le patient s'y attend. 


    Une personne reçoit une dose de vaccin contre le Covid-19, à La Valette-du-Var (Var), le 6 août 2021.  (SOPHIE GLOTIN / RADIO FRANCE)

     Maux de tête, fatigue, courbatures... Nombreuses sont les personnes qui disent ressentir ces effets indésirables après s'être fait vacciner contre le Covid-19. Or, la majeure partie de ces effets indésirables pourrait être attribuable à l’effet nocebo et non pas au contenu du vaccin lui-même, d'après une étude publiée le lundi 18 janvier par des chercheurs américains [étude en anglais]. 

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    Article rédigé par 

    Des professionnels face à la pandémie. Un devoir de mémoire

    BERGUGNAT Laurence

    Le 17 mars 2020 sonnait l’heure du confinement des Français sous la menace d’un virus ayant déferlé sur le monde. Nous étions en guerre selon le Président de la République (discours du 16 mars 2020).Ce sont donc 58 professionnels « au front » et 8 étudiants restés dans l’ombre que rencontrèrent à distance, confinement oblige, Laurence Bergugnat et son équipe de 11 chercheurs (en sciences de l’éducation et de la formation, en sociologie et anthropologie), alors tous...


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    Les déplacés. Portraits de parcours de jeunes sous main de justice

    SOLINI LaurentYEGHICHEYAN JenniferMENNESSON Christine

    Foyers, centres éducatifs renforcés, centres éducatifs fermés, établissements pénitentiaires pour mineurs (EPM), quartiers mineurs – Lola, Lucas, Rémi et Jason sont des jeunes sous main de justice régulièrement déplacés. Cet ouvrage présente leurs portraits. Des portraits de parcours qui montrent l’effet des déplacements judiciaires et de la discontinuité éducative sur leurs configurations familiales, scolaires, délinquantes et plus largement sur leur rapport à la...


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    Mise en œuvre de la feuille de route « santé mentale et psychiatrie »

    publié le 21.01.22

    Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé et Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées, ont réuni ce vendredi 21 janvier le 5ème comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie. A cette occasion les ministres ont salué l’engagement des professionnels de la psychiatrie et appelé à la mobilisation de tous les acteurs du secteur pour amplifier la mise en œuvre de la feuille de route « santé mentale et psychiatrie », considérablement enrichie par les Assises de la santé mentale.


    vendredi 21 janvier 2022

    Partage de compétences : pour une refonte globale du système de soins

    Serge Cannasse  14 janv. 2022

    L’épidémie de COVID-19 a réactivé la question du partage de compétences entre professionnels de santé. À la demande du gouvernement, l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales) a dressé un état des lieux du sujet en France.

    Son rapport note en préalable que tout partage de compétence étant dérogatoire au monopole d’exercice des médecins, la reconnaissance des professionnels impliqués est rendue compliquée d’emblée. Les protocoles de coopération y remédient en partie, mais sans leur donner de réelle autonomie décisionnelle. Ils ont cependant permis de « régulariser des glissements de tâches déjà existants, et d'expérimenter de nouvelles formes de coopération et d’organisation. » Ils sont de deux types : nationaux, initiés par l’administration de la santé, et locaux, à l’initiative des professionnels. La prolifération des seconds contraste avec le faible succès des premiers, posant un problème de pilotage, d’autant qu’il y a un manque de suivi des indicateurs permettant l’évaluation des uns et des autres. Autre problème : les protocoles locaux sont essentiellement adossés aux expérimentations prévues par l’article 51 de la LFSS pour 2018, qui n’en garantit pas la pérennité.

    Cela étant, le rapport s’étend essentiellement sur le nouveau dispositif des infirmières de pratique avancée (IPA). De nombreux médecins s’y sont opposés, avec des arguments que le rapport juge peu convaincants au regard des expériences tant nationales qu’internationales (craintes d’une dégradation de la qualité des soins, problèmes de responsabilité juridique, respect du périmètre d’intervention, perte d’activité mettant en danger la viabilité économique des cabinets médicaux). Et ce d’autant plus que « les témoignages collectés par la mission sur l'impact très positif de l'installation des premières IPA en matière de qualité de suivi et de soins des patients comme d'amélioration des conditions d'exercice des médecins impliqués, conduisent très clairement la mission à encourager la poursuite de cette modalité d’exercice. »

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    Vers un nouveau modèle biologique de la maladie d'Alzheimer

    Mercredi, 19/01/2022 

    Vers un nouveau modèle biologique de la maladie d'Alzheimer

    La maladie d’Alzheimer résulte d’une lente dégénérescence des neurones, débutant au niveau de l’hippocampe (une structure cérébrale essentielle pour la mémoire) puis s’étendant au reste du cerveau. Il s’agit de la première cause de démence chez les personnes âgées : d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), sur les 50 millions de personnes atteintes de démence, Alzheimer serait responsable dans 60 à 70 % des cas.

    Il est communément admis que cette maladie neurodégénérative serait due à une cascade presque inéluctable d’événements dans le cerveau : des dépôts de protéines amyloïdes formant des plaques qui sont elles-mêmes à l’origine de lésions cérébrales menant à une augmentation de protéines tau phosphorylées (c’est-à-dire avec un groupement phosphate ajouté à leur structure moléculaire initiale), qui contribuent à la dégradation de la structure des neurones en initiant un processus de dégénérescence neurofibrillaire à l’intérieur de ceux-ci.

    Cette théorie, formulée pour la première fois en 1992 par J. A. Hardy et G. A. Higgins, s’appelle l’hypothèse amyloïde. C’est sur elle que s’est basée la conception du premier médicament curatif contre la maladie d’Alzheimer, Aduhelm, approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) et mis sur le marché aux États-Unis en juin 2021. Sciences et Avenir l’expliquait dans un article sur les avancées médicamenteuses concernant la maladie d’Alzheimer, Aduhelm vise à « dissoudre les agrégats de protéines bêta-amyloïdes, et ainsi à empêcher qu’ils ne s’accumulent au point de former les fameuses plaques séniles ».

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    Insomnies - Comment soigner ses nuits sans médicaments

    Pour lutter contre ses insomnies, il est recommandé d’opter en priorité pour des solutions non médicamenteuses. Elles sont nombreuses. Le point sur celles à privilégier… et les autres.

    En temps normal, 1 Français sur 5 souffre de difficultés d’endormissement, de réveils nocturnes multiples et de réveils précoces. Avec la pandémie de Covid, ce type de troubles est devenu plus courant : après le premier confinement de 2020, la consommation de somnifères a augmenté de + 6,9 %. Transitoire, l’insomnie n’est pas alarmante. Mais gare si elle survient plus de 3 fois par semaine et dure plus de 3 mois, car l’insomnie chronique peut littéralement gâcher la vie. Des solutions non médicamenteuses existent, mais toutes ne se valent pas.

    ​​Covid-19 : cinquante nuances de culpabilité

    Clara Degiovanni publié le  

    © Engin Akyurt/Unsplash

    Un Nouvel An de plus avec le virus. Certains, pour sauver ce passage de cap symbolique, ont choisi de taire leur contamination le soir de la Saint-Sylvestre. Un choix qui a peut-être donné lieu à une forte culpabilité de lendemain de la soirée. Mais ces derniers temps, il en faut parfois beaucoup moins pour se sentir coupable : un masque qui a glissé sous le nez en réunion, un oubli de gel hydroalcoolique avant d’aller voir les grands-parents, un auto-test pas vraiment effectué dans les règles de l’art… et voici que la famille entière est contaminée.

    L’écoanxiété, ou l’angoisse de la fin du monde

    Par   Publié le 20 janvier 2021

    Face au dérèglement climatique et aux prévisions inquiétantes des experts du climat, un trouble anxieux d’un nouveau genre s’est emparé d’une partie de la population : l’écoanxiété. Un jeune sur deux déclare en souffrir. Dans ce podcast, Marine Miller, journaliste au service Campus du « Monde », nous éclaire sur ce phénomène.

    ÉCOUTEZ L’ÉPISODE DU 20 JANVIER 2021

    Le prix des sentiments Au coeur du travail émotionnel

     Edition la découverte

    Le prix des sentiments - Arlie Russell Hochschild


    Arlie Russell Hochschild


    Célèbre pour avoir ouvert la voie à la sociologie des émotions, Arlie R. Hochschild développe dans ce livre la notion de « travail émotionnel ». Selon l’auteure, en effet, les émotions ne surgissent pas en nous en s’emparant de notre « moi », mais sont le fruit d’un travail que nous effectuons, la plupart du temps sans en avoir conscience, dans le but d’accorder ce que nous ressentons avec les « règles de sentiments » en vigueur dans notre environnement social.
    Ce que montre par ailleurs l’auteure, c’est comment, au cours des dernières décennies, dans le cadre d’une économie postfordiste où prédominent les emplois de service, et donc les relations avec un « public », ce travail émotionnel a été « capturé » par les entreprises et orienté vers des fi ns marchandes.


    Grossesses tardives : elles sont de plus en plus fréquentes

    Fanny Le Brun    20 janv. 2022


    La fécondité dite « tardive », c’est-à-dire à l’âge de 40 ans ou plus, ne cesse d’augmenter depuis 1980. Ainsi, en 2019, en France hors Mayotte, 5,7% des naissances sont des naissances tardives. Le taux de fécondité était alors de 10,2 enfants pour 100 femmes de 40 à 50 ans, ce qui signifie que 100 femmes ont mis 10,2 enfants au monde entre l’année de leurs 40 ans et celle de leurs 50 ans. Cette même année 2019, le taux de fécondité était de 2,6 enfants pour 100 femmes avant 20 ans, 74,3 enfants entre 20 et 29 ans et 97,8 enfants entre 30 et 39 ans. 

    À partir du milieu des années 1980, la fécondité tardive augmente d’abord pour les femmes de 40 à 42 ans, puis dans les années 1990 pour celles de 43 à 45 ans, et enfin dans les années 2000 pour celles de 46 ans ou plus. Cette évolution peut s’expliquer notamment par l’allongement des études, les mises en couple plus tardives, le désir d’être stabilisée dans sa vie professionnelle avant d’avoir des enfants, les remises en couple plus fréquentes et le désir d’avoir un enfant du nouveau couple ainsi que la médicalisation de la contraception.

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    jeudi 20 janvier 2022

    Le festival VIS-À-VIS est de retour pour sa quatrième édition ! temps fort de la création artistique en milieu carcéral


     







    20 → 23 JANVIER 2022  

    Le festival VIS-À-VIS est un événement unique en France qui permet la valorisation et la présentation au grand public de projets artistiques et culturels menés dans les établissements pénitentiaires. Pendant quatre jours, artistes, techniciens et personnes sous main de justice se réuniront au Théâtre Paris-Villette pour présenter leurs créations (théâtre, danse, musique, vidéo, photo). Une observation réciproque, un enrichissement de part et d’autre de la scène, pour une programmation unique et essentielle.

    Le festival VIS-À-VIS a vocation à s’ouvrir sur l’ensemble du territoire national. Pour la première fois, il accueillera deux projets menés en dehors de l’Île-de-France, préfigurant ainsi « la réplique » du festival en région PACA pour 2023.


    programme


    jeu 20
    → 19h

    Action(s)
    Cie Keatbeck / Centre pénitentiaire Paris – La Santé
    • projection vidéo (danse)
    Action(s) s’interroge sur le rapport à la marche. Une création collective en mouvement, au détour des corps, entre les mots, les voix et les confections.

    P
    Fictions / Frictions #4
    L’Oeil et l’Esprit vs Zatoïchi , Merleau-Ponty vs Takeshi Kitano
    Cette Compagnie-là / Centre de détention de Melun
    • théâtre
    De la rencontre entre le film de Kitano et l’ouvrage de Merleau-Ponty, les participants ont retenu ce mot : VOIR. Une approche subtil des corps, à la lisière du théâtre et de la chorégraphie, portée par les chansons du groupe Low.  Un regard sur la perception, visuelle et sonore.

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    Evénement Au dernier barreau de l’échelle sociale : la prison

      

    Dernier maillon d’une chaîne d’exclusions et symbole des échecs successifs des politiques sociales, la prison fonctionne aujourd’hui comme un mode de gestion de la pauvreté situé à l’abri des regards. Emmaüs France et le Secours Catholique – Caritas France ont exploré les manières dont les liens entre prison et pauvreté se construisent et s’alimentent au travers de cette étude : https://emmaus-france.org/au-dernier-barreau-de-lechelle-sociale-la-prison/

    L’objectif de l’événement est d’échanger et débattre autour des 25 recommandations du rapport, issues des propositions des personnes détenues, à l’occasion d’un événement qui aura lieu
    le jeudi 17 février 2022 à la Halle Pajol (Paris 18e) de 9h à 17h.

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    Mathematica Une aventure au coeur de nous-mêmes



     










    Contre les idées reçues qui en font une discipline élitiste, intimidante et abstraite, David Bessis montre que les mathématiques sont humaines et à la portée de tous ; il présente ici une manière sensible et radicalement nouvelle de les aborder.

    Plus qu’un savoir, les mathématiques sont une pratique et même une activité physique. Il n’existe pas de talent inné et il faut croire les plus grands mathématiciens quand ils disent ne posséder aucun don spécial mais une immense capacité à mobiliser leur curiosité, leur imagination et leur intuition.

    Par des exemples simples et étonnants, l'auteur relie son expérience mathématique aux grands apprentissages de la vie : observer, parler, marcher ou encore manger avec une cuillère. Comprendre les mathématiques, c’est voir et sentir, c’est parcourir un chemin secret qui ramène à notre plasticité mentale enfantine.

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    Comment tombent les jours fériés en 2022 (et les années suivantes) ?

    Par   Publié le 01 janvier 2022

    Combien de jours fériés tombent hors week-end ? Y aura-t-il des ponts en mai ? Chaque année, le calendrier profite plus ou moins aux salariés. Grâce à notre générateur de jours fériés, nous vous les prédisons tous jusqu’en 2100 !

    Au minimum sept, au maximum 10 : c’est le nombre de jours fériés qui tombent hors week-end chaque année. En mai 2018, la séquence de deux jours fériés tombant un mardi et un jeudi de la même semaine (un mardi 8 mai et un jeudi de l’Ascension) était une rareté : elle ne se présente que quatre fois par siècle. La prochaine occurrence de ce hasard calendaire ne se produira qu’en… 2029, puis en 2035, 2040, 2046, et ne réapparaîtra plus jusqu’à la fin du XXIsiècle.

    Pour l’année 2022, voici ce que nous réservent les jours fériés :

    • sept des onze jours fériés tombent en semaine ;
    • il y a trois grands ponts (jeudi de l’Ascension, Fête nationale et la Toussaint) ;
    • il y a quatre petits ponts (lundi de Pâques, lundi de Pentecôte, Assomption et l’Armistice) ;
    • le 1er et le 8 mai tombent un dimanche.

    Retrouvez la liste complète des jours fériés pour l’année 2022, mais aussi jusqu’à l’année 2100, grâce à notre générateur

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    Discours d’Olivier Véran au Congrès de l’Encéphale 2022 - Palais des Congrès





    19 janvier 2022

    Monsieur le Président, cher Raphaël GAILLARD,
    Monsieur le Délégué Ministériel, Cher Frank Bellivier,
    Mesdames et Messieurs les professionnels de santé,
    Mesdames et Messieurs,

    C’est toujours un grand plaisir pour moi de m’exprimer devant la communauté des professionnels et des acteurs de la santé mentale et de la psychiatrie. Nous célébrons cette année les 20 ans de votre prestigieux congrès, dans une actualité particulièrement riche et après une année 2021 marquée par cet événement fort qu’auront été les Assises de la santé mentale de la psychiatrie, moment d’échanges et de partage mais aussi d’engagements sans précédent du Gouvernement, j’y reviendrai.

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    Catherine Corsini : «Les soignants bossent, on les stigmatise, aucun candidat n’en parle»

    par Eric Favereau  publié le 18 janvier 2022 

    Dans son récent film «la Fracture», la cinéaste racontait une nuit dantesque aux urgences. Elle s’indigne aujourd’hui du manque de prise de parole sur le sujet, dans les médias comme dans le monde politique.

    Elle le dit avec une surprise non feinte : «Je ne comprends pas ce qui se passe. On sait l’état de l’hôpital public, et il ne se passe rien.» La cinéaste Catherine Corsini est intarissable mais aussi désarçonnée, sans voix, devant ce désabusement accepté. Comme s’il n’y avait rien à faire, juste à regarder le Titanic hospitalier s’enfoncer un peu plus. «Ce qui m’attriste depuis que j’ai fait mon film la Fracture et que je me suis rendu compte de l’état de l’hôpital public, c’est que les manifestations pour soutenir le personnel soignant sont peu suivies, que le constat d’échec sur l’état de l’hôpital ne suscite aucune prise de parole suffisante de la part des politiques, aucune annonce de mesures concrètes. Le Ségur de la Santé a été plus qu’insuffisant», raconte Catherine Corsini.