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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 26 septembre 2019

Dans le secret d’une thérapie de couple

Psychologies

Par Cécile Guéret  le 28 Août 2019

Pascaline, 42 ans, et Charles, 40 ans, habitent Montpellier avec leurs deux enfants de 13 et 9 ans. Charles a l’occasion d’être muté à Paris. Une promotion. « Nous nous demandons si nous devons nous séparer puisque, de toute façon, nous ne partageons déjà plus grand-chose. » Anne Sauzède-Lagarde et Jean-Paul Sauzède, thérapeutes de couple, gestaltistes et systémiciens, les reçoivent en thérapie. Ils racontent.

Diplôme d’Université Interaction, art et psychothérapie jusqu’au 30 septembre 2019



UCA : Inscriptions (...)

Université Côte d’Azur, via son service de formation continue, propose une offre de formation continue au plus près des besoins des publics adultes et des partenaires du monde socio-économique et accueille ainsi près de 3600 stagiaires adultes par an en formation continue. Les dossiers d’inscription pour le Diplôme Universitaire Interaction, art et psychothérapie se déroulent jusqu’au 30 septembre 2019.

Ce diplôme universitaire organisé par la faculté des Lettres, des Arts et des Sciences Humaines s’adresse à des professionnels des domaines sanitaire, psychologique, éducatif, médical et social avec une expérience de médiation, des artistes déjà engagés dans une pratique sociale et éducative, des étudiants titulaires d’une licence en sciences humaines ou d’un diplôme en arts équivalent à la licence.

mercredi 25 septembre 2019

Nommer les responsables de la catastrophe de la psychiatrie.


    25 SEPT. 2019
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  • ÉDITION : CONTES DE LA FOLIE ORDINAIRE

  • Le 18 septembre a été publié le rapport de la «Mission parlementaire sur l'organisation territoriale de la santé mentale» dont les deux co-rapporteures sont Martine Wonner (LREM) et Caroline Fiat(FI).
Le 18 septembre a été publié le rapport de la «Mission parlementaire sur l'organisation territoriale de la santé mentale» dont les deux co-rapporteures sont Martine Wonner (LREM) et Caroline Fiat(FI).Une délégation de l'USP était présente lors de la présentation de ce rapport à l'Assemblée nationale, ayant été auparavant auditionnée par cette commission avec d'autres syndicats de psychiatres.

[...] Ce rapport cite Bonnafé et salue le Printemps de la psychiatrie. Fort bien, mais le Printemps de la psychiatrie désigne ses adversaires: les capitalistes de l'hospitalisation privée, ceux de l’industrie pharmaceutique, les idéologues de la fondation FondaMental, et leurs amis, alliés, et mercenaires. C'est pour cela que nous sommes présents dans ce mouvement aux côtés de beaucoup d'autres. Et nous ne ferons pas de consensus avec ces adversaires: mille conférences et rapports n'y changeraient rien.


Faut-il tuer Freud ? (1/4) Allô ! Dolto, bobo

LES CHEMINS DE LA PHILOSOPHIE par Adèle Van Reeth
23/09/2019
58 MIN


Entre 1976 et 1978, à la radio, la psychanalyste Françoise Dolto (1908-1988) a présenté des émissions de grande audience où elle répondait aux questions de parents. Son oeuvre n'opposait en rien clinique et théorique. Comment a-t-elle transformé le statut de l’enfant dans la société ?


Françoise Dolto converse avec deux enfants
Françoise Dolto converse avec deux enfants Crédits : Sophie Bassouls/Sygma - Getty

Il paraît que pour avancer, il faut savoir tuer le père. Le tuer, c'est-à-dire le destituer du caractère indépassable de son autorité. Ne plus le tenir pour norme, ni obstacle, et le remettre à sa place, ni au-dessus, ni à côté. Ce qui ne veut pas dire que le père est inutile, bien au contraire, mais qu'il faut savoir quoi en faire.
Françoise Dolto, Carl G. Jung, Mélanie Klein et Félix Guattari ont en commun d'avoir hérité du père de la psychanalyse, Sigmund Freud, en le critiquant pour certains, en lui faisant la peau pour d'autres, ou en lui restant fidèles...
Qu'a repris Françoise Dolto de l'enseignement freudien ?

L'invitée du jour :

Caroline Eliacheff, pédopsychiatre et psychanalyste

Laissez-moi aimer

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52 min
Disponible du 18/09/2019 au 18/09/2020

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Avec délicatesse mais sans angélisme, Stéphanie Pillonca filme de jeunes handicapés qui assument leurs désirs et prennent le risque d’aimer. Un bouleversant éveil des cœurs et des corps.


La fabrique du cerveau

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53 min
Disponible du 21/09/2019 au 19/11/2019

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Dans les laboratoires du monde entier, la course au cerveau artificiel a déjà commencé. Enquête sur ceux qui tentent de transformer l’homme en être digital afin de le libérer de la vieillesse et de la mort.

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Les salariés de l'hôpital psychiatrique du Rouvray demandent des comptes

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Par Sylvie Callier  Publié le 24/09/2019

Des salariés dans le couloir de la direction de l'hôpital psychiatrique du Rouvray / © France 3 Normandie
Des salariés dans le couloir de la direction de l'hôpital psychiatrique du Rouvray / © France 3 Normandie

A Sotteville-lès-Rouen, la grève se poursuit à l'hôpital psychaitrique. Bientôt une semaine que le mouvement est reparti un an et demi après les grèves de la faim de soignants en 2018. Ce mardi 24 septembre, la réunion avec la direction a tourné court.

Le centre hospitalier Henri-Ey, à Bonneval, passe à la téléconsultation

L'Echo Republicain

Publié le 24/09/2019

Le centre hospitalier Henri-Ey, à Bonneval, passe à la téléconsultation  
Photo d'illustration. © Thomas JOUHANNAUD

Une première téléconsultation médicale a été réalisée le 16 septembre 2019 par le centre hospitalier Henri-Ey, à Bonneval, sur la plateforme de télémédecine régionale.
« La télémédecine peut se prêter en psychiatrie pour des entretiens et des premiers avis. Ce n’est pas une fin en soi mais un outil complémentaire », souligne, Fabien Aumeunier, directeur de la communication et des systèmes d’information du centre hospitalier Henri-Ey, à Bonneval.

A Lariboisière, la maternité « sous la menace d’un craquage complet »

Les soignants de ce service qui accueille de nombreuses femmes précaires ont publié un « cri de détresse » sur le site du collectif Inter-Urgences.
Par   Publié le 24 septembre 2019
Locaux « vétustes », effectifs à « flux tendus », équipe « à bout de souffle » et « sous la menace d’un craquage complet »… Dans un texte publié sur le site du collectif Inter-Urgences mardi 24 septembre, à l’avant-veille d’une nouvelle journée d’action des personnels des urgences grévistes, trente-neuf soignants du service de gynécologie-obstétrique de l’hôpital Lariboisière, dans le 10e arrondissement de Paris, lancent un « appel à l’aide ».
« Si les conditions restent telles quelles, une catastrophe va arriver comme (…) aux urgences générales », mettent-ils en garde, en référence au décès d’une femme survenu en décembre 2018 aux urgences de l’hôpital.

Des chercheurs découvrent pourquoi nous oublions nos rêves au réveil

LCI

24 septembre 2019

RECHERCHE - Durant le sommeil, le cerveau fait le tri. Au réveil, beaucoup d'informations de la veille, mais aussi nos rêves, ont disparu de notre mémoire. Si ce phénomène connu restait jusque-là inexpliqué, des chercheurs américains et japonais affirment que ce phénomène serait lié à un groupe de neurones situés dans l'hypothalamus.


mardi 24 septembre 2019

Vieillir, mais comment ? Une histoire sociale de la vieillesse

LE COURS DE L'HISTOIRE par Xavier Mauduit





Vieillir, mais comment ? Une histoire sociale de la vieillesse (1/4) : La vieillesse, entre expérience vécue et représentations

51 MIN


LE 23/09/2019
Quelles représentations de la vieillesse cohabitent au XXème siècle, et que disent-elles de l’évolution de nos sociétés ? Du vieillard miséreux au retraité...

Vieillir, mais comment ? Une histoire sociale de la vieillesse (2/4) : Les ancêtres de nos ancêtres, la vieillesse dans l’Antiquité

52 MIN


LE 24/09/2019
Vivait-on vraiment moins vieux dans l’Antiquité ? A quel âge était-on considéré comme âgé ? Les âges de la vie étaient-ils les mêmes dans le monde grec...

Homoparentalité et développement de l'enfant : bilan de trente ans de publications


INTRODUCTION

Contexte d’émergence de la question homoparentale

Depuis plusieurs années, les familles homoparentales ont pris place dans le paysage des « nouvelles familles » ou des « nouvelles structures familiales ». Leur existence n’est pas nouvelle, bien que leur nombre soit sans doute en augmentation (cf. infra), mais la « réalité » nouvelle de ces familles tient à leur visibilité sociale et aux questions qu’elles suscitent dans le débat public et le débat scientifique, puisqu’elles poseraient même une « question de civilisation » pour reprendre l’expression introductive à un article paru dans la présente revue (Diebold, Gillibert et Sullivan, 2003). Par leur revendication à déclarer qu’ils peuvent être des parents remplissant toutes les conditions requises pour assumer leur(s) fonction(s), à l’exception près de leur sexualité, les couples homoparentaux posent de fait à la société des questions anthropologiques, sociologiques et psychologiques majeures.
Le terme d’homoparentalité a été introduit en France par l’APGL [3] en 1997 et inauguré avec le « Petit guide bibliographique à l’usage des familles homoparentales et des autres » (Gross, 2000, p. 283). Le terme s’est imposé malgré les ambigu ïtés dont il est porteur. En France, ces familles sont sorties de leur marginalité notamment à l’occasion de l’élaboration du PACS [4] (1999) et de la question du droit à l’adoption pour les couples homosexuels que cette disposition législative était susceptible de favoriser.
Pour prendre quelques repères dans une série d’ouvrages collectifs consacrés à la famille et à ses évolutions, la question des familles dites homoparentales ne figure encore pas, en 1998, dans À chacun sa famille (Fine, Laterrasse et Zaouche-Gaudron, 1998) ; elles ne sont toujours pas mentionnées en 2002 dans Familles, permanence et métamorphoses (Dortier, 2002) ou La parentalité, défi pour le troisième millénaire (Solis-Ponton, 2002), mais apparaissent dans le cadre de chapitres ou d’articles qui leurs sont consacrés : en 1998 dans Les nouvelles familles en France (Langouët, 1998) puis dans La pluriparentalité (Le Gall, in Le Gall et Bettahar, 2001), dans Familles en scènes (Mécary, in Iacub et Malignier, 2003), dans Pratiques psychologiques (Beaumatin, Ricaud-Droisy et Espiau, 2003), dans L’enfant à l’épreuve de la famille (Schneider et Vecho, in Abecassis, 2004) ou encore dans Grands-parents et grands-parentalités (Julien, Bureau et Leblond de Brumath, in Schneider, Mietkiewicz et Bouyer, 2005).
Du point de vue du droit, le PACS ne porte que sur la question du couple et non sur celle de la filiation, mais il s’inscrit dans un mouvement plus général des bouleversements de la maternité et de la paternité (changements législatifs, progrès de la médecine et des techniques d’assistance médicale à la procréation, techniques et pratiques qui contournent la sexualité, redéfinition des rapports de couples et des responsabilités parentales, etc.) (Delaisi de Parseval, 2000).
Bien que n’étant pas a priori comprise dans les enjeux relatifs au PACS, la question des enfants de parents homosexuels et de leur devenir a été abordée sous l’angle de la question du droit à l’enfant et de légitimité de la réalisation de soi à travers la parentalité (du point de vue des adultes). Cette question a connu un regain d’actualité en France au printemps 2004 lors du débat relatif au mariage homosexuel, dont l’examen sur le plan législatif est transitoirement repoussé et reporte d’autant la question de l’adoption. L’évolution rapide des positions et des législations au plan international sur ces deux points confirme le caractère ouvert de ce débat et la diversité des réponses proposées (Schneider et Vecho, 2004 a). Cette question a, au-delà, permis d’examiner des situations jusqu’ici mal connues mais renvoyant à une réalité sociale indéniable bien que ces familles, aujourd’hui encore, aient à exister dans un contexte particulier puisqu’elles ne jouissent, en tant qu’entité familiale, d’aucune reconnaissance légale.
La question de l’enfant et de son devenir sur le plan psychologique a naturellement été posée, mais souvent sur la base de positions théoriques, pour lesquelles de nombreux champs des sciences humaines ont été convoqués (psychanalyse, sociologie, philosophie, anthropologie...), et beaucoup moins sur la base de résultats empiriques.

Dépenses de santé : quelle est la part des médicaments ?

Univadis


Fanny Le Brun  17 sept. 2019

La DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) vient de publier son rapport annuel « Les dépenses de santé en 2018 – édition 2019 ». Nous allons nous intéresser à la place des médicaments dans ces dépenses…

En 2018, en France, la consommation de médicaments s’élève à 37,6 milliards d’euros TTC (quasiment stable par rapport à 2017 : 37,8 milliards), dont 32,7 milliards en ambulatoire (y compris rétrocession hospitalière et rémunérations forfaitaires) et 4,9 milliards à l’hôpital.

Recours aux urgences : les patients ont le sentiment de ne pas abuser

Stéphane Lancelot
| 24.09.2019




Service des urgences de l'hôpital Lariboisière
Service des urgences de l'hôpital Lariboisière, à Paris. | VOISIN/PHANIE

Les patients sont-ils en partie responsables de l’engorgement des urgences, et indirectement de la crise qu’elles traversent actuellement (255 services sont toujours en grève selon le collectif Inter-Urgences) ? Depuis le début de ce mouvement social, l’éducation des patients est, en effet, fréquemment citée parmi les axes d’amélioration qui permettraient de soulager les services hospitaliers. 

805 médecins signent une tribune pour préserver l'aide médicale d'État

Camille Roux
| 24.09.2019


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BURGER/PHANIE

« Tout le monde a le droit d'être soigné ». 805 médecins signataires* d'une tribune publiée dimanche dans le JDD, demandent le maintien de l'Aide médicale d'État (AME). L'avenir de cette couverture santé destinée aux personnes étrangères sans titre de séjour et aux patients touchant moins de 746 euros par mois sera discuté dans les prochains jours au Parlement à la demande d'Emmanuel Macron. Le président de la République souhaite faire de la question de l'immigration une priorité de cette rentrée.