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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 21 février 2020

Une oncologue australienne alerte sur les dangers de la "super spécialisation" de la médecine moderne

 Camille Roux
| 22.02.2020


    Ecorché
SIMON FRASER/SPL/PHANIE

La "super spécialisation" de la médecine représente-t-elle un danger pour le bien-être des patients ? C'est ce qu'affirme le Dr Ranjana Srivastava, une oncologue australienne, dans une tribune publiée par The Guardian. Pour l'auteure, il s'agit même d'un problème alarmant pour la médecine moderne. Selon elle, certes, la spécialisation permet de « protéger les patients de médecins persuadés de tout savoir » mais « aucune spécialité ne doit exempter les médecins de l'évaluation du patient dans son ensemble ».
Prestige et récompenses
Le Dr Ranjana Srivastava se demande ainsi pourquoi les médecins et chirurgiens modernes préfèrent s'occuper d'un « seul organe » ou d'un « seul type d'os ». Selon l'oncologue, la réponse se trouve dans la reconnaissance du métier. « On se demande pourquoi, plus la spécialité est précise, plus le prestige est grand alors que le patient moyen polypathologique chronique a désespérément besoin de quelqu'un pour avoir une vision d'ensemble. » L'oncologue met ainsi en lumière l'un des paradoxes des systèmes de santé modernes : « Les patients aspirent à être soignés par un généraliste compétent mais la société continue de récompenser les spécialistes de niche », déplore-t-elle.  
Selon la spécialiste, faire passer « ses larges connaissances, sa curiosité et ses idées avant sa spécialité » était auparavant gage de maturité et de sagesse. Aujourd'hui, « ces médecins qui regardent au-delà d'un seul problème sont considérés comme des ringards », ajoute-t-elle.

Colloque « Santé Mentale et Discriminations » Théatre Gabrielle ROBINNE Montluçon

UNIDIVERS
Colloque « Santé Mentale et Discriminations » Théatre Gabrielle ROBINNE, le jeudi 26 mars à 08:30
Présentation des associations de lutte contre les discriminations (LICRA, SOS homophobie, le Refuge, …)

Professeur PARQUET, Professeur de psychiatrie « Précarité, santé mentale et exclusion »
L’intervention aura pour visée de comprendre le rejet social des précaires et des exclus. En effet, ceux-ci sont souvent considérés comme des personnes dont les compétences ne sont pas présentes ou sont seulement bloquées. Le Professeur Parquet proposera donc de traiter ce thème selon deux approches : l’assistance ou l’aide à la restauration des compétences.
Colloque "Santé Mentale et Discriminations" Théatre Gabrielle ROBINNE

PSM 4-2019. Autour des « cas complexes »

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QUINTIN Anne



Sporadiquement, l’opinion, comme les pouvoirs publics, s’intéressent au fonctionnement des soins psychiatriques dans notre pays, et semblent redécouvrir leur grande misère.


Les RESAD ou « Cellules » de situations complexes ont la volonté d’articuler le social, le médico-social et le sanitaire à l’échelle de la commune.
Dans les années 2000, certaines communes, mettent en place une instance, présidée par le maire, qui a pour objectif de présenter des situations psychosociales complexes aux différents acteurs sanitaires et sociaux du territoire. Ces instances doivent pouvoir résoudre des situations de personnes en grande difficulté psychosociale en mettant en réseau les différents acteurs de la prise en charge en santé mentale : la psychiatrie de secteur, les services sociaux de circonscription, le centre communal d’action social, etc.


Le mystère des aveugles de naissance immunisés contre la schizophrénie

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Par Shayla Love    20 Février 2020

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Cela fait une soixantaine d’années que les scientifiques du monde analysent les archives, passent au peigne fin les hôpitaux psychiatriques et les instituts pour aveugles, à la recherche ne serait-ce que d’un seul cas.

Yom Pollak avait entendu ces rumeurs, qui revenaient de temps à autre et le laissaient généralement perplexe : aucun aveugle de naissance n’a jamais été diagnostiqué schizophrène.
Cela fait une soixantaine d’années que les scientifiques du monde entier s’attaquent à ce mystère. Ils analysent les archives, passent au peigne fin les hôpitaux psychiatriques et les instituts pour aveugles, à la recherche ne serait-ce que d’un seul cas.

Une révolution dans la contraception



le 20/02/2020

Vous n’êtes pas pleinement satisfaite des différentes possibilités de contraception actuelles ? Les chercheurs non plus, et ils ne chôment pas pour y remédier. Deux nouveautés importantes sont annoncées comme imminentes.

Pour les femmes, une solution mensuelle

Plus d’un tiers des Françaises absorbent encore leur pilule quotidienne, un chiffre en net recul cependant après la mise en accusation des contraceptifs de troisième génération en 2012. Une équipe de chercheurs américains de l’école de médecine de Harvard et du MIT a décidé de voler à leur secours. Et pour remonter la cote de la pilule, ils ont imaginé une version qui se prendrait seulement une fois par mois. Une innovation beaucoup moins contraignante que la prise quotidienne à heure fixe, entraînant moins de risque d’oubli, imagine-t-on aisément. Elle a été rendue possible grâce à un procédé assurant la fonte progressive du cachet et permettant ainsi une distribution de longue durée du principe actif. Durant la quatrième semaine, il ne reste plus d’hormones à diffuser, et c’est là que surviennent justement des saignements proches des règles.
[...] 

Pour les hommes, un processus non hormonal et sans effets secondaires

Jusqu’à présent, en dehors de la vasectomie et du préservatif, la première étant irréversible et le second, sujet aux « accidents de parcours », les hommes qui désiraient contrôler leur fertilité ne disposaient que d’une solution : le slip chauffant, inventé par le Français Roger Mieusset – il porte bien son nom ! – et expérimenté par une centaine de patients depuis 2010. Ce sous-vêtement, en réalité, ne chauffe pas vraiment, mais il plaque les testicules contre le corps, ce qui augmente légèrement leur température et freine effectivement la production des spermatozoïdes. Mais il faut porter le dispositif quinze heures par jour et compter un délai de réaction de trois mois environ, durée du processus de production des spermatozoïdes, pour que la méthode devienne efficace ou cesse de l’être.

Maladie de Lafora : quelle est cette pathologie génétique encore méconnue ?

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Le 20 février 2020

De nombreuses pathologies rares sont encore méconnues dans l’Hexagone. Parmi elles : la maladie de Lafora, une forme d’épilepsie fréquente qui peut être grave. Quels sont les symptômes de cette affection génétique ?
Une maladie rare et méconnue, mais pas isolée. Elysabeth Letort, mère de famille située dans les Côtes-d’Armor, a lancé un appel à la solidarité, ce 18 février dernier, pour combattre la maladie de Lafora. Ses deux enfants Djao et Mathilda sont atteints de cette pathologie. À l’adolescence, les deux multiplient les crises d’épilepsie et ne parviennent plus à lire et à écrire. Aucun traitement n’a réussi à enrayer la maladie de Lafora dont ils souffrent. La mère de famille espère qu’ils pourront bénéficier d'un traitement adapté.

Maladie de Lafora : qu’est-ce que c’est ?

La maladie de Lafora est une pathologie connue sous le nom "d’épilepsie myoclonique généralisée de type 2". Elle se caractérise par une épilepsie myoclonique généralisée et fait partie de la famille des épilepsies généralisées symptomatiques. Cette affection se manifeste principalement à l’adolescence, entre 6 et 19 ans. L’âge de début de la pathologie ainsi que son évolution sont variables d’une personne à une autre (même au sein d’une même famille). Cette maladie engage le pronostic vital.
La transmission de la maladie est autosomique récessive. Cela signifie que la personne atteinte a hérité d’une anomalie génétique transmise par un de ses deux parents, qui sont eux-mêmes porteurs de l’anomalie sans en être malades. En Occident, cette affection touche moins d’une personne sur un million. Du côté de l’Hexagone, on estime 5 à 10 cas par an, selon une étude réalisée en 2007 par l’Orphanet, un portail dédié aux maladies rares et aux médicaments orphelins.

Du sang, des larmes, des cris : un hashtag pour libérer la parole sur le post-partum

Lancé sur Instagram et Twitter par quatre femmes, il encourage les mères à ne plus taire la réalité de l’après-accouchement et à refuser de n’en livrer qu’une image d’Epinal.

Charlotte Herzog Publié le 20 février 2020

« Le post-partum c’est ce qu’il y a de plus sale, l’antithèse du propret et du lisse. » Depuis le 15 février, sous le hashtag #MonPostPartum, coulent sur Instagram et Twitter du sang et des larmes post-accouchement. Les témoignages sont crus et explicites. Les urines brûlent et les vagins sont comme des « plaies ».
L’appel à témoignages lancé sur les réseaux par la sociologue française et féministe Illana Weizman et ses amies Ayla SauraMorgane Koresh et Masha Sacré met en lumière un sujet trop rarement abordé – bien qu’il existe depuis des années –, en mettant des mots sur la réalité du post-partum, la période qui suit l’accouchement.
Illana Weizman parle de « convalescence » : « Comme après une lourde opération, tous les organes se remettent en place. Beaucoup de sang doit être évacué, les choses physiques qui se passent et qui changent dans le corps sont violentes. S’asseoir fait mal. Marcher se fait au ralentit. Le corps est déformé », explique-t-elle au Monde. Pour la sociologue, taire ces expériences et, de manière générale, invisibiliser un vécu aussi commun témoigne d’une société qui n’est « ni empathique ni responsable, surtout envers les femmes ».

Une publicité censurée aux Etats-Unis

Ce qui a déclenché son initiative, c’est la censure, par la chaîne américaine ABC, d’une publicité de la marque Frida Mom, spécialisée dans les produits post-accouchement, lors de la diffusion de la 92e cérémonie des Oscars, le 9 février. La publicité met en scène une femme venant d’accoucher – on le devine à son ventre encore arrondi et aux cris d’un bébé – se lever la nuit, se rendre péniblement aux toilettes pour uriner douloureusement et changer sa protection hygiénique post-accouchement, semblable à une couche dans sa culotte.
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Société.États-Unis : la famille avec papa, maman et les enfants, c’est du passé

THE ATLANTIC - WASHINGTONPublié le 


Un couple et 2,5 enfants en moyenne : autrefois la norme, c’est aujourd’hui un schéma familial minoritaire aux États-Unis. Il reste pourtant un idéal pour beaucoup d’Américains. Selon The Atlantic, il est temps de s’en défaire.

“La famille nucléaire était une erreur.” Avec ce titre accusateur, le magazine The Atlantic dénonce la fin du modèle familial devenu la norme dans les esprits américains depuis le siècle dernier : “un couple marié et ses 2,5 enfants”.

Cette structure familiale “nucléaire” ne concerne plus qu’une minorité des familles aux États-Unis, remarque le journaliste. Le mythe s’est développé entre les années 1950 et 1965, “une anomalie historique” durant laquelle “toutes les conditions étaient réunies” pour rendre ce modèle viable : une hausse des salaires permettant aux hommes de subvenir à toute la famille, “une forte assiduité à l’église, la syndicalisation, la confiance sociale”.

Comment gérer l'accueil des patients précaires ou sans papiers ?

21.02.2020


L'accueil des patients précaires ou sans papiers en consultation relève d'une pratique très différente de l'exercice habituel de la médecine générale. Les pathologies rencontrées, physiques ou psychiques, ainsi que la situation sociale du patient et de ses droits demandent des connaissances et une prise en charge spécifiques.

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GARO/PHANIE

« Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera », dit le serment d'Hippocrate. Lorsqu'il s'agit de patients précaires, le jeune médecin remplaçant ou installé peut cependant faire face à certaines difficultés administratives, sociales, humaines...
Quel que soit le malade, son origine, sa couverture sociale, la prise en charge se doit d'être la même pour tous. Le Dr Laure Dominjon, médecin généraliste et présidente du syndicat ReAGJIR, explique cependant que, dans le cas d'un patient migrant par exemple, peut se poser la question de « la maîtrise de la langue ». « Il s'agit d'une véritable barrière pour l’accès aux soins, mais aussi pour la gestion des aspects sociaux et des détresses affectives voire des violences subies. Cela rend la consultation chronophage », témoigne la généraliste remplaçante à Vitry-sur-Seine (94).

De la pauvreté au suicide

Publié le 20/02/2020




Il est certain que la pauvreté a une incidence fâcheuse sur la santé mentale, y compris sur le risque dépressif ou suicidaire. Ainsi, une étude récente est consacrée ainsi aux liens entre suicide et austérité en Grèce lors de la crise économique subie par ce pays entre 2009 et 2015. Et cet article peut être rapproché d’une autre publication du même auteur (un professeur de psychiatrie à l’université Aristote de Thessalonique[1]), parue auparavant sur un thème voisin : les relations entre taux de suicide et variables économiques en Europe dans la première décennie du XXIème siècle.

Un ado de 17 ans se suicide dans la prison de Fleury-Mérogis



Publié le 20 février 2020 

Un adolescent de 17 ans s'est suicidé en début de semaine à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis. Il s'est pendu avec des draps dans sa cellule, lundi soir, et son corps a été découvert par des surveillants lors d'une ronde, précise Le Parisien. Ce récidiviste était incarcéré dans le quartier des mineurs depuis le mois de décembre.


Argenteuil : « il avait dit : si je me fous en l’air, c’est de la faute de l’hôpital »

Par Marjorie Lenhardt Le 16 janvier 2018

« Olivier est mort dans des circonstances dramatiques, je ne veux pas que sa mort reste impunie. » Patricia Lardenois est effondrée. Début octobre, elle a perdu son fils de 30 ans, Olivier, retrouvé pendu par un câble informatique à la fenêtre de son appartement à Paris (XIe). Avant de se suicider, il avait absorbé une grande quantité de médicaments. La mère est persuadée qu'il s'est suicidé à cause de ses conditions de travail. Il était neuropsychologue au service gériatrique à l'hôpital Victor-Dupouy, Argenteuil.
« Ses relations avec certains collègues du service étaient mauvaises, explique-t-elle. Il avait des heurts tous les jours, il pleurait tout le temps pendant les derniers mois, ses collègues me l'ont dit. Il leur disait : Si je me fous en l'air, c'est de la faute de l'hôpital. Je n'ai pas pris conscience de la gravité de son état… » En juillet dernier, Olivier a été arrêté pendant un mois. Deux mois avant, il s'était mis en arrêt pendant quinze jours. Il était suivi psychologiquement depuis deux ans et prenait des antidépresseurs.
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Maladie d’Alzheimer : un mécanisme crucial dans la lutte contre la maladie a été identifié

RTFLASH    20/02/2020 

La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative qui se caractérise par deux lésions : des dépôts amyloïdes et des enchevêtrements de protéine tau. Plusieurs traitements ont été développés durant les dernières années, ciblant l’une ou l’autre de ces lésions dans le but de retarder la progression de la maladie. Mais récemment, des chercheurs ont identifié un mécanisme crucial de la maladie : le processus par lequel la bêta-amyloïde entraîne les enchevêtrements de tau. Une découverte qui pourrait aboutir à des traitements bien plus efficaces que les thérapies actuelles.
La maladie d’Alzheimer se caractérise depuis longtemps par l’accumulation de deux protéines distinctes dans le cerveau : d’abord la bêta-amyloïde, qui s’accumule en plaques, puis la tau, qui forme des enchevêtrements toxiques qui entraînent la mort cellulaire. Mais la façon dont la bêta-amyloïde conduit à la toxicité de la protéine tau n’a jamais été précisément connue. Maintenant, une nouvelle étude menée à l’Université de l’Alabama, à Birmingham, semble décrire ce mécanisme manquant.
Ces recherches ont mis à jour une cascade d’événements. L’accumulation de bêta-amyloïde active un récepteur qui répond à un signal chimique du cerveau appelé noradrénaline, communément connu pour mobiliser le cerveau et le corps pour l’action. L’activation de ce récepteur à la fois par la bêta-amyloïde et la noradrénaline stimule l’activité d’une enzyme qui active la protéine tau et augmente la vulnérabilité des cellules cérébrales.

Régénérer le cerveau en produisant de nouveaux neurones

RTFLASH   20/02/2020 


Une équipe de recherche dirigée par Tamar Licht, de l'Université Hébraïque de Jérusalem, vient de montrer que la neurogenèse, la création de nouveaux neurones par le cerveau, permettrait la régénération des zones cérébrales endommagées.
Il est à présent bien établi que notre cerveau produit de nouveaux neurones tout au long de sa vie, même si ce rythme de production ralentit avec l'âge. Cette neurogenèse a été principalement localisé dans le gyrus denté. Il s'agit d'une zone délicate de l'hippocampe, partie du cerveau impliquée dans la formation des souvenirs et la gestion des émotions.
« La plupart des études attribuent aux neurones hippocampiques ajoutés un rôle dans l'apprentissage et l'amélioration de la mémoire, la dépression et le comportement social », commentent les auteurs de ces nouveaux travaux dans la publication. « On ne sait pas encore, cependant, si la capacité de production de neurones au cours de la vie adulte sert également à la régénération post-lésion ».


Des scientifiques gallois ont découvert une cellule qui s'attaque à tous les cancers

RTFLASH  18/02/2020

Les chercheurs de l'Université de Cardiff (Royaume-Uni) ont ainsi découvert ce nouveau type de cellule T (ou lymphocyte T), présente dans le sang. Et celle-ci porte un récepteur jamais observé jusqu'à présent, capable de s'attaquer aux cellules cancéreuses tout en épargnant les cellules saines. Cette cellule T comporte un récepteur capable de ne détruire que les cellules cancéreuses sans s'en prendre à celles qui sont saines, chez les patients malades. C'est une découverte qui pourrait considérablement faire avancer la recherche sur les traitements contre le cancer.
Des chercheurs de l'Université de Cardiff au Pays de Galles ont découvert une nouvelle méthode qui permettrait de soigner de nombreux cancers, relève la BBC, reprenant les résultats de l'étude parue dans Nature Immunology. Pas encore testée sur des patients, cette découverte permettrait d'accroître l'efficacité des traitements par immunothérapie, qui ont déjà fait leurs preuves, et de les étendre à plus de patients. En effet, les chercheurs gallois ont découvert un nouveau type de cellule T comportant un récepteur qui ne s'attaque qu'aux cellules cancéreuses sans détruire celles qui sont saines.