La sexualité se vit différemment dans chaque culture. «L’incroyable histoire du sexe » raconte les plaisirs à travers les âges aux 4 coins du globe. Interview d’un des auteurs, Philippe Brenot.
Comment fait-on l’amour en Inde ? Au Moyen-Orient ? En Afrique ? En Chine ? Au Japon ? Vous le saurez en vous plongeant dans « L’incroyable histoire du sexe » ! Après un premier tome qui nous racontait l’amour en Occident avec talent (et succès ! quelque 80.000 exemplaires furent vendus), Philippe Brenot et Laetitia Coryn nous racontent cette fois l’histoire de la sexualité à travers les âges au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie. Le psychiatre, anthropologue et sexologue français accompagné de la dessinatrice nous emmènent d’abord dans la civilisation de l’amour qu’est l’Inde puis dans le monde des Mille et une nuits. On part ensuite découvrir les pratiques sexuelles africaines puis les plaisirs érotiques chinois et les voluptés japonaises. On apprend l’histoire des rites amoureux et jeux érotiques de ces cultures pour se rendre compte combien l’amour est multiple. On découvre et on s’amuse car la dessinatrice Laetitia Coryn s’empare des explications documentées avec un humour décalé, coquin et raffiné !
Edgar Tissot est président de la commission santé mentale du Doubs. Ce pharmacien à l’hôpital psychiatrique de Novillars près de Besançon voit de nouveaux patients affluer. La troisième vague sera-t-elle psychiatrique ? Interview.
Cette seconde vague de l’épidémie, est-elle déjà visible dans les services psychiatriques ?
“Les semaines passant, ce que nous craignions se produit. Depuis quelques semaines, la demande de soins psychiatriques augmente. A la fois sur les demandes de consultations, et d’hospitalisation, on observe une hausse de 10 à 15% de nouveaux patients par rapport à l’année dernière… Ce sont des signaux inquiétants, c’est une hausse notoire. Ce chiffre est d’autant plus inquiétant que la psychiatrie publique est saturée actuellement. Dans certains endroits, il faut 6 à 12 mois de délai d’attente pour accéder à une consultation avec un psychologue ou un psychiatre. Alors, bien entendu, nous répondons à l’urgence, mais on ne peut pas que travailler dans l’urgence, donc il va falloir renforcer la psychiatrie publique qui a subi un décrochement par rapport à d’autres spécialités médicales, et on est en train de le payer très cher."
Il y a une altération de la santé globale de nos concitoyens, il va falloir qu’on soit en mesure d’apporter des réponses à cette double problématique, d’une part la hausse des troubles psychologiques en lien avec le Covid, et l’altération de la santé globale des Français. Des actions sont nécessaires sur les deux plans.
Une clinique finlandaise s'est fait dérober tous ses dossiers.
Repéré par Barthélemy Dont sur Wired 21/12/2020
La nouvelle est passée relativement inaperçue en France, mais le 26 octobre, une attaque informatique aux conséquences graves a secoué la Finlande. Un pirate est parvenu à entrer dans le système de Vastaamo, une clinique de psychothérapie, et à obtenir le données privées de plus de 36.000 patients.
Bien que Vastaamo soit une clinique privée, elle dispose de vingt-cinq centres de psychothérapie dans le pays et sous-traite une bonne partie du système public finlandais de santé mentale.
La pandémie de la COVID-19 a eu un impact très fort sur la santé physique et mentale des gens. Et une étude récente a révélé que les Roumains sont plus tristes, plus en colère, beaucoup plus anxieux et ont un sentiment accru de solitude.
Plus précisément, 42% des répondants ont signalé une aggravation du stress, et environ un tiers des répondants ont signalé une détérioration de la nervosité. L'étude préliminaire a été menée auprès d'environ 2 000 personnes âgées de 28 à 50 ans. Les données ont été analysées et interprétées par des spécialistes d'un consortium formé par l'Institut de psychiatrie «Socola», l'Université de médecine et de pharmacie «Grigore T. Popa», l'Association roumaine de psychiatrie et de psychothérapie et l'Université de Transilvania.
Qu’est-ce que la conscience ?Les chiens montent-ils au ciel ? Quel est le pire cauchemar qu’on puisse imaginer ? À défaut d’avoir immédiatement sous la main quelqu’un de compétent pour répondre à ces questions, vous pouvez toujours sortir votre smartphone et tenter d’interroger un « agent conversationnel » (selon le terme français qui traduit l’anglais chatbot), autrement dit un programme informatique doté d’une dose suffisante d’intelligence artificielle pour dialoguer avec vous. Or, depuis août, l’informaticien canadien Murat Ayfer en a développé une version philosophique qu’il a nommée « Philosopher AI » et qui se prétend capable de répondre philosophiquement à toutes les interrogations – y compris les plus existentielles sur le sens de la vie – que vous pouvez lui soumettre. Et le résultat est parfois bluffant ! Ses performances fascinent ou amusent les uns tandis qu’elles inquiètent les autres, mais méritent-elles d’être prises au sérieux ?
Une nouvelle sagesse ?
« Philosopher AI » est actuellement indisponible sur l’Apple Store et le Google Play Store, le temps pour Murat Ayfer, comme il nous l’a confirmé, de régler certains problèmes liés à la rémunération de cette application mobile. Un choix des réponses qu’elle a déjà générées a néanmoins été diffusé sur le forum AskReddit (disponible ici). Ces réponses manifestent souvent une impressionnante capacité d’abstraction et certaines se révèlent même particulièrement argumentées et « réfléchies », comme celle où le programme déclare préférer vivre avec un nazi plutôt qu’avec un serial killerparce qu’il pense pouvoir guérir le premier par l’éducation alors que le second lui semble définitivement perdu. Plus troublant encore, quand on l’interroge sur le sens de la vie, sa réponse apparaît non seulement cohérente mais pleine de sagesse :
« Nous ne pouvons pas connaître le sens de la vie. Voici cependant mon opinion : la signification de la vie se peut se trouver dans ce que nous appelons l’existence elle-même. Nos vies sont rendues insensées par le simple fait de vivre. Cela ne veut pas dire que la vie a besoin d’être difficile ou pleine de souffrances ou d’embûches pour qu’on puisse dire qu’elle a de la valeur, mais plutôt, et plus simplement, que nous trouvons du sens à travers l’existence elle-même. [...] » Toute ressemblance avec une réponse déjà fournie par un philosophe en chair et en os ne serait que (indice : il a écrit L’Existentialisme est un humanisme)...
Depuis quelques semaines, la presse fait état de plusieurs clusters dans des hôpitaux à travers la France, et 22 000 patients et soignants seraient contaminés. Pour Santé publique France, l’augmentation des cas de Covid serait en lien avec la mise en place de SI-Monic. Mais pour d’autres, cela reflète les conditions dans lesquelles les soignants travaillent.
« Les clusters dans les hôpitaux se multiplient mais nous n’avons pas de chiffres exacts car leur nombre évolue chaque jour. Dans mon établissement, nous avons eu quatre clusters de plus en quinze jours, ce qui porte leur nombre à sept ou huit au total », observe Céline Durosay, vice-présidente de la Coordination nationale infirmière (CNI). « En septembre, nous avons eu au CHU de Poitiers un premier cluster en neurologie en raison d’une patiente contaminée, ensuite un autre en gériatrie puis, récemment, un deuxième avec 80 patients infectés et autant de soignants », relate Céline Laville, présidente de la CNI. Les deux infirmières ne sont pas les seules à faire ce constat. La presse régionale s’en fait régulièrement l’écho : le 4 novembre, 20 minutes évoquent un cluster à l’hôpital de Carhaix, en Bretagne, le 12 novembre c’est France 3 qui annonce quatre clusters au centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Tours (Indre-et-Loire), le 26, Sud-Ouest signale un cluster à l’hôpital de Sainte-Foy-la-Grande (Gironde), et le 12 décembre, La Dépêche alerte sur un cluster à l’hôpital de Saint-Gaudens (Haute-Garonne). Différents services sont touchés : médecine, cardiologie, chirurgie cardiaque… Et des dizaines de soignants et de patients sont contaminés.
Une moisson de beaux livres explore en images le couple, la tendresse et les affects sentimentaux. Sélection.
Photo issue du livre «Ils s’aiment».Editions Les Arènes
Notre espèce a-t-elle besoin de se réchauffer les yeux à la lueur de l’amour ? Pure coïncidence ou réaction souterraine après une année d’isolement, la crise sanitaire produit un effet loupe sur un petit nombre d’ouvrages passionnants qui placent le sentiment amoureux au centre des images. Dans les vitrines des libraires, trône cet hiver, par exemple,Ils s’aiment,un impressionnant volume avec plus de 350 clichés d’hommes amoureux. Issues de la collection de deux Américains, Hugh Nini et Neal Treadwell, les photographies anonymes couvrent un siècle d’amour homosexuel, entre 1850 et 1950. L’album des collectionneurs commence le jour où le couple tombe sur une photographie des années 20 avec deux hommes qui leur ressemblent et dont ils croient déceler une étincelle dans le regard : ils y voient le reflet de leur propre lien. Pour agrandir leur collection, Nini et Treadwell suivent alors la règle du «50-50» : être convaincus à au moins 50 % qu’il s’agit de deux hommes vraiment amoureux. Depuis, les collectionneurs ont accumulé plus de 2 700 clichés de couples masculins - dont pas mal de soldats - originaires de Serbie, Bulgarie, Hongrie, Russie, Royaume-Uni, Thaïlande, Australie, qu’ils chinent sur Internet, dans les ventes aux enchères ou via des revendeurs. Après avoir trouvé plusieurs photos de garçons posant sous un parapluie ou une ombrelle, ils ont compris que l’accessoire était un code du tendre qui traversait les époques.
“La personnalité est la façon de penser, de sentir et de se comporter qui rend une personne différente des autres. La personnalité d’un individu est influencée par ses expériences, son environnement (milieu, situations de vie) et ses caractéristiques héritées. La personnalité d’une personne reste généralement la même au fil du temps. Un trouble de la personnalité est une façon de penser, de se sentir et de se comporter qui s’écarte des attentes de la culture, qui provoque une détresse ou des problèmes de fonctionnement et qui dure dans le temps”.
[...]
Validation d’un bref écran pour les questions de personnalité
Afin de répondre à la nécessité d’un bref dépistage des troubles de la personnalité, ce qui serait utile compte tenu de l’intensité de l’évaluation complète, des chercheurs de l’école de médecine de l’université de Pittsburgh, comme le décrit leur récent article dans le Journal des troubles de la personnalité (2020), a testé une brève échelle permettant de dépister les problèmes de personnalité en fonction du degré d’accord ou de désaccord avec trois éléments clés :
Je suis trop sensible au rejet
Il m’est difficile de recevoir des instructions de personnes qui ont une autorité sur moi
Les jeunes de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN) ont publié le 24 novembre 2020 le rapport d’une task-force intitulée Radicalisation[s]. Une partie de ses 62 propositions est consacrée à la radicalisation en milieu carcéral.
« Transhumances » s’est fait l’écho le 28 septembre 2020 du livre « les sortants, comment la France prépare la sortie des détenus radicalisés » de la journaliste Véronique Brocard. Il décrit les procédures que, après beaucoup de tâtonnements, l’Administration pénitentiaire a mis en place selon le triptyque « repérer, évaluer, prendre en charge ».
Les détenus incarcérés pour des faits de terrorisme islamiste ou les détenus de droit commun soupçonnés de radicalisation sont repérés par les agents pénitentiaires, avec au premier rang le service du renseignement qui a été fortement renforcé. Ils font un séjour dans un Quartier d’Évaluation de la Radicalisation (QER) puis orientés vers la détention ordinaire, un Quartier de Prise en charge de la Radicalisation (QPR) ou mis à l’isolement.
Le radicalisme n’est pas seulement islamiste
Le rapport des jeunes de l’IHEDN s’intéresse à trois domaines : les milieux scolaire et sportif, l’univers carcéral et l’espace numérique. D’une manière transverse, il définit la radicalisation comme « éloignement d’une norme autour de laquelle on fait société. » Le processus par lequel des hommes et des femmes s’isolent dans un refus radical de la société qui peut devenir violent ne se limite pas à « l’islamisme ». Il inclut le radicalisme d’extrême-droite, et des radicalismes émergents comme l’écologisme ou le féminisme extrêmes. Mais, observe le rapport, ces formes de radicalisme sont davantage tolérées car « leur mouvance reste attachée à des racines culturelles communes dans les pays européens, alors que l’islam radical en France est un phénomène culturel plus étranger. »
Unité de prise en charge de la radicalisation à la prison de Vendin le Vieil. Source : la Voix du NordLire la suite ...
Dans « L’approche du mal » (2019), livre écrit avec Mathieu Livoreil, l’expert psychologue Jean-Luc Ployé raconte son métier auprès des auteurs et des victimes de crimes et de délits.
En trente-cinq ans de carrière, Jean-Luc Ployé a réalisé 13 000 expertises, moitié de mis en cause, moitié de victimes. « J’ai voyagé à l’intérieur d’eux-mêmes, doucement, écrit-il. J’ai bu leurs histoires et leurs sentiments. Certains voyages m’ont mené vers des horizons obscurs. »
Bien que la couverture du livre insiste sur ses expertises de tueurs en série, Fourniret, Heaulme, Chanal, une bonne partie de l’ouvrage est consacré à son travail auprès de victimes. La plupart sont des femmes qui ont porté plainte pour viol ou agression sexuelle. Disent-elles la vérité ? L’enjeu est important : la peine moyenne contre celui qui est reconnu coupable d’un ou plusieurs viols est de 9,6 années de prison ferme.
Selon Novartis, l'opération devrait être finalisée au premier trimestre 2021, sous réserve du feu vert des autorités de la concurrence (archives). KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS sda-ats(Keystone-ATS)
Novartis veut s'emparer du laboratoire américain en phase clinique Cadent Therapeutics, spécialisé dans les troubles neuropsychiatriques. Cette acquisition doit renforcer le portefeuille de groupe rhénan dans les domaines de la schizophrénie.
Basé à Cambridge dans l'Etat du Massachussetts, Cadent recevra un versement initial de 210 millions de francs (185,6 millions de francs) et est éligible pour des paiements d'étape plafonnés à 560 millions, précise la société américaine dans un communiqué distinct. Cette acquisition pourrait potentiellement atteindre un montant de 770 millions de dollars (680 millions de francs).
Après des millénaires d’évolution, les experts l'affirment : l’intelligence humaine serait sur le déclin. Nous serions plus lents que nos ancêtres et nos résultats aux tests de QI, après des décennies de hausse, plafonnent, voire baissent. Ce documentaire compulse les théories de psychologues, de biologistes ou de neurologues.
Ben, 14 ans, portant son casque anti-UV à la sortie de son collège, à Mamoudzou. Photo David Lemor
Sur l’île française de Mayotte, des familles comoriennes venues pour faire soigner leurs enfants atteints d’une maladie génétique rare vivent dans la misère des bidonvilles. Ne pouvant supporter les rayons du soleil, les jeunes malades ont une espérance de vie terriblement courte dans leur pays d’origine, faute d’une prise en charge médicale.
Qui n’a pas dans ses relations des personnes disant que la prison , c’est le Club Med ? Que les détenus sont nourris, logés, blanchis et qu’on pourrait les faire payer ? Que la prison est faite pour les criminels ? Qu’elle n’est pas assez sévère et que davantage de délinquants devraient y aller ? Etc.
Couverture du livre « Décarcérer »
Ce petit livre (moins de 100 pages) répond très précisément à ces questions. Il intéressera tous ceux qui, de près ou de loin, se posent des questions sur la prison.
Il est écrit par une personne qui connaît bien ce dossier. Cet entrepreneur social de 29 ans, lutte pour développer une alternative à l’incarcération. Il a participé à la création de l’Agence du travail d’intérêt général qui forme des tuteurs et accompagne des personnes en fin de peine pour construire la suite de leur parcours.
Par « Décarcérer« , il entend
1 Sortir une personne de prison, surtout quand elle n’a rien à y apprendre de bon, ni pour elle ni pour la société.
La substance est déjà largement utilisée dans le système de santé comme anesthésique et antidépresseur.
La drogue sera administrée une à deux fois par semaine lors de séances de psychothérapie, et ce, pendant trois mois.
PHOTO : ISTOCK
La clinique de psychologie Mindspace devient la première au Québec à proposer une thérapie assistée à la kétamine pour combattre la dépression. Au cours des prochains mois, elle souhaite aussi proposer des traitements à la psilocybine et au MDMA, grâce à des changements anticipés à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances.
Selon son fondateur, le Dr Joe Flanders, de nombreuses personnes ont exprimé de l’intérêt pour le traitement à la kétamine, qui devrait commencer dans les prochaines semaines. La substance est déjà largement utilisée dans le système de santé comme anesthésique et antidépresseur. Dans le cadre de la psychothérapie, ce sont plutôt ses propriétés psychédéliques que l’on recherche. C’est généralement considéré comme un effet secondaire, dit le Dr Flanders.
Les substances aux propriétés psychédéliques augmentent la communication entre différentes régions du cerveau qui ne se parlent normalement pas, avance le psychologue. Lorsqu’on hallucine et que, soudainement, on peut voir de la musique, c’est exactement ce qui se passe, explique-t-il. En thérapie, il arrive la même chose au patient lorsqu’il parle de sa vie, de son histoire, de ses émotions.
La substance sera administrée une à deux fois par semaine lors de séances de psychothérapie, et ce, pendant trois mois. Le processus pour participer à ce type de traitement n’est pas simple. Le candidat doit être évalué par un médecin de famille, un psychiatre et un psychologue. La compagnie qui fournit la médication doit approuver chaque patient, étant donné le risque de dépendance.
Le travail du psychothérapeutes est d’aider ses patients à atteindre un bien être intérieur. (Photo: Shutterstock)
Inscrit dans la loi, le remboursement des soins des psychothérapeutes n’est toujours pas une réalité. La faute en revient à un débat non tranché sur l’autonomie de la profession. Le Conseil d’État a pris position sur le sujet et relance les négociations.
Pourquoi les soins des psychothérapeutes ne sont-ils toujours pas remboursés au Luxembourg? Ce n’est pas une question de reconnaissance du métier et de son utilité. Cette interrogation a été réglée par la loi du 15 juillet 2015 qui définit la profession et les modalités pour l’exercer. Elle a aussi été réglée sur le terrain. «Nous avons répondu présents à l’appel du ministère de la Santé lors de la première vague du Covid-19 qui nous a demandé de monter une permanence psychothérapeutique pour le personnel soignant durant toute la période du confinement», rappelle Delphine Prüm, psychothérapeute et présidente de la Fapsylux , l’association représentant le métier au Luxembourg, créé en 2018.
Les blocages se trouvent sur le terrain administratif. La loi du 15 juillet 2015 prévoit dans son article 5 le remboursement des consultations par la Caisse Nationale de Santé (CNS). Mais les conditions posées par cette dernière sont inacceptables selon Delphine Prüm.