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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 28 mars 2020

Coronavirus Les meilleures applis pour les appels vidéo



Publié le : 28/03/2020

En temps de confinement, de nombreuses applis et solutions permettent de passer des appels vidéo à plusieurs pour les réunions professionnelles, les apéros virtuels avec les amis ou pour prendre des nouvelles de la famille. Notre sélection.

POUR RESTER EN CONTACT AVEC VOS PROCHES

Facebook Messenger

logo facebook messenger
C’était initialement la messagerie instantanée des utilisateurs du réseau social Facebook. Aujourd’hui, elle est ouverte à tous (il suffit de renseigner son numéro de téléphone pour s’inscrire) et permet de passer des appels audio, mais aussi des appels vidéo (jusqu’à 50 participants).
À travers le monde, 410 millions de personnes utilisent les appels vidéo chaque mois (1).

  • Disponible sous iOS, Android et depuis un navigateur web (www.messenger.com).
  • Compatible avec Facebook Portal.

WhatsApp

logo whatsapp
WhatsApp permet d’envoyer des messages écrits ou vocaux, mais aussi de passer des appels vocaux et vidéo partout dans le monde. L’application (rachetée par Facebook en 2014) permet de créer des groupes de discussion, et de passer des appels vidéo comptant jusqu’à 4 participants. Il est aussi possible d’envoyer directement des documents (jusqu’à 100 Mo) à ses contacts.
  • Disponible sous iOS, Android, Mac et PC.
  • Compatible avec Facebook Portal.

Google Duo

logo Google Duo
C’est l’application d’appels vidéo que Google destine au cercle privé (8 participants maximum). Il est possible de passer aussi des appels audio. Le service est gratuit, un numéro de téléphone suffit pour l’utiliser. Un compte Google est toutefois nécessaire pour utiliser Duo sur plusieurs appareils (smartphone, tablette) ou plusieurs plateformes (appareil mobile, navigateur web).



Coronavirus Confiné avec un malade, comment faire ?



Publié le : 27/03/2020 

Un membre de votre famille a été diagnostiqué porteur du coronavirus et est confiné à domicile ? Quelques précautions supplémentaires sont à respecter.

Prendre ses distances avec autrui, c’est une des principales recommandations à respecter pour freiner la propagation du coronavirus. Mais le confinement impose au contraire de côtoyer étroitement ses proches. Compliqué à gérer si l’un d’entre eux est atteint du Covid-19. Quelques précautions permettent sinon d’éviter à coup sûr la transmission intrafamiliale, du moins de mettre toutes les chances de son côté. 


Coronavirus : envisager déjà la sortie ?

Par Emmanuel Laurentin et Chloë Cambreling  25/03/2020

La Revue de presse des idées |Dix jours à peine après le début du confinement, alors que la courbe des morts ne cesse de croître, faut-il imaginer la suite ? Institutions internationales, hommes politiques, universitaires et écrivains pensent un monde profondément bouleversé, à reconstruire.
Comment sortir du tunnel ?
Comment sortir du tunnel ?  Crédits : Crédit JEFF PACHOUD - AFP
Tandis que les essayistes Gaspard Koenig et Pascal Bruckner nous enjoignent, le premier dans Les Echos et le second dans le Figaro à percevoir dans ce « malheur » ou cette « calamité » qu’est le Coronavirus, une « chance », les tribunes des journaux poussent l’hypothèse plus loin en envisageant déjà des scénarios de sortie de crise.
La « vague »n’est pas encore passée que les hypothèses sur « le monde d’après », comme l’écrit François Lenglet dans Le Figaro, se multiplient.

Crise mondiale, réponse mondiale

Honneur aux grandes institutions internationales, d’abord. Le secrétaire général de l’OCDE, Angel Gurria, plaide ainsi, dans Les Echos, pour « une action coordonnée au plan international, (…) un nouveau Plan Marshall mondial ». On apprend sous sa plume que l’économie mondiale était déjà « vulnérable » avant la flambée de l’épidémie et que « dans les pays de l’OCDE, plus d'un tiers des ménages sont en proie à l'insécurité financière, ce qui signifie qu'ils pourraient sombrer dans la pauvreté s'ils se trouvent privés de revenus pendant trois mois. »

Éducation et Culture, l'Émission spécial

Le 22/03/2020

Face au confinement, une émission résolument positive pour vous mettre en appétit d'éducation et de culture.
Trois lecteurs
Trois lecteurs Crédits : Daniel Karmann/picture alliance via Getty Images - Getty
France Culture propose ce dimanche une émission exceptionnelle pour toutes et tous.  
La France est confinée mais grâce à l’éducation, l’acquisition de nouvelles connaissances, grâce à la culture - des livres, des films, des spectacles en ligne, des séries -, grâce à la radio aussi, grâce à la musique, nous allons pouvoir mettre ce temps suspendu à profit. Nous instruire, poursuivre l’éducation des enfants, élèves en toutes classes, écouter, voir, penser, apprendre, rêver. En un mot, malgré l’inquiétude, malgré l’état d’incertitude dans lequel nous laisse ce qui se passe, nous allons vivre. La connaissance et la culture vont être nos alliées, nos meilleures amies.
Pour être confinés, nous n’en sommes pas moins reliés. Nous voilà face à nous-mêmes, mais tous en même temps. Cependant, nous ne sommes pas égaux face à l’épidémie du Covid-19. Certains d’entre nous travaillent pour le bien commun, d’autres sont en télétravail ou soudainement sans activité, certains dans des maisons, d’autres dans de modestes appartements. 
Comment vivre ce petit, moyen, grand temps retrouvé ? Quels outils pour aider ses enfants à apprendre ? Quel projet personnel pour se former ? Comment ne pas accroître les inégalités face à la scolarité ? Comment contrer la fracture numérique ? Que l’on soit en ville, dans une zone périphérique, à la campagne, en revanche, la même nécessité de faire retraite chez soi s’impose à toutes et à tous.  
France Culture vous propose une émission inédite avec de nombreux intervenants entre échange d’idées, points de vue, solutions, préconisations. Des interviews avec une vingtaine de personnalités invitées – ministres, chercheurs, intellectuels, libraires, artistes, écrivains, le tout par liaison téléphonique ou numérique … parce que nous sommes, nous aussi, confinés. Des chroniques, un tour de France des initiatives, d’autres rubriques encore.
Une émission résolument positive pour vous mettre en appétit d'éducation et de culture !

Initiatives éducatives remarquables 

PLATEFORMES ET CONTENUS

Histoire : 4 périodes de l'histoire de l'art en 4 tableaux majeurs

20/03/2020

Grâce à une sélection d'émissions de "La Fabrique de l'Histoire", découvrez quatre grandes périodes de l'Histoire de l'Art au travers de quatre tableaux majeurs.
La Vierge à l'Enfant avec sainte Anne, Léonard de Vinci, 1503
La Vierge à l'Enfant avec sainte Anne, Léonard de Vinci, 1503 Crédits : PHAS - Getty
Pour enrichir vos connaissances en Histoire de l'Art, ou les réviser, nous vous proposons de réécouter plusieurs émissions de "La Fabrique de l'Histoire", autour de peintures majeures de Jan Van Eyck, Léonard de Vinci, Édouard Manet et Sonia Delaunay.
Dans le cadre de l'opération Nation Apprenante, en partenariat avec le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, chaque présentation d'émission sera suivie d'une précision sur le niveau scolaire auquel elle peut faire écho. Mais que cela n'empêche pas les plus curieux d'y jeter une oreille !
C'est un tableau très complet : on y voit un paysage, un tableau religieux et c'est également un portrait. Complet par ses aspects techniques, esthétiques et sémantiques. Très rares étaient les artistes capables d’imaginer et de réaliser un tel tableau. Il est une empreinte d'un monde disparu.
Au programme des classes de cycle 4 et de Première.
En le regardant de près que peut-on en retirer ? Que dit cette Sainte Anne verte et bleue du paysage, que dit-elle de Léonard, que dit-elle des ateliers florentins, que dit-elle du culte à Sainte Anne, que dit-elle de la République de Florence, que dit-elle des artistes de cour, et que croit-on qu'elle dit de l'enfance de Léonard ?

Coronavirus: Covidom, une application mobile qui suit les patients



Par   Publié le 27 mars 2020

Lancé par l’AP-HP, le système accompagne les malades du Covid-19 à leur domicile afin d’anticiper toute dégradation de leur état.

En milieu de semaine, quelque 13.000 patients étaient inscrits sur l’application Covidom, 300.000 questionnaires traités, et plus de 10.000 alertes gérées.
En milieu de semaine, quelque 13.000 patients étaient inscrits sur l’application Covidom, 300.000 questionnaires traités, et plus de 10.000 alertes gérées. Jean-Christophe Marmara/JC MARMARA / LE FIGARO
Ils sont étudiants en médecine, dentistes, kinésithérapeutes, infirmiers, cadres de santé, pharmaciens, professeurs d’université… Et se sont unis pour jouer les standardistes au service des malades du Covid-19, diagnostiqués puis renvoyés chez eux. Covidom, c’est une ruche montée en quelques jours par l’AP-HP pour assurer le suivi de ces malades, assez bien portants pour ne pas être hospitalisés, mais à surveiller de près pour éviter des drames nés d’une dégradation brutale de leur état. «Le 2 mars, rien n’existait, et l’activité a été lancée le 9!», s’étonne encore le Pr Patrick Jourdain, responsable de la plateforme de télésurveillance régionale. D’abord ouvert aux patients de la Pitié-Salpêtrière et de Bichat, «pour s’assurer que c’était adapté à des services d’infectiologie et d’urgence», le dispositif a progressivement été étendu à tous les hôpitaux de l’AP-HP et, depuis une semaine à tous les médecins libéraux d’Île-de-France. Des discussions sont déjà en cours avec des hôpitaux de province, pour y décliner le système.

L’autre “Chambre à soi”

Mis en ligne le 25/03/2020

Avec le confinement, nous redécouvrons le sens de l’une des revendications centrales du féminisme : disposer d’un espace à soi, d’“Une chambre à soi”, pour reprendre le titre de l’essai (1929) de Virginia Woolf. Dans une réflexion personnelle inspirée par l’écrivaine anglaise, Sonia Feertchak ose se demander si les femmes ne sont pas plus habituées que les hommes à faire face à cette situation.


vendredi 27 mars 2020

Pr Frank Bellivier, délégué ministériel à la psychiatrie : « faire sortir les patients qui le peuvent et réserver les hospitalisations à ceux qui présentent des états décompensés »

PAR 
COLINE GARRÉ - 
 
PUBLIÉ LE 27/03/2020

Crédit photo : DR
Une cellule de crise « Covid-19 Santé mentale » a été installée la semaine dernière à l'initiative du Comité de pilotage de la psychiatrie, de la Direction générale de l'offre de soins (DGOS), et de la délégation ministérielle à la santé mentale et à la psychiatrie. Le Pr Frank Bellivier, à la tête de cette dernière, précise les missions de cette cellule.
LE QUOTIDIEN : Pourquoi avoir mis sur pied la cellule de crise « Covid-19 Santé mentale » ?
Pr FRANK BELLIVIER : L'objectif est double. Il est d'abord d'aider les équipes à mettre en place des procédures générales de lutte contre le Covid-19 dans les filières de psychiatrie, dans les établissements spécialisés et pluridisciplinaires. Il est aussi d'assurer une remontée d'informations du terrain pour identifier des problématiques ou difficultés spécifiques à la psychiatrie, qui accueille des publics vulnérables.

« Hygiène des mains et masques : oser le dégradé ? » Les conseils d'une ophtalmologiste à ses confrères



En temps de pénurie, le mieux est parfois l'ennemi du bien… Le Dr Isabelle Cochereau fait le point sur les moyens de protection à disposition des soignants, des plus efficaces ( masques FFP2 et SHA), aux plus inédits : réutilisation, stérilisation, repassage des masques, ou masques en tissus…
Crédit photo : GARO/PHANIE
Lors d’une épidémie infectieuse, la protection des personnels soignants est une priorité absolue pour assurer la continuité des soins urgents des patients infectés mais aussi celle des soins urgents habituels, ce qui démultiplie les besoins en personnel soignant, en lits, et en matériel.
Par ailleurs, en stade 3, tout contact interhumain doit être suspect puisque le micro-organisme circule dans toute la population et qu’il existe des porteurs sains disséminateurs. Les surfaces touchées par les personnes infectées sont également à risque, surtout si elles sont en plastique ou en métal (1).

Ligue des droits de l'homme COVID-19

Ligue des droits de l'homme (France) — Wikipédia

Confinement : les numéros et les informations utiles



PUBLIÉ LE : 23.03.2020

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Violences conjugales, autisme, enfants maltraités, précarité, isolement… Voici toutes les informations utiles pendant cet épisode de confinement.

Enfance en danger
- Un collectif pour la protection de l’enfance #SosEnfantsPlacés s’est créé afin que la lutte contre le coronavirus ne se fasse pas au détriment des enfants qui dépendent de l’aide sociale à l’enfance. Les professionnels peuvent faire remonter leurs difficultés à l’adresse mail sos@enfantsplaces.org.
- Le 119 est le numéro gratuit à appeler en cas de suspicion de maltraitances intrafamiliales sur des enfants, lesquels sont particulièrement fragilisés et invisibilisés durant cette période.
Violences conjugales
- La plateforme nationale www.arretonslesviolences.gouv.fr reste plus que jamais d’actualité. En cas d’urgence, le 17 est à privilégier pour joindre les services de police ou de gendarmerie.
- Une écoute et une orientation vers les dispositifs de prise en charge des femmes victimes de violences sont assurées par le numéro national de référence : 3919.
- Pour l’accès au droit et à la justice, le réseau associatif France Victimes est joignable au 116006.