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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 28 septembre 2019

ASSOCIATION DE LA CAUSE FREUDIENNE

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LES JEUDIS D’ORSAY : « S’ORIENTER DANS LA CLINIQUE : ÉTUDES DE CAS » : INVENTIONS SOUS TRANSFERT. 03-10-2019

  Association La Cause Freudienne Ile-de-France Les Jeudis d’Orsay : « S’orienter dans la clinique : études de cas » Animés par Pierre-Ludovic Lavoine et Camilo Ramírez Année 2019-2020 : Inventions Sous Transfert 03 octobre 2019   Pour cette deuxième année du séminaire, nous poursuivrons, au Campus d’Orsay, l’étude de cas pouvant nous enseigner sur ..

« FUOCOAMMARE – PAR-DELÀ LAMPEDUSA » PROJECTION ET CONVERSATION ANIMÉE PAR ANAËLLE LEBOVITS-QUENEHEN. LE 19-09-2019 À 20H. CACHAN

L’ACF Ile de France, dans la mouvance Zadig ouverte par l’Ecole de la Cause freudienne, vous invite à la projection du film de Gianfranco Rosi « Fuocoammare – Par-delà Lampedusa »1 le jeudi 19 septembre La projection suivie d’une Conversation animée par Anaëlle Lebovits-Quenehen psychanalyste de l’Ecole de la Cause freudienne   Phénomènes de toujours, ..

CONVERSATION AUTOUR DE LA PIÈCE « LIZA ET MOI, HISTOIRES DE MÈRES ET DE FILLES » DE LA COMPAGNIE LES TOURNESOLS. 29-03-19 À 20H30. PETIT THÉÂTRE ODYSSÉE À LEVALLOIS

L’ACF IdF et la Compagnie Les Tournesols organisent une conversation après le représentation de « Liza et Moi », pièce mise en scène par Sophie Thebaut, vendredi 29 mars à 20h30 au Petit Théâtre Odyssée de Levallois. En présence de la metteure en scène Sophie Thebaut, des comédiennes et animée par: Xavier Gommichon, membre de l’ECF, délégué ..
































































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Danser, une philosophie

LE JOURNAL DE LA PHILO par Géraldine Mosna-Savoye
04/06/2018
5 MIN

Temps, espace, art, passion, raison… et si la danse était le problème philosophique par excellence ?
La danseuse de l'Opéra de Paris Léonore Baulac lors d'une représentation du Lac des Cygnes à l'Opéra Bastille (01/01/2017)
La danseuse de l'Opéra de Paris Léonore Baulac lors d'une représentation du Lac des Cygnes à l'Opéra Bastille (01/01/2017) Crédits : HANDOUT / L'OPÉRA DE PARIS AFP
Après la musique de Schopenhauer, place à la danse, grâce à la parution du livre de Julia Beauquel, Danser, une philosophie, aux éditions Carnets Nord. C’est l’occasion de revenir sur cet objet qui fascine les philosophes. Considérée comme un art et une performance physique, relevant à la fois du corps et de l’esprit, exprimant les émotions les plus triviales ou les plus subtiles, les attitudes les plus ordinaires ou les plus abstraites, à la portée de tous mais avec une exigence maximale si on est un professionnel, la danse est un défi pour les philosophes, de Platon et Lucien de Samosate à Nelson Goodman et Paul Valéry.

Platon, Valéry, Nietzsche

C’est à Paul Valéry que l’on doit, en 1939, une Philosophie de la danse. Mais, dès 1923, est publié son texte L’âme et la danse. Entre poésie et philosophie, déjà Paul Valéry veut dégager l’essence de la danse. C’est qu’il avait bien senti le problème avec elle : la définir. 
Qu’est-ce que la danse ? De l’art, du sport, une activité, une contemplation, une marche, une chorégraphie, l’application d’une idée, l’expression d’un sentiment, l’exploration d’un espace, la suspension du temps, un moment de plaisir ou un instant de grâce ? 
Comment trancher ? Qui l’aurait cru... la danse est par excellence le problème philosophique. Car le temps, l’espace, la liberté, la passion, la raison… sont bien des problèmes, mais la danse semble, elle, les rassembler tous. 
C’est pourquoi elle fascine les philosophes et perdure comme questionnement. Le pourquoi de la danse, ce sont précisément les problèmes qu’elle traverse, soulève, pose, le pourquoi de la danse, c’est donc son “pourquoi”... Mais peut-on s’en tenir à ça, à une telle tautologie ?
A tous les problèmes que la danse rencontre (temps, espace, liberté, raison, passion, création, etc…), il faut ajouter toutes les interprétations et les réinterprétations dont elle fait l’objet : selon les philosophes (Platon soulignait sa dimension éducative quand Nietzsche pensait qu’une journée sans danse était une journée de perdue), selon ses circonstances (guerrières, festives, de joie ou d’ivresse), les chorégraphes aussi, les spectateurs, et bien sûr les danseurs. 

A eux, demain






Paris, le samedi 28 septembre 2019 – Feel good movie ? Probablement. Mais il n’est pas interdit de se laisser parfois attendrir par de belles histoires. Ce 25 septembre est sorti sur les écrans un film de Gilles de Maistre, Demain est à nous, qui dresse le portrait de sept enfants qui ont décidé de ne pas attendre le poids des années pour changer la vie et le quotidien de leur entourage. Ils s’investissent en paroles mais aussi souvent en actes pour apaiser la souffrance et faire évoluer les mentalités.

Actes et paroles

Plusieurs de ces portraits d’enfants ou d’adolescents retiendront l’attention. De nombreux médias se sont ainsi intéressés à la force d’Aïssatou Barry. Ce petit brin de jeune fille qui vit en Guinée a été frappée alors qu’elle entrait en sixième de constater qu’une de ses camarades avait été « mariée précocement à l’âge de 15 ans ». Il ne lui est pas nécessaire de chercher longtemps pour constater que plusieurs de ses autres camarades sont concernées et que la plupart doivent abandonner l’école. « Je me suis demandée ce que je pouvais faire pour aider ces jeunes filles. Elles n’ont même pas le droit de s’épanouir ». Aujourd’hui Aïssatou Barry a mis en place un groupe thématique sur les mariages précoces où elle insiste sur l’importance de pouvoir poursuivre ses études afin d’être maitresse de ses choix. Outre les discours d’Aïssatou Barry, le film met en lumière le jeune Arthur qui dans le nord de la France vend ses dessins et tableaux afin de pouvoir récolter des fonds en faveur des sans-abris. Avec l’aide de ses parents, il gère minutieusement sa petite "entreprise" qui transforme les peintures en sandwichs et couvertures pour les sans-abris.

Sensibilisation pas si virtuelle

Publié le 28/09/2019




Paris, le samedi 28 septembre 2019 – Plusieurs villes de France (Lyon, Bordeaux, Nantes, Montpellier, Toulouse, Grenoble et Paris) proposent depuis quelques semaines des panneaux digitaux dont le message est une invitation à mieux comprendre les maladies psychiques. Cette campagne organisée par l’agence E&H LAB et soutenue par le réseau Psychodon trouvera son point d’orgue la semaine prochaine sur le parvis de la Gare Saint-Lazare à Paris. Du 3 au 6 octobre, une demi-sphère géante (symbolisant un cerveau) accueillera les visiteurs afin de leur faire vivre une expérience qualifiée "d’immersive".

Réalité virtuelle 

Avant de coiffer un casque, les visiteurs seront d’abord invités à qualifier en quelques mots ce que signifient pour eux les troubles psychiques. Puis, grâce à la réalité virtuelle ils seront confrontés à une partie de ce que peuvent ressentir les personnes atteintes de différentes pathologies psychiques. Parallèlement à ce "parcours", des informations seront proposées sous forme interactive. Enfin, à la fin de la session, les participants pourront livrer une autre « définition » de la maladie psychique, ce qui permettra de mesurer l’effet de cette opération de sensibilisation.

Gençay : un documentaire en tournage sur le peintre Pascal Audin

Publié le 

Caméra au poing, Jean-Louis Dubois-Chabert suit Pascal Audin depuis près de deux ans.
© Photo NR
L’écrivain et réalisateur Jean-Louis Dubois-Chabert tourne un documentaire sur le peintre gencéen Pascal Audin. Une collecte est lancée sur Proarti.

Leur rencontre remonte à 2017. Le 10 juin de cette année-là, Jean-Louis Dubois-Chabert était venu faire une lecture de son livre Délit de solidarité, au “ Café-Cantine ” de Gençay. Voisin du bar associatif et grand habitué des lieux, le peintre Pascal Audin avait assisté au débat qui suivait et entamé une discussion avec l’ex-journaliste devenu écrivain et documentariste. « On s’est vite rendu compte qu’on avait des affinités, sourit Jean-Louis Dubois-Chabert. Mais ce n’est qu’en janvier 2018 que j’ai osé frapper à sa porte pour lui demander s’il acceptait que je le filme sur un temps long. »
“ De la couleur sur les plaies ”
C’est la personnalité de l’artiste qui a séduit le documentariste. Notamment, sa capacité de résilience, malgré une jeunesse marquée par la violence (enfant, Pascal Audin a été enfermé dans un placard, battu, affamé, puis violé à l’adolescence). « Avec son enfance, il aurait toutes les raisons de tout voir en noir, poursuit Jean-Louis Dubois-Chabert. Mais il met de la couleur partout ! »
De fait, la maison qu’habite l’artiste, en plein cœur de Gençay, ne passe pas inaperçue avec sa façade multicolore. Mais l’intérieur est encore plus sidérant : chaque centimètre carré de mur ou de sol est transformé, magnifié par le pinceau naïf et la palette éclatante de Pascal Audin. Le peintre y a accumulé des milliers de peintures et de sculptures, mais aussi quantité d’objets qu’il collectionne compulsivement : « Je dois posséder l’une des plus importantes collections de sifflets du pays, avance fièrement Pascal Audin. Je collectionne aussi les boules à neige et les ours en peluche. »


Urgences : il faut "aider à réorganiser" les services "par des moyens financiers" (Thomas Mesnier)

Conférence des présidents de CME CHU

APMnews du 29/08/2019 La question des moyens financiers pour aider à réorganiser les services fait partie des sujets étudiés par la mission lancée en juin par la Ministre pour sortir les urgences de la crise, a déclaré le député Thomas Mesnier... >> lire la suite

Mouvements en cascade dans le secteur de la santé

APMnews 29/08/2019 C'est une vraie cascade de mouvements de hauts responsables qu'a connu le secteur de la santé et du médico-social au cours de l'été, sachant que plusieurs nouvelles nominations restent en attente, a constaté APMnews. Lire la suite... >> lire la suite

Grand débat national : La thématique de la santé s'est invitée, il faut l'entendre (E. Philippe)


Alès : le pôle psychiatrie de l’hôpital dénonce le manque de moyens

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Publié le 

Agents et médecins hospitaliers, usagers et familles, ont manifesté, mercredi, aux côtés de la CGT. MIDI LIBRE / XAVIER ROUSSEAU
Face à la colère, la direction reconnaît des problèmes de recrutement.

"Depuis deux ou trois ans, on sent une différence dans le suivi de nos enfants, et le manque de moyens qui touche le service. Il y a moins d’activités proposées. Il y a dix ans, quand il a fallu trouver une solution pour mon fils, elle a été trouvée avec une prise en charge de l’enfant et de la famille."
Mercredi 25 septembre, sur le parvis du centre hospitalier, cette mère de famille, dont l’enfant est accueilli à l’hôpital de jour de la Rose verte à Alès, a manifesté aux côtés des agents du pôle psychiatrie de l’hôpital, à l’initiative de la CGT et des usagers du Collectif de défense et de promotion de l’hôpital et de la santé dans le bassin cévenol.
Un mouvement qui a entraîné la fermeture de l’hôpital de jour de pédopsychiatrie.


Journées Nationales de l’Information Médicale, du Contrôle de Gestion et des Finances en Psychiatrie

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L’édition 2019 a eu lieu les 19 et 20 septembre au CH Théophile Roussel à Montesson (Yvelines)


Digne-les-Bains : Conférence "Toute puissance de l'économie : fin de l'humain ?"



27 septembre 2019

Digne-les-Bains : Conférence "Toute puissance de l

L'association culturelle d'échange et de recherches de Haute-Provence (ACERHP)  organise ce vendredi 27 septembre au sein du Centre Hospitalier de Digne-les-Bains, une conférence-débat avec Patrick Coupechoux.



Les médecins généralistes réinventent le système de soins



Égalité d’accès aux soins, culture de l’esprit critique, sport-santé, numérique ou coordination des soins, les omnipraticiens, qu’ils soient encore en formation, retraités ou fraîchement installés, prennent des initiatives ambitieuses pour façonner l’avenir du système de santé. Madame Fabienne Le Coq, responsable de l’animation et du développement à La Médicale, partenaire des 29es Grands Prix du Généraliste, détaille la promotion 2019.

Le prix de la première expérience professionnelle revient au Dr Amina Fouzai. Elle a fédéré une dizaine de professionnels de santé, tous primo-installants, au sein de la Maison Santé Sport pluriprofessionnelle Uni’Med. Peut-on dire qu’avec cette maison de santé qui promeut l’activité physique, la jeune génération s’empare de la prévention et montre ainsi la voie ?

Fabienne Le Coq : Les « G d’Or » remettent l’humain au centre des préoccupations et en cela rejoignent nos engagements, sur le terrain, aux côtés de médecins généralistes. Nombreux sont ceux qui se lancent dans des initiatives anticipatrices. Selon la philosophe et psychanalyste Cynthia Fleury, le soin est un humanisme. Cela résume bien l’engagement, le côté humain du soin et l’attention portée à autrui. À l’instar du Dr Fouzai, les médecins peuvent être entrepreneurs, acteurs, enthousiastes et faire preuve d’un dynamisme qui force l’admiration : ils vont de l’avant et n’attendent pas des réformes de santé qu’elles réorganisent le système de soins. Cette maison de santé, première maison sport-santé d’Île-de-France, prend en charge les pathologies chroniques, musculosquelettiques et la petite urgence, mais sa vocation est de promouvoir le sport-santé en Seine-Saint-Denis. À travers l’ensemble de ces projets se dégage une volonté de travailler ensemble, d’organiser les pratiques et de répondre aux enjeux de la médecine et des soins. Il existe une multitude de solutions comme en témoigne la diversité des projets sélectionnés et primés qui embrassent un spectre assez large de l’exercice médical. Ces grands prix ont d’autant plus de raisons d’être que la médecine générale est au coeur de la réforme du système de santé avec la stratégie « Ma Santé 2022 » qui veut apporter des réponses globales aux défis auxquels est confronté le système de santé français (accès aux soins, coopération entre professionnels de santé, temps médical, formations médicales…).