Prisons, centres de rétention... : le défi de l'intimité dans les lieux de privation de liberté

Publié le 19 septembre 2022

Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) enquête, outre sur les prisons, sur l'hospitalisation sous contrainte en psychiatrie, les commissariats, les centres de rétention administrative (CRA), les centres éducatifs fermés... Dans ces différents lieux de privation de liberté, se pose la question du maintien de l'intimité.

La conception même des cellules ou des chambres garantit la visibilité constante des personnes par des professionnels qui peuvent entrer et fouiller jour et nuit. © JC Hanché pour le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL)

Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL)

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 est une autorité administrative indépendante (AAI). Il est doté du pouvoir d’enquête sur la situation des personnes privées de liberté et de visite des établissements

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À ce titre, il est amené à formuler des recommandations. Il consacre cette année son rapport, paru le 7 juillet 2022, à la question de l'intimité.

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