C’est une bonne nouvelle pour le monde du médicament, mais qui risque de ne pas tomber dans l’oreille d’un sourd chez les narcotrafiquants. Ces derniers mois, plusieurs équipes de chercheurs ont publié des articles détaillant les étapes permettant de faire produire de la morphine et d’autres opiacés par de la levure de bière modifiée génétiquement. Dans la revue américaine Science datée de jeudi 25 juin paraît un article de chercheurs de l’Université de York (Royaume-Uni). Il apporte le chaînon manquant jusque-là pour synthétiser des antalgiques majeurs. Une percée qui fait cependant craindre l’utilisation de ce procédé à des fins illicites.
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