dimanche 9 mars 2014

De nouvelles données montrent que XEPLION® permet de retarder la rechute de manière significative par rapport au traitement habituel par monothérapie antipsychotique, administré par voie orale

Janssen Pharmaceutica NV a rendu publics les résultats de l'étude contrastée sur la prévention de la rechute par des antipsychotiques oraux et le palmitate de palipéridone (PROSIPAL), lors du 22e Congrès européen de Psychiatrie qui s'est tenu à Munich du 1er au 4 mars 2014. Les données ont montré que XEPLION® (palmitate de palipéridone), un traitement mensuel à action prolongée, a permis d'accroître de manière significative le délai avant la survenue de la rechute lors de la phase de traitement de deux ans, tout en réduisant les taux de rechute chez les personnes atteintes de schizophrénie, en comparaison avec le traitement antipsychotique habituel, administré par voie orale, choisi par l'investigateur.

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L'étude prospective et randomisée PROSIPAL, effectuée en aveugle et avec étiquetage en clair sur 24 mois, a examiné l'efficacité du XEPLION®, en comparaison avec une monothérapie antipsychotique administrée par voie orale chez 715 patients dont la schizophrénie avait été récemment diagnostiquée (1–5 ans après le diagnostic). La durée moyenne de la maladie entre le diagnostic et le début de l'étude était de 2,9±1,5 ans. À la fin de la phase de traitement de 24 mois, le délai avant la survenue de la rechute était nettement plus long avec XEPLION® en comparaison avec la thérapie antipsychotique orale (moyenne±ET : 616±10,9 jours contre 603±13,1 jours, p=0,0191).1 En outre, les taux de rechute étaient considérablement moindres dans le groupe traité par XEPLION® en comparaison avec celui traité par antipsychotiques oraux (respectivement, n=52/352 ; 14,8% contre n=76/363 ; 20,9%, p=0,0323), ce qui indique une réduction de 29,4% du risque relatif.


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