Endormi quelque part au creux de la tourmente, il y a l’espoir. Une petite flamme qui jamais ne s’éteint, même si dans les tempêtes les plus robustes, elle est réduite à un minuscule tison. Même si on ne le voit plus, même s’il est enfoui trop profondément pour qu’on puisse même savoir qu’il est là, ce petit tison se bat contre la tempête intérieure pour rester en vie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire