lundi 19 avril 2021

Olanzapine : le signalement est dans un livre adressé demain au ministère de la Santé

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 OLANZAPINE : LE SIGNALEMENT EST DANS UN LIVRE ADRESSÉ DEMAIN AU MINISTÈRE DE LA SANTÉ

Pour comprendre cet article pour celles et ceux qui ne sont pas au courant de cette affaire laquelle remonte à 2004 prière de lire auparavant mon précédent article sur Mediapart en rapport avec ce sujet en cliquant sur le lien suivant : 

Olanzapine : un ex-schizophrène demande le retrait du marché de cet antipsychotique

Photo ci-dessus : moi-même tel que je me revois autrefois pris par des crises de narcolepsie véritable et non pas par une simple somnolence sévère ou grave telle que l'indique aussi bien le laboratoire Lilly sur sa notice dans la boîte de son médicament (olanzapine 10 mg) que le dictionnaire Vidal dans sa description des effets indésirables de celui-ci. L'olanzapine ne tue pas comme le Mediator. Je suis le seul schizophrène sans doute à m'être plaint des crises de narcolepsie véritable que celle-ci provoquait sur moi autrefois. Quand après la prise de ce genre de médicament on est alors transformé aussi bien en patate abrutie qu’en patate suicidaire toute la journée il ne vient certainement pas alors l’idée de se plaindre de cela. Et pourtant j'étais bien alors comme sur la photo ci-dessus et même très souvent. En 2005 j'ai été obligé de quitter ma psychiatre psychanalyste (75011 Paris) pour consulter beaucoup plus de près de chez moi alors une autre psy (75009 PARIS). Il fallait pour que je consulte à 75011 PARIS que je passe alors 45 minutes dans le métro (avec plusieurs changements de lignes) et pour retourner à mon domicile (… PÄRIS) il fallait à nouveau que je passe aussi 45 minutes dans le métro. Et quand la crise comme sur la photo ci-dessus me prenait il me fallait aussitôt une place assise alors dans celui-ci. Ma psychiatre psychanalyste n'a jamais voulu accepter que cet antipsychotique pouvait justement me provoquer de telles crises de narcolepsie véritable. Elle me disait : "C'est une erreur ! ce n'est pas possible !" Je lui répondais : "Les tracés d'un EEG sont incontestables comme sont incontestables les tracés d'un ECC !" Celle-ci n'a jamais en réalité eu les tracés des cinq EEG de 20 minutes que j'avais passés dans le service du Pr Damien Leger à l’Hôtel Dieu de Paris en 2004. J'ajoute et c'est important : l'assistante du Pr Damien Leger ne m'a signalé aucune autre maladie neurologique ni non plus aucun autre médicament pour expliquer selon lui ces crises de narcolepsie véritable. Je demande bien sûr au ministère de la Santé qu'il réclame voire qu'il saisisse s'il y a lieu par décision de justice mon dossier médical au service du Pr Damien Leger auquel j'ai eu affaire de nombreuses fois en 2004.

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