Le présent article aborde les relations entre pouvoir et psychiatrie au début de la révolution cubaine, lorsque l’homosexualité devient la cible d’une politique d’État qui prétend éradiquer cette “conduite” – considérée comme étant incompatible avec le projet eugéniste de l’Homme Nouveau – au moyen du travail forcé ou à travers de méthodes psychiatriques et de réhabilitation.
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