jeudi 15 août 2019

Beaucoup de thérapeutes utilisent le réseau comme un outil d'information sur la santé mentale.



Jennifer Padjemi — 
La sentence est tombée en 2017: dans une étude de la Royal Society for Public Health réalisée sur des jeunes de 14 à 24 ans, Instagram apparaissait comme le réseau social le plus néfaste pour la santé mentale. Parmi les nombreux problèmes détectés, quatorze au total, figuraient la solitude, le cyber-harcèlement, la dépression, l'anxiété, les complexes d'image et de corps ou encore le FOMO (fear of missing out), qui est le besoin de rester connecté par peur de rater un événement.
Depuis, la plateforme de photos et de vidéos fait tout pour changer la donne, avec des initiatives comme la confirmation d'un commentaire avant sa publication, la restriction d'accès à une personne pour éviter de la bloquer et se faire harceler en retour ou le masquage de likes, actuellement testé dans plusieurs pays (la France n'est pas encore concernée).

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