Plus d’un quart des patients souffrant de schizophrénie présentent un abus/dépendance au cannabis. Leur parcours de soin est alors davantage marqué par l’instabilité, le recours fréquent aux urgences, la violence, la désinsertion sociale et les problèmes médico-légaux. L’approche intégrée, caractérisée par la prise en charge simultanée des troubles psychotiques et addictifs, reste la plus efficace mais elle est peu proposée par manque de moyens. Face à ces troubles concomitants, comment malgré tout engager des soins cohérents ?
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