Elle était oncologue à Strasbourg, il était orthopédiste à Castres. Elle était interne en dermatologie à Paris, il était interne en neurochirurgie à Marseille (La Provence du 9 mars 2016). Ils aimaient leurs patients, ce métier dans lequel ils s'investissaient corps et âme, au sacrifice de leur sommeil, et de leur vie privée, souvent. Un jour, ils sont morts : ces brillants jeunes médecins se sont tous suicidés ces derniers mois en France. Drames isolés ?
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