L’aârch d’Aït Abdelmoumène relevant de la commune de Tizi N’Tléta, à 35 kilomètres au sud de Tizi-Ouzou, est tout bonnement «oublié» en termes de santé publique. En effet, la seule unité de soins disponible est à présent abandonnée à son triste sort. «Autrefois, notre unité disposait d’un médecin et de deux infirmiers. Il y avait aussi le service de suivi mère-enfant, où nos enfants recevaient leur vaccin. Maintenant, notre unité ne fonctionne que partiellement (les matinées) car l’infirmier chargé de cette mission doit aussi travailler dans une autre structure à Ouadhias. Ce qui fait ironiser ce villageois en lachant que l’unité est gérée par un «demi» infirmier. Le médecin, parti à la retraite, lui, n’est pas remplacé.
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mardi 20 décembre 2016
Un «demi» infirmier gère l’unité de soins
20-12-16
L’aârch d’Aït Abdelmoumène relevant de la commune de Tizi N’Tléta, à 35 kilomètres au sud de Tizi-Ouzou, est tout bonnement «oublié» en termes de santé publique. En effet, la seule unité de soins disponible est à présent abandonnée à son triste sort. «Autrefois, notre unité disposait d’un médecin et de deux infirmiers. Il y avait aussi le service de suivi mère-enfant, où nos enfants recevaient leur vaccin. Maintenant, notre unité ne fonctionne que partiellement (les matinées) car l’infirmier chargé de cette mission doit aussi travailler dans une autre structure à Ouadhias. Ce qui fait ironiser ce villageois en lachant que l’unité est gérée par un «demi» infirmier. Le médecin, parti à la retraite, lui, n’est pas remplacé.
L’aârch d’Aït Abdelmoumène relevant de la commune de Tizi N’Tléta, à 35 kilomètres au sud de Tizi-Ouzou, est tout bonnement «oublié» en termes de santé publique. En effet, la seule unité de soins disponible est à présent abandonnée à son triste sort. «Autrefois, notre unité disposait d’un médecin et de deux infirmiers. Il y avait aussi le service de suivi mère-enfant, où nos enfants recevaient leur vaccin. Maintenant, notre unité ne fonctionne que partiellement (les matinées) car l’infirmier chargé de cette mission doit aussi travailler dans une autre structure à Ouadhias. Ce qui fait ironiser ce villageois en lachant que l’unité est gérée par un «demi» infirmier. Le médecin, parti à la retraite, lui, n’est pas remplacé.
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