Mathilde goûte le fruit interdit de la littérature. Délice de disposer de sa tête en toute fantaisie. Créer des personnages hauts en couleurs de transfert, dans un joyeux remodelage. Brouiller les pistes, au point de ne plus reconnaître le tien du mien, alors qu'elle avait été payée durant cinq décennies pour démêler les voix qui habitaient chacun.
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