Pourquoi les thèses de Daesh séduisent-elles autant de jeunes ? Les terroristes qui passent à l’acte sont-ils fous ? Peut-on mieux les détecter ? Les « guérir » ? Habitué des cours d’assises, le psychiatre et criminologue Roland Coutanceau a sondé quelques-unes de ces âmes noires. Il livre au Télégramme ses réflexions.
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