Depuis les travaux classiques du sociologue Erving Goffman [1] sur la stigmatisation à l’encontre des sujets « différents » (comme les malades mentaux), notre compréhension de ce phénomène a beaucoup progressé. Ces processus de stigmatisation semblent s’appuyer à la fois sur des facteurs de nature psychologique (cognitifs, affectifs, comportementaux) et sociologiques (comme la théorie de «l’étiquette » de Thomas Scheff [2]). Mais plus récemment, l’accent a été mis sur la dimension culturelle à l’œuvre dans la stigmatisation [3].
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