Le Monde.fr avec AFP | | Par Séverin Graveleau
« Stress toujours très marqué, sommeil dégradé, comportement à risque sur le non-port du préservatif, manque de temps ou de moyens… » Chaque année, la Smerep (Sécurité sociale étudiante et mutuelle) ausculte la perception qu’ont les étudiants et lycéens de leur santé, de leur nutrition, de leur vie affective et sexuelle, de leur stress, de leur sommeil et de leur consommation de produits psychoactifs. Et chaque année, le – mauvais – diagnostic se confirme, soulignant, selon la mutuelle, « le caractère impératif de la prévention santé et la facilitation de l’accès aux soins ».
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