Cet article porte sur les interprétations et les usages des théories pavloviennes en psychiatrie. L’auteur montre que le choix d’appuyer la psychiatrie sur les thèses pavloviennes n’avait rien d’évident et que, s’il a été fait, c’est parce qu’il paraissait susceptible de faire de la psychiatrie une spécialité moderne, qui ne souffre plus de la comparaison avec d’autres spécialités médicales ou d’autres disciplines biologiques du point de vue de son régime de vérité.
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