Un mois après les attentats qui ont fait 17 morts en région parisienne du 7 au 9 janvier, les Français ont du s'habituer à vivre avec la menace et la mobilisation exceptionnelle des forces de sécurité. Pour autant, ça n'a pas pris des dimensions de "déstabilisation majeure" dans le psychisme des gens, analyse le Pr Humbert Boisseaux, chef du service psychiatrie de l'hôpital du Val de Grâce.
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