jeudi 27 mars 2014

Infirmiers : lever les freins aux nouvelles compétences

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Avec pour thème, « Préparer l’exercice de demain », la 3e édition des états généraux infirmiers, organisée le 25 mars par le Sniil, le Snies, et le SNPI[1], a été l’occasion d’évoquer les freins à l’évolution des compétences infirmières.
« Il faut toujours s’interroger sur les raisons qui poussent à développer les compétences, a rapporté Michèle Lenoir-Salfati, directrice adjointe de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS), en guise d’introduction. Cela répond généralement à une évolution des besoins de santé. »
Actuellement, ces besoins sont liés au vieillissement de la population, au développement des maladies chroniques et au besoin d’accompagnement. Il existe néanmoins des freins au développement des compétences.
« Il y a tout d’abord un frein à continuer une formation qui ne soit pas tournée vers l’exercice d’un métier car cela ne donne pas nécessairement des compétences, estime-t-elle. Le mouvement d’universitarisation offre une possibilité d’avoir des compétences adossées à la recherche. »


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