«Les patients doivent parfois attendre sept heures avant d’être soignés, c’est inadmissible ! Surtout pour l’hôpital pivot de l’Ariège.» Jacques Gomes, secrétaire général de la CGT à l’hôpital du Val d’Ariège ne cache pas son mécontentement. Il n’est d’ailleurs pas seul. Depuis février, le service des urgences du CHIVA est en grève. Un mouvement que le personnel a relancé hier, notamment par un entretien avec le directeur, Michel Thiriet. Au cœur de leurs revendications, le manque de personnel compte tenu de la charge de travail à effectuer.
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