samedi 21 janvier 2012


ANTONIN ARTAUD

Artaud sans fin, un article de FRANÇOIS-RENÉ SIMON

ANTONIN ARTAUD, CAHIERS D’IVRY (FÉVRIER 1947-MARS 1948), Édition d’Évelyne Grossman, T. 1 Cahiers 233 à 309 (1 162 p.), T. 2 Cahiers 310 à 406 (1 180 p.) Gallimard, 38 euros chaque (34,50 euros jusqu’au 29 février)
C’est une publication tout à fait singulière que celle desCahiers d’Ivry. Un livre pari, un livre (de) fou en deux volumes, 2 350 pages, papier fin, 2,35 kg, facsimilés en nombre, mise en pages qui tente de suivre au plus près celle des manuscrits avec des blancs au cœur du texte et une transcription des mots tels qu’ils sont écrits, souvent sans accent ni apostrophe, la vitesse prenant le pas sur l’orthographe. Rassurez- vous, c’est volontaire et on s’y habitue très vite.

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