dimanche 19 décembre 2010

Nouvelles psychanalytiques

Psychanalyse et relaxation, quelles pratiques aujourd’hui ?

Colloque de l’AREPS des 22 et 23 janvier 2011

Le training autogène de Schultz, lorsqu’il est introduit en France dans les années 50, suscite un vif intérêt chez quelques psychanalystes.
Au fil du temps, ces psychanalystes aménagent des pratiques différentes qui ont en commun la mise en mots du corporel dans un cadre spécifique à chaque méthode.
Les différences entre ces techniques témoignent de la créativité de ceux qui les pratiquent mais aussi de leur inscription dans une filiation.
- Avec Michel Sapir, s’élabore une approche prenant en compte les sensations et leur représentation dans une dimension transférentielle : la relaxation à induction variable. 
– L’abord de Julian de Ajuriaguerra privilégie le dialogue tonico-émotionnel et le contre-transfert dans la création de sa méthode de relaxation.
– Jean Bergès, à partir des travaux sur le tonus et de Ajuriaguerra sur le corps , a tenté de nouer les trois registres lacaniens (réel, imaginaire, symbolique) dans une méthode de relaxation thérapeutique. 
– De leur questionnement sur le rapport corps réel-corps imaginaire, Sami-Ali et Sylvie Cady font émerger la relaxation psychosomatique.
Ces méthodes sont nées de processus de pensée différents. Aujourd’hui, leur pratique en reste-t-elle marquée ? Comment ont-elles évolué ?

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