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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 29 novembre 2021

Quelles sont les données qui montrent la dégradation de la santé psychique des Français ?


 



Par   Publié le 29 novembre 2021

Etats anxieux et dépressifs, recours aux antidépresseurs, hospitalisations pour tentative de suicide… Différents indicateurs restent au rouge depuis le début de la pandémie.

Les données s’empilent et se recoupent : la santé mentale des Françaises et des Français s’est détériorée avec la crise sanitaire. Un an et demi après le premier confinement, on ne constate pas de retour aux niveaux connus avant la pandémie.

Le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), publié le 23 novembre par l’agence Santé publique France (SPF), est consacré aux états anxieux et dépressifs des actifs qui demeurent à des niveaux élevés tout au long de l’année 2020. Les auteurs de ce focus redoutent que la santé mentale fragilisée des Français devienne un « problème de santé publique ».

Addiction au crack : contre l’illusion sécuritaire, la quête d’une thérapie

par Charles Delouche-Bertolasi  publié le 28 novembre 2021

Au-delà des rodomontades et des évacuations répétées, professionnels de santé et experts de l’addiction se mobilisent pour apporter une réponse concrète aux problèmes engendrés par l’absence de traitement de substitution. 

Il y a un an et demi, Fabien, 44 ans, a fumé du crack pour la première fois de sa vie. Comme des centaines d’autres consommateurs à l’époque, c’est à la Porte de la Chapelle, dans le nord-est de Paris, cette zone désormais condamnée, coincée entre une bretelle d’autoroute et le périphérique, qu’il découvre la substance. De la cocaïne, mélangée à du bicarbonate de soude ou à de l’ammoniac. «J’ai ressenti une montée forte, très agréable, se souvient Fabien qui fumera jusqu’à cinquante «pipes» de crack par jour. A l’époque, je ne travaillais pas. Je faisais du théâtre. Dès que j’allais sur scène, j’étais dans mon personnage. Mais la seule chose que j’avais en tête, c’était la pipe que j’allais me fumer en rentrant chez moi.»

La Suisse dit oui à 61% à l'initiative sur les soins infirmiers

28 novembre 2021

 La pandémie a donné des ailes à l'initiative pour les soins infirmiers (archives). KEYSTONE/PETER SCHNEIDER sda-ats

Ce contenu a été publié le 28 novembre 2021 - 17:36

(Keystone-ATS)

Le capital sympathie accumulé par les infirmières pendant la pandémie a été bénéfique à l'initiative sur les soins infirmiers. Le peuple a soutenu dimanche le texte par 61%.

Tous les cantons romands ont soutenu l'initiative pour des soins infirmiers forts. Les Jurassiens ont massivement plébiscité le texte avec 66,4% de bulletins favorables. L'initiative s'est facilement imposée dans les cantons de Vaud et de Fribourg par 64,7% de oui.

Genève les talonne avec 64,4% de votes favorables à l'initiative. Celle-ci passe aussi nettement la rampe à Neuchâtel, avec 63,9%. Côté romand, les Valaisans ont été les moins prompts à la soutenir, avec 59,2% de votes favorables.

Outre Sarine, le soutien à l'initiative a également été massif. Un seul canton s'est opposé à l'initiative populaire. Le demi-canton d'Appenzell Rhodes-Intérieures a dit non par 53% des voix.

Bâle-Ville a été le champion des infirmiers avec 66,6% de oui. Berne a affirmé son soutien par 63,9%. Le texte a également largement convaincu les Schaffhousois (63,5%), les Zurichois (61,8%) ou Bâle-Campagne (62%).

Au total, quelque 2,16 millions d'électeurs ont glissé un bulletin favorable. Le camp du non a réuni environ 1,38 million de votes. La participation s'est élevée à environ 64,5% des votants.

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Natalophobie : pourquoi vous n'aimez pas Noël, expliqué par une psy

Par Apolline Henry  Le 02 déc 202

Vous détestez les fêtes de fin d'année, les chants de Noël vous donnent de l'urticaire, la perspective de faire un grand repas de famille vous angoisse, et vous attendez la fin de cette période soi-disant festive avec impatience ? Vous êtes sans doute natalophobe.


DÉLIRIUM ATELIERS DU DUENDE

22 novembre 2021

Les Ateliers du Duende présentent
Délirium
Création d’écriture collective par les ateliers du Duende
Dirigée par Andrea Castro, assisté de Mehdi Kerouani
Direction musicale: Anita Vallejo. Musiciens : Anita Vallejo et Luis Pradenas

Le spectacle "Délirium" est une pièce de théâtre écrite pendant les différentes périodes de confinements dans le cadre d’un travail d’ateliers d’écriture collective en distanciel.

Chaque participant a proposé un thème. Chaque thème a donné naissance à des improvisations, des personnages, des situations, des écrits…puis  à une histoire.

Délirium vous invite à entrer dans une étrange demeure : La maison Hellébore. Un  hôpital psychiatrique qui accueille des pensionnaires plus étranges que fous !


Rencontre entre Isabelle Craig et Luc Vigneault



Publié le 25 novembre 2021

Photo de Luc Vigneault, en studio

Luc Vigneault, pair-aidant et conférencierPHOTO : Radio-Canada / Jean-Simon Fabien

Luc Vigneault est né à Montréal en 1960 et a reçu un diagnostic de schizophrénie à la fin de l'adolescence. Condamné par la médecine, il a fait mentir les pronostics toute sa vie. Aujourd'hui, il est un pédagogue et un éveilleur de consciences sur sa maladie. En compagnie d'Isabelle Craig, il mesure tout le chemin qu'il a parcouru.

Premier pair aidant au Canada en milieu institutionnalisé, Luc Vigneault est également chargé de cours aux départements de médecine des universités Laval et de Montréal. Il est un pionnier qui met à profit non seulement son expérience, mais aussi ses connaissances et ses compétences.

« J’utilise l’humour comme moyen de communication. […] J’emploie beaucoup d’autodérision, je ris beaucoup de moi. Les gens s’ouvrent et, à un moment donné, ça les fait réfléchir. »

— 
Une citation de 
 Luc Vigneault

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L'amitié, le meilleur des antidépresseurs ? C'est désormais prouvé, nous explique cette psychologue

PAR ANA MORALES  29 NOVEMBRE 2021

Les liens sociaux nous aideraient à garder notre santé mentale au beau fixe.

Pour la psychologue Verónica Valderrama Hernández, les relations sociales nous apportent le bien-être en général “tant que nous nous sentons écoutés, compris, soutenus et respectés”. “Cela nous permet de nous sentir bien sur le plan émotionnel”, souligne-t-elle. Par conséquent, prendre le temps de réfléchir non seulement à notre comportement et à la relation que nous entretenons avec nous-mêmes, mais aussi avec les autres, reste un moyen de trouver les personnes qui nous aident à atteindre le bien-être émotionnel


Laboratoire d’immersion forensique (LIF)

 Logo de Pinel

Le Laboratoire d’immersion forensique (LIF) de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel a pour objectif d’effectuer de la recherche fondamentale et appliquée en psychiatrie légale en ayant recours à l’intégration des technologies de la réalité virtuelle et des sciences du comportement.

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La thérapie assistée par psychédéliques du point de vue du corps médical

Par Michael Balavoine publié le 29 novembre 2021

SUISSE

Le service d’addictologie des Hôpitaux universitaires de Genève propose une psychothérapie assistée par psychédéliques pour certains patients. Les accompagnants Sylvie Alaux et Daniel Pires Martins nous expliquent la mise en place et le déroulement d'une telle séance qui reste toujours ancrée dans le cadre d'une thérapie plus large. 

thérapie LSD

Sylvie Alaux est infirmière spécialisée en addictologie et le docteur Daniel Pires Martins, psychiatre et psychothérapeute jungien: «L’expérience vécue doit rester celle de la personne elle-même.»

 
GABRIEL MONNET

Depuis deux ans, le service d’addictologie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) propose aux patients qui répondent aux critères la possibilité d’une psychothérapie assistée par psychédéliques. Une équipe composée de deux psychiatres et de trois infirmiers encadre la démarche. Comment se passent ces séances? Deux thérapeutes, le docteur Daniel Pires Martins, psychiatre et psychothérapeute jungien, médecin chef de clinique aux HUG, et Sylvie Alaux, infirmière spécialisée en addictologie, détaillent le processus et parlent de leur rôle.

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« Grande Sécu » : « Les citoyens, malades ou bien portants, auraient gros à gagner avec cette réforme »

Publié le 26 novembre 2021

TRIBUNE

L’économiste Brigitte Dormont plaide, dans une tribune au « Monde », en faveur d’une réforme qui vise un égal accès aux soins pour tous, sans siphonner le revenu des citoyens.

Tribune. Haro sur la « grande Sécu » ! « Folie financière »« médecine à deux vitesses »« étatisation du système de soins », clament ceux qui s’y opposent. Ainsi va le débat politique dans notre pays : une idée est introduite dans l’arène pré-électorale sous la forme d’un rapport demandé au Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance-maladie (HCAAM), dont l’analyse rejoint celle émise depuis longtemps par de nombreux experts, tous critiques d’un système unique au monde par sa complexité.

Mais ceux qui ont des choses à perdre dans une telle réforme ouvrent le feu aussitôt : les assureurs surtout, les mutuelles, compagnies d’assurances et institutions de prévoyance, et les alliés de ces organismes. Le ministre de la santé, Olivier Véran, recule déjà, enterrant ainsi une possibilité de gain de pouvoir d’achat, d’équité et de meilleur accès aux soins. Continuons donc à surjouer la solidarité là où il y a surtout des intérêts économiques bien compris.

Torah, Bible, Coran : les interpréter, est-ce les trahir ?

Par Alice d'Oléon  Publié le 28 novembre 2021

Les textes sacrés des trois monothéismes sont-ils écrits une fois pour toutes et leurs grilles de lecture sont-elles définitivement verrouillées ? Les traduire, est-ce les trahir ? Quelle latitude entre la lettre et l’esprit ? Eléments de réponse.
Un exemplaire de la Bible ouverte sur un autel, en Haute-Savoie.

« Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. » Ces mots par lesquels débute l’Evangile de Jean peuvent sembler sans équivoque. Et pourtant. Comment comprendre les textes sacrés ? Quelle latitude les croyants peuvent-ils observer par rapport aux Saintes Ecritures ?

La question se pose aussi bien pour l’islam que pour le christianisme ou le judaïsme. Mais pas dans les mêmes termes, puisque si le texte est sacré dans les trois religions, il ne l’est pas de la même manière.

Dans l’islam, le Coran est considéré comme dicté par Dieu à son prophète, il est donc perçu comme étant la parole même de Dieu (Kalam Allah), et donc incréé et immuable. Il est vénéré tel quel, et sa récitation est au cœur du rite musulman. « Par conséquent, personne n’est, en principe, capable de le comprendre pleinement, ni de l’interpréter, ni même de le traduire dans une autre langue humaine », résume Mathieu Guidère, agrégé d’arabe, islamologue et auteur d’Au commencement était le Coran (Gallimard, « Folio », 2018). L’auteur choisit d’ailleurs de placer la première phrase de l’Evangile de Jean en exergue de son ouvrage, afin de « rappeler que le Coran place le Verbe divin au-dessus de tout autre chose puisque le premier verset et la première sourate révélés du Coran sont placés sous le signe du Verbe divin (Iqra !, “Lis !”) ».

15.000 personnes suivies pour des pathologies psychiatriques dans la nature ?

 

15000-personnes-suivies-pathologies-psychiatriques

Depuis juin 2020, près de 15.000 personnes jusqu’alors suivies pour des pathologies psychiatriques se retrouveraient livrées à elles-mêmes. Face à ce constat, le conseiller départemental du canton de Mamoudzou 2, Elyassir Manroufou, a proposé une motion en assemblée plénière ce mardi 30 novembre sur la prise en charge et la nécessité de déclarer la santé mentale comme priorité départementale. En réponse, Ben Issa Ousseni a commandé une expertise dans le but d’apporter une réponse concrète à ce sujet dans les plus brefs délais.

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Voyage au pays de l’art brut

Publié le 28/11/2021

Voyage au pays de l’art brut

Le spectacle , né de l’art brut de Jean Bordes, a été interprété par la comédienne Clémence et le musicien Sébastien. © Droits réservés

Avec le spectacle Matiloun , interprété à l’Espace Ventadour, une soixantaine de spectateurs a pu découvrir l’histoire de Jean Bordes, un artiste hors normes.

La commune et le Centre culturel et sportif ont accueilli, à l’Espace Ventadour, le spectacle jeune public Matiloun , proposé par la scène nationale Brive-Tulle L’Empreinte et mis en scène par Clémence Prévault.

Une soixantaine de spectateurs a ainsi découvert l’histoire de Jean Bordes, un artiste hors normes. Après un bref passage par l’espace d’exposition, les enfants ont rejoint l’espace scénique, à la rencontre de Clémence et Sébastien.

Singularité et poésie étaient au rendez-vous

Là, ils ont voyagé, pendant 45 minutes, dans les traces de Jean Bordes, le Pec (le fou) de Matiloun. Venu d’Ariège, il avait pour habitude de récupérer de vieux objets dans des dépotoirs et de les transformer en jouets ou en petits véhicules, qu’il déposait dans la forêt, suspendus aux arbres ou le long des chemins.

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dimanche 28 novembre 2021

Mieux vaut être un jihadiste arabe qu’un enfant français pour quitter les prisons kurdes de Syrie

 






Des jihadistes arabes ont pu acheter aux forces kurdes leur libération des centres où, dans le nord-est de la Syrie, sont encore retenus quelque deux cents enfants français.

Distribution d’aide en août 2021 dans le camp d’Al-Hol (Laurence Geai pour « Le Monde »)

Cinq pédopsychiatres, dont Boris Cyrulnik et Marcel Rufo, viennent de lancer dans « Le Monde » un cri d’alarme sur le sort des quelque deux cents enfants français toujours retenus dans les camps relevant des forces kurdes, au nord-est de la Syrie. Rappelant qu’un millier d’enfants d’autres nationalités ont été rapatriés ces deux dernières années, ils considèrent ces enfants, majoritairement âgés de moins de six ans, comme des « victimes de guerre que la France abandonne en connaissance de cause ». En juin dernier, une centaine de personnalités de tous bords appelait déjà « la France à rapatrier immédiatement ces enfants français qui, victimes de traitements inhumains et dégradants, périssent à petit feu dans les camps syriens ».  Cette situation est d’autant plus troublante que des jihadistes confirmés sont, en revanche, en mesure de négocier leur libération auprès des forces kurdes.

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Et si l'inconscient souvent variait ?

LE 27/11/2021

À retrouver dans l'émission

LA SUITE DANS LES IDÉES

par Sylvain Bourmeau

Et si à force d’avoir constamment tourné le dos à l’histoire, la psychanalyse avait fini par ne faire plus partie que de l’histoire ? Avec Hervé Mazurel et Mathilde Girard

Joseph Kosuth, Zero & Not (1989) et Franz West, Liège (1989) au Sigmund Freud Museum de Vienne, 1989.
Joseph Kosuth, Zero & Not (1989) et Franz West, Liège (1989) au Sigmund Freud Museum de Vienne, 1989. Crédits :  Margherita Spiluttini (DR)

Et si à force d’avoir constamment tourné le dos à l’histoire, la psychanalyse avait fini par ne faire plus partie que de l’histoire ? 

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Lacan parle (intégrale) - Conférence de Louvain 1972 - Françoise Wolff







Voici l'un des deux seuls films qui existent sur Jacques Lacan (l'autre étant "Télévision".). Il s'agit de la conférence qu'il a donnée à l'Université catholigue de Louvain le 13 octobre 1972.

Le film s'intitule "Lacan parle", il est fait par Françoise Wolff. La conférence n'est pas complète car si je ne me trompe pas François Wolff n'avait pas assez de bande pour tout filmer.

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Structure en psychopathologie - Définition et Explications

Introduction

L'histoire de l'utilisation du terme structure en psychopathologierelève de plusieurs champs, la neurologie et les idées de Jackson, de la philosophie où elle est définie comme un ensemble formé de caractères solidaires , tels que chacun d'eux tient ses caractères de sa relation avec les autres et du fait qu'ils appartient à l'ensemble.. On retrouve encore l'utilisation du terme structure en linguistique (Troubetzkoy, Jacobson, etc.) et en psychologie avec Claparède (1916) et Paul Guillaume sans parler de l'usagebien connu de l'antropologie de Claude Lévi-Strauss. C'est aussi dans la théorie de la gestalt qu'on trouve une application du terme en psychologie.

[...] 

En psychiatrie et psychanalyse

Le même Sigmund Freud décrira la structure de l'appareil psychique dans son livre sur les rêves. Il utilise encore le mot dans d'autres ouvrages mais sa plus célèbre utilisation est celle de l'appareil psychique dont les lignes de fragilités se brisent telles celle des lignes invisibles d'un cristal selon sa nature (structure) minéralogique et non en fonction de la nature du choc (1933).

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Journée autour de la folie et de la psychiatrie aux Tanneries

 


Samedi 4 décembre, les Tanneries consacrerons un après-midi et une soirée à des discussions autour de la folie et de la psychiatrie. Au coeur de ces discussions la présentation de Barge par son autrice.

Samedi 4 décembre à l’espace autogéré des Tanneries (37 rue des ateliers, Dijon) :

15-18h : Discussions autour de la folie et de la psychiatrie en présence de personnes concerné.x.es, associations, collectifs, professionnel.le.s. De quoi on parle, comment ça nous concerne...

18h : présentation et lecture d’extraits du livre Barge par son autrice Héloïse K.

« Pendant son Erasmus à Berlin, Héloïse entre dans une crise mystico-politique qui lui fait perdre pied avec le réel. Des allers-retours en hôpital psychiatrique à son deuil définitif du délire, elle raconte son long parcours pour s’émanciper de l’accompagnement médical. Ce livre mêle des extraits de ses carnets de l’époque, des lettres de proches et des pages de son dossier de soin, pour donner un panorama aussi complet que possible de ces périodes troublées. »

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Plus d’informations sur le projet : https://barge.blog


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Florine, 13 ans de psychiatrie










Florine a vécu 13 ans de psychiatrie au travers de 30 hospitalisations. Aujourd'hui elle fait du bénévolat pour aider au changement dans la prise en charge des patients.

Mobilisation des sages-femmes : «La philosophie du “soignant un jour, soignant toujours”, c’est terminé»

par Alicia Girardeau  publié le 27 novembre 2021

Les professionnelles du secteur mènent un week-end d’action pour obtenir des revalorisations salariales et davantage de considération pour leur métier, qu’elles estiment ne plus pouvoir exercer dans de bonnes conditions.

Depuis le début de l’année, les sages-femmes se mobilisent pour dénoncer leurs conditions de travail, le manque d’effectifs et de reconnaissance de leur profession. Alors que le gouvernement prévoit une revalorisation globale de leur rémunération de 500 euros net par mois et la mise en place d’une sixième année d’étude, certains syndicats appellent de nouveau à trois jours d’action entre ce vendredi et dimanche. Camille Dumortier, présidente de l’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (majoritaire), explique à Libération les revendications du mouvement.