blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 21 septembre 2021

La télémédecine pour diagnostiquer une démence à distance

Serge Cannasse   17 sept. 2021

Plusieurs millions de personnes atteintes de démence ne sont jamais diagnostiquées. La cause principale en est l’inaccessibilité aux structures de soins, soit pour une raison d’éloignement géographique, soit par difficulté à se déplacer. Le diagnostic est en effet posé à l’issue d’un entretien en face-à-face avec un clinicien. La pandémie de COVID-19 a montré l’intérêt de la télémédecine pour remplacer ce dernier dans un certain nombre de situations cliniques. Des chercheurs de la fondation Cochrane ont cherché à l’évaluer pour le diagnostic de démence ou de déficience cognitive légère (DCL).

Pour cela, ils ont fait une revue de la bibliographie sur le sujet jusqu’en novembre 2020. Premier constat : la littérature est maigre. Ils n’ont en effet trouvé que trois études de bonne qualité, portant sur 136 patients au total. Deux ne portaient que sur le diagnostic de démence (dont une étude n’ayant inclus que seize personnes), la troisième sur ce diagnostic et celui de DCL. Les évaluations étaient réalisées par deux spécialistes pour chaque patient, à un mois d’intervalle, une en face-à-face, l’autre en télémédecine.

Lire la suite ...


Maladie professionnelle : l’employeur doit rembourser tous les frais réels exposés

 Par Sophie Soykurt  Publié le 22/09/2021

Après que l’imputabilité au service de sa maladie a été reconnue, une DGS a demandé à sa collectivité de prendre en charge le coût de la psychothérapie qu’elle suit en raison de cette maladie professionnelle, ainsi que les frais de déplacement pour se rendre à ces séances.

Les juges ont considéré qu’en cas de maladie imputable au service, les dispositions de l’article 57 de la loi du 26 janvier 1984 comportent, pour les fonctionnaires territoriaux, le droit au remboursement non seulement des honoraires médicaux mais encore de l’ensemble des frais réels exposés par eux et directement entraînés par une maladie reconnue imputable au service. Les intéressés doivent alors justifier tant du montant de ces frais que du caractère d’utilité directe que ceux-ci ont présenté pour parer aux conséquences de la maladie dont ils souffrent.

Lire la suite ...


La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté alerte sur l’état des commissariats

Par   Publié le 21 septembre 2021

Outre un problème de suroccupation et de saleté des cellules, les recommandations publiées au « Journal officiel », mardi 21 septembre, pointent le non-respect des règles sanitaires en cette période de Covid-19.

La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté a dénoncé, le 21 septembre, l’insalubrité de certains commissariats.

« Totale indignité »« saleté innommable » et « odeurs pestilentielles »« accumulation de crasse » : le bilan dressé par Dominique Simonnot, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), publié mardi 21 septembre, ne révolutionne pas davantage l’exercice qu’il ne donne de motifs d’espoir dans l’amélioration des conditions de garde à vue au sein des commissariats français, du moins ceux visités entre les mois de novembre 2020 et juillet 2021.

Essais cliniques : l’éthique face à l’innovation

Par   Publié le 20 septembre 2021

La pandémie a mis en lumière l’importance de la bonne évaluation des médicaments et des vaccins. Ces essais sont aujourd’hui largement conduits, pour le compte de l’industrie pharmaceutique, par des sociétés spécialisées. Un marché mondial ayant pour matière première le corps des sujets volontaires, ce qui pose de nombreuses questions éthiques.

Au centre d’études cliniques de l’université Cayetano Heredia, à Lima, au Pérou, en septembre 2020.

Depuis l’apparition de la pandémie de Covid-19, au début de l’année 2020, pas moins de 22 vaccins contre le Covid-19 ont été commercialisés, d’après les données rassemblées par l’Unicef, et 103 sont en cours d’évaluation clinique ou réglementaire, mobilisant des centaines de milliers de volontaires à travers le monde.

«Perte de sens», «absurdité» : les agents des services publics donnent le las

par Anaïs Moran   publié le 20 septembre 2021

Plus de 4 500 fonctionnaires ont répondu à l’enquête du collectif «Nos services publics» sur la perte de sens dans leur travail. Parmi eux, 80% pointent un sentiment «d’absurdité» récurrent dans l’exercice de leur mission.

Les agents de la fonction publique ont-ils encore foi en leur mission ? Se sentent-ils toujours utiles à l’intérêt général, ou les coupes budgétaires et autres logiques d’austérité dictées dans leur administration ont-elles eu raison de leur engagement ? Dans une enquête dévoilée ce lundi, le tout jeune collectif «Nos services publics» – né il y a cinq mois, à l’initiative d’agents et cadres de la fonction publique animés par la volonté de décrypter de l’intérieur les dysfonctionnements de l’Etat – a voulu prendre la température du phénomène de «perte de sens» vécu par leurs pairs. Entre le 30 avril et le 31 août, plus de 4 500 fonctionnaires, de tous âges, de tous statuts et de tous secteurs d’activité, ont répondu à l’appel de leur questionnaire et 3 000 d’entre eux ont même pris le temps de témoigner anonymement de leurs expériences professionnelles.

Quand l’AP-HP active sa Synapse

Paris, le samedi 25 janvier 2021 – Il y a plus de dix ans, l’Etude nationale sur les événements indésirables graves associés aux soins estimait que les erreurs médicamenteuses étaient à l’origine d’un évènement indésirable grave (EIG) toutes les 2000 journées d’hospitalisation, soit 50 000 EIG par an. Certains estiment par ailleurs que 10 à 12 000 décès seraient liés chaque année aux erreurs médicamenteuses et responsables de 10 % des hospitalisations du sujet âgé. Or, une grande partie de ces erreurs est sans conteste évitable.

Détection automatique des interactions et des contre-indications

Pour faire face au défi de la iatrogénie médicamenteuse rendue de plus en plus prégnante avec l’élargissement constant de la pharmacopée, le vieillissement de la population et la multiplication des patients âgés polymédiqués, la conciliation pharmaceutique est une démarche essentielle. Elle est cependant chronophage et souffre d’un déficit d’effectifs. Aussi, des outils numériques ont été déployés pour faciliter le travail des praticiens.

C’est pourquoi l’entreprise Synapse a été fondée à la fin de l’année 2017. Elle propose un outil intelligent de détection des « anomalies » éventuelles, dont l’objectif est de constamment s’adapter non seulement aux données les plus récentes de la littérature scientifique et des agences de régulation, mais aussi aux pratiques personnelles de chaque professionnel de santé.


La commission des usagers, pour réparer la confiance avec les patients

  20 septembre 2021

Des infirmiers ou cadres de santé infirmiers siègent dans les commission des usagers (CDU) qui existent dans tous les établissements de santé, publics et privés. Ils participent à l'élaboration des réponses aux patients ou aux familles qui formulent des plaintes, parfois jusqu'à la médiation. Cet article a été publié dans le n°40 d'ActuSoins Magazine (mars 2021). 

Les infirmiers qui siègent au sein des commissions des usagers n'y arrivent pas par hasard. Mathilde, cadre de santé dans un CHU, faisait partie de la Commission des relations avec les usagers et la qualité de la prise en charge (Cruq-PC) avant que ces commissions ne soient transformées en CDU en 2016 (voir encadré).


Hôpital de Montauban : les syndicats dénoncent la souffrance au travail

Publié le 

La situation est critique au centre hospitalier de Montauban. C’est le triste constat que dressent les syndicats après avoir organisé une assemblée intersyndicale lundi après-midi.

60 postes d’infirmier dont 23 en psychiatrie et 28 postes d’aides-soignants ne sont pas pourvus. À cela s’ajoutent, les 16 agents suspendus depuis le 15 septembre parce qu’ils ne sont pas vaccinés sur un effectif total de 1 800. « Plus personne ne veut venir travailler ici, on ne trouve pas ! On n’est plus attractif. » regrette Christelle Quris, représentante du personnel CGT.


Tribunal de Cherbourg : quand il y a psy… et psy

 


Publié le 25 septembre 2021

Une psycho-praticienne à la retraite a comparu devant le tribunal de Cherbourg pour avoir utiliser pendant des années l'appellation de psychothérapeute à mauvais escient.

(©Illustration / Adobe Stock)
Désormais en retraite, la psycho-praticienne a été relaxée par le tribunal de Cherbourg. (©Illustration / Adobe Stock)
Une ancienne psycho-praticienne du Nord-Cotentin s’est retrouvée lundi 20 septembre 2021 devant le tribunal de Cherbourg. Son tort : avoir utilisé la dénomination de psychothérapeute entre 2013 et 2020, un terme réglementé par une loi datant de 2010, et qu’elle n’avait pas le droit d’utiliser, selon l’ARS.
Lire la suite ...

Carlo Rovelli, rockstar de la mécanique quantique

Par Stéphanie Chayet  Publié le 25 septembre 2021

Carlo Rovelli dans son appartement de Vérone, en Italie, en juillet.

Un jour, Carlo Rovelli reçut un message qui commençait par ces mots : « Hello Carlo, je suis un peintre de 80 ans… » Le peintre de 80 ans s’appelait David Hockney, il avait aimé un texte du physicien publié par le New York Times et l’invitait à passer une journée dans son atelier pour bavarder. Quelque temps plus tard, sur les hauteurs de Los Angeles, l’artiste anglais montrait au scientifique italien la grande toile pleine de distorsions sur laquelle il travaillait.

Ménopause : qu'est-ce que le "brouillard cérébral" et pourquoi vous pourriez commencer à le ressentir bien avant vos dernières règles ?

  • Laura Plitt   BBC News Mundo  22 septembre 2021

Image conceptuelle : Une femme avec un nuage à la place de la tête, tenant un parapluie.la

CRÉDIT PHOTO, GETTY IMAGES

Au début de sa carrière, Gayatri Devi, neurologue à l'hôpital Lenox Hill de New York, et ses collègues ont commis une erreur : ils ont diagnostiqué à tort la maladie d'Alzheimer chez une femme en pleine ménopause. 

Après une série de traitements (dont le dernier comprenait des œstrogènes), la santé de la femme s'est améliorée et le Dr Devi a réalisé que les symptômes initiaux - perte de mémoire, désorientation - avaient en fait une cause très différente. 

Le déclin cognitif de la patiente était directement lié à une chute radicale de son taux d'œstrogènes, l'hormone qui commence à fluctuer dans les années précédant la ménopause (qui, cliniquement, commence un an après les dernières règles d'une femme).

Lire la suite ...


lundi 20 septembre 2021

Dans le Colorado, au Ranch de la licorne obstinée, les éleveuses d’alpagas sont transgenres et anarchistes


 


Par Corine Lesnes Publié le 20 septembre 2021



Le nom, d’abord. Tenacious Unicorn Ranch, le Ranch de la licorne obstinée… « C’est moi qui l’ai trouvé », s’excuse Penny Logue. Un mélange de souvenirs d’enfance, d’histoires fantastiques, dont les Chronicles of Amber, de Roger Zelazny, la quête mythique d’un père disparu au pays des licornes. « Un symbole très queer », ajoute-t-elle. Quant à l’adjectif, c’est simple : « Dès le début, je savais qu’on aurait besoin de ténacité. »

«Pas dormir», de Marie Darrieussecq : «Notre insomnie augmente à mesure qu’on déboise»

par Frédérique Roussel   publié le 17 septembre 2021 
Entretien autour de la dernière œuvre de la romancière, qui n’a plus retrouvé le sommeil depuis sa maternité.

Marie Darrieussecq a perdu le sommeil il y a vingt ans et a tout tenté pour le retrouver. Dans un livre sur l’insomnie entre essai et autobiographie parcouru de photographies, elle convoque de nombreux écrivains qui ont souffert de ne pas fermer l’œil la nuit («la littérature de 4 heures»), égrène les recettes qu’elle a expérimentées en vain pour dormir, parle sans détour de son accoutumance à l’alcool ou aux somnifères. Elle tire de son cas personnel le sentiment d’un syndrome global, lié à la connexion permanente et à l’anthropocène. Elle répondait à nos questions au Livre sur la Place le week-end dernier à Nancy.

Aucun de vos livres ne parle d’insomnie, pourquoi lui en dédier un ?

Je ne m’étais jamais posé la question. J’avais un peu honte de mal dormir sans vraie raison. J’ai vu autour de moi des gens s’épuiser au travail – il y a de nombreux marins pêcheurs dans ma famille – qui dormaient bien. Mon problème d’insomnie me paraissait un peu luxueux, un peu souffreteux. Je me suis intéressée aux auteurs insomniaques, Kafka, Proust, Duras… J’ai réfléchi à ce que je pouvais en dire à ma façon.

MACSF Psychologues: pratiques pro

Quel que soit l'âge ou le degré d'autonomie du patient, le domaine d'activité du psychologue, tous ont un point commun :...


Alain Braconnier : "Les pères ont une influence décisive sur l'avenir de leurs filles, sur la femme qu’elles deviendront"

 •  Le 19 septembre 2021

Pour le médecin psychanalyste, une éducation réussie passe par la réciprocité de l'amour et le partage des émotions entre parents et enfants. Mais attention à garder la bonne distance dans les relations père-fille.

Madame Figaro. - Avec votre nouvel ouvrage, Les parents aussi ont besoin d'amour (1), vous poursuivez votre enquête sur les relations à l'intérieur de la cellule familiale. Pensez-vous que l'amour des enfants pour leurs parents peut se décréter ?
Alain Braconnier. - Se décréter, non. Se préparer, oui, en essayant d'instaurer la réciprocité des sentiments entre enfants et parents. Nous, parents, devons toute notre vie dire à nos enfants que nous les aimons et oser leur demander qu'ils sachent en retour nous le dire.

Comment définissez-vous cet amour ?
Il y a des amours narcissiques et égoïstes qui consistent à aimer chez l'enfant ce qui vous ressemble. Ce n'est pas celui dont je parle, mais bien plutôt un amour généreux, qui apporte à l'autre ce dont il a besoin. Cet amour qui est un partage des sentiments et des émotions doit être complété et non supplanté par une intelligence rationnelle dans l'éducation. La réciprocité de l'amour, celui des parents pour les enfants mais aussi celui des enfants pour les parents, reste, pour moi, la meilleure façon d'envisager une éducation réussie. Les difficultés relèvent souvent de cette absence de réciprocité.

Lire la suite ...


Au sein des familles, « le Covid, c’est pire que la religion et la politique »

Par   Publié le 18 septembre 2021

Masques, vaccin, passe sanitaire… Au fil de la crise sanitaire, les familles se sont parfois déchirées autour de ces questions. Un véritable casus belli qui a même mené certains couples à la rupture.

Pour Sophie, « la goutte d’eau de trop », ce fut d’apprendre que son compagnon avait défilé, cet été, dans le cortège anti-passe sanitaire emmené par le parti Les Patriotes de Florian Philippot. « Manifester avec l’extrême droite, ça, je n’ai pas supporté, c’est contraire à toutes nos valeurs, ça dépassait mes limites », explique-t-elle, en arrêt de travail longue durée depuis un accident. Après quatre ans de vie commune, c’est la rupture. Il fait ses valises et quitte la petite maison où il vivait avec cette dernière et ses deux enfants, nés d’une précédente union. La conséquence, selon Sophie (dont le prénom a été modifié), « d’un virage antivax et complotiste » qui a eu pour effet collatéral de faire exploser leur cellule familiale recomposée.

VIDEO. Immersion calédonienne : plongée au cœur de l’unité fermée du CHS, en charge des patients dangereux pour eux-mêmes ou pour les autres


 



  

NC la 1ère a passé une journée dans le centre hospitalier spécialisé Albert-Bousquet, à Nouville, pour suivre ces patients sous haute surveillance et leurs soignants.

C’est un lieu hors du temps. Les barbelés donnent à l’endroit des airs de prison. Mais les blouses blanches omniprésentes rappellent que nous sommes bien dans un centre hospitalier. Ce patient schizophrène est l'un des 20 malades de l’unité fermée du centre hospitalier spécialisé Albert-Bousquet, à Nouville. Il est hospitalisé pour la douzième fois, sans consentement, sur décision médicale. Dans cette unité, des patients souffrant de graves troubles psychiatriques : schizophrénie, bipolarité, psychoses, bouffées délirantes… Dangereux pour eux-mêmes ou pour les autres, ils sont surveillés 24 heures sur 24 par une trentaine de soignants. 

Lire la suite et voir la vidéo ...


Musée d'art et d'histoire de la Psychiatrie

Musée de la SERHEP

    La SERHEP, Société d'Études et de Recherches Historiques en Psychiatrie, ouvre au public tous les vendredis, toute l'année, les portes de son petit Musée d'art et d'histoire de la Psychiatrie où l'on peut admirer entre autres les folles machines à guérir les esprits tourmentés. La SERHEP construit et déconstruit inlassablement l'histoire de la psychiatrie, des sociétés et des idées, stimule et produit travaux et créations. Elle guide et reçoit les visiteurs de Ville-Evrard et a fait des Journées du Patrimoinel'occasion d'un rendez-vous toujours réussi entre la psychiatrie, ses historiens et le public.

    Histoire de la SERHEP

    La Société d’études et de recherches en psychiatrie a été fondée en 1986 par des membres du personnel de l’établissement public de santé et a bénéficié du soutien de ce dernier. André Roumieux dont le livre Je travaille dans un asile d’aliénés avait connu un succès retentissant dans les années 1970 fût un des inspirateurs de sa création. Constituée sur un projet de préservation des archives et du patrimoine de Ville-Evrard, elle s’est ainsi d’emblée spécialisée dans l’histoire des "oubliettes", selon le mot du psychiatre "désaliéniste" Lucien Bonnafé, en déclarant l’histoire de la psychiatrie, inséparable de celle des sociétés humaines et surtout, en refusant son effacement. La SERHEP œuvre ainsi à construire et transmettre l’histoire de lieux et de gens qui passent pour ne pas en avoir.

    Lire la suite ...


    Championnat du Monde 2022

     

    Le Championnat du monde est une compétition de compétences qui reconnaît et récompense les assembleurs de puzzle les plus qualifiés au monde. Il est parrainé par la World Puzzle Federation, une organisation composée d'associations et de fans de plus de 50 pays.

    Le tournoi se compose de 3 catégories indépendantes: équipes, couples et individuels, la même personne pouvant participer à une ou plusieurs catégories. Les tests ont lieu au Millennium Dome de Valladolid (Espagne). Le Championnat 2022 durera 4 jours (du jeudi 23 au dimanche 26 juin) et est divisé en deux phases: les qualifications et la finale.

    Les 3 premiers classés dans chaque catégorie distribueront 4.000 euros de prix, en plus de nombreux puzzles de la marque sponsor.

    Lire la suite ...


    Des garderies finlandaises ont fait jouer les enfants dans des petites forêts, et cela a changé leur système immunitaire

    Repéré par Nina Hossein — 

    Les résultats de cette étude s'inscrivent dans le sens de l'«hypothèse de la biodiversité».

    L'étude a comparé les microbiotes d'enfants issus de garderies urbaines dont les cours étaient plus ou moins végétalisées. | Annie Spratt via Unsplash
    L'étude a comparé les microbiotes d'enfants issus de garderies urbaines dont les cours étaient plus ou moins végétalisées. | Annie Spratt via Unsplash

    Jouer dans la verdure et le sous-bois d'une mini-forêt pendant un mois seulement peut suffire à changer le système immunitaire d'un enfant, selon une expérience menée en Finlande. Dans le cadre d'une étude, les microbiotes de fillettes et de garçonnets âgés de 3 à 5 ans issus de milieux urbains ont été analysés. Les enfants étaient répartis en deux groupes: ceux qui jouaient dans des cours en béton et gravier et ceux qui jouaient dans des espaces verts aménagés avec de l'herbe et des sous-bois forestiers.

    Lire la suite ...


    Irresponsabilité pénale : la difficile frontière entre le territoire du mal et celui de la folie

    Par Anne Chemin  Publié le 17 septembre 2021




    Ouvrir les champs du possible avec FESTUM en roannais

    Logo CH Roanne

    Avec le spectacle Festum , la compagnie Les Transformateurs vous invite à partager l'intimité de quatre monstres bien particuliers.

    Volatou, Moa, Blank et Hexe vivent au fond de la grande forêt et aujourd'hui, ils vous donnent rendez-vous place Georges Clemenceau pour faire un bout de chemin en musique avec eux dans les rues du quartier.

    Ils vous raconteront des histoires et vous présenteront leurs amis les Clac-becs et les Kamis.

    La déambulation se terminera par un bal où vous pourrez, enfin, laisser danser le petit monstre qui dort à l'intérieur de chacun d'entre vous…

     

    Pour plus d'informations :

    s.cattp@ch-roanne.fr

    Résumé du projet :

    Le centre d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) adulte du pôle de psychiatrie du centre hospitalier de Roanne est une structure d’accueil et de soins ambulatoires pour des patients stabilisés. Il propose une offre de proximité avec des actions d’accueil, de soutien et de thérapeutiques groupales.


    Les soignants, soutenus par le pôle, la direction ont construit un projet Culture et Santé intitulé "Ouvrir les champs du possible avec FESTUM en roannais". Le projet s'inscrit dans la continuité de l'offre de soins du service. Il va favoriser la participation active des usagers, des patients. Ce projet est réalisé dans le cadre du programme régional Culture et Santé.

     

    Lire la suite ...