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lundi 9 août 2021

Algérie, 1958 : quand la France poussait des musulmanes à retirer leur voile malgré elles – Flashback #4

Par  et   Publié le 8 août 2021


VIDÉO Des archives rarement diffusées mettent en lumière une page de la guerre d’Algérie, quand des spécialistes de la guerre psychologique poussaient des femmes à rejeter leur voile pour manifester leur attachement à la France.









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Sourire gêné, regard baissé. Une femme musulmane applaudit tandis que deux Européennes lui ôtent son haïk, le grand vêtement traditionnel blanc qui recouvre beaucoup de femmes au Maghreb. Le spectacle semble ravir la foule, massée au pied du Gouvernement général d’Alger, ce 18 mai 1958. Une mise en scène signée des militaires français du cinquième bureau, des spécialistes de la guerre psychologique.

Derrière cette photo, rare, il en existe une poignée d’autres et au moins un film de propagande, archivés en France mais peu connus. Des documents auxquels la série vidéo « Flashback » du Monde a pu accéder. Ils illustrent comment l’armée et les autorités coloniales françaises ont fait de l’« émancipation » des femmes musulmanes un instrument pour tenter de rester au pouvoir dans les années 1950. Un épisode vidéo réalisé avec des historiens français et américains spécialistes de la guerre d’Algérie.

Quatrième épisode de la série « Flashback » du « Monde », qui remonte le temps pour raconter les histoires extraordinaires qui se cachent derrière les photos qui ont changé le monde.


Pourquoi et comment faut-il mettre notre cerveau au repos pendant les vacances ?

Anne-Gaëlle Moulun   12 août 2021

En ce début août, de nombreux professionnels de santé profitent d’un repos bien mérité après une année chargée. Mais si les congés sont souvent synonymes de déconnexion, de coupure avec la routine habituelle, peut-on réellement mettre son cerveau en vacances, le couper de ses préoccupations habituelles liées au travail ou aux petits tracas du quotidien ? Francis Eustache, neuropsychologue, Président du Conseil Scientifique de l'Observatoire B2V des Mémoires nous aide à comprendre le fonctionnement de notre cerveau lorsqu'il est au repos et nous décrypte le phénomène du réseau du mode par défaut.

Medscape : Peut-on vraiment mettre son cerveau sur « off » ?

Pr Francis Eustache : Sans tâche particulière à accomplir, notre cerveau consomme tout de même 20% des ressources énergétiques de notre organisme, soit seulement 5% de moins que s'il devait effectuer du calcul mental ou se concentrer sur un problème. Les aires cérébrales qui s'activent alors ensemble constituent le « réseau du mode par défaut ». Elles sont principalement situées sur la ligne médiane, à la face interne des deux hémisphères cérébraux. On ne peut donc pas réellement parler de repos pour le cerveau. Celui-ci est toujours en activité même s'il n'a pas de tâche à accomplir.

Medscape : Qu’est-ce que le « réseau du mode par défaut » pour le cerveau ?

Pr Francis Eustache : Le « mode par défaut » est un réseau cérébral, comme d’autres réseaux du cerveau (langage, mémoire). Il a été décrit relativement récemment, à la fin des années 1990, début 2000, dans le cadre d’études en imagerie cérébrale. Il a été mis en évidence dans un premier temps avec la Tomographie par Émission de Positons (TEP) puis avec l'Imagerie par Résonance Magnétique fonctionnelle (IRMf) au repos.

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Stress, anxiété, troubles alimentaires... Les meilleures applications d’autohypnose

Article publié le  

Comment fonctionnent les applications d'autohynose ?

L’hypnothérapeute nous invite à nous concentrer sur sa voix, notre respiration, un point fixe ou des images, pour nous aider à entrer en hypnose. Dans cet état de relaxation profonde, intermédiaire entre l’éveil et le sommeil, le cerveau est plus réceptif aux suggestions. Cela permet de travailler sur des objectifs à atteindre : se détendre, résister au grignotage, prendre confiance en soi... "

"Il est plus simple d’apprendre l’autohypnose avec une application, qu’avec des exercices dans un livre, car on se laisse porter par la voix pour lâcher prise", indique la Dr Héloïse Delavenne, psychiatre et hypnothérapeute. 

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Quand le groupe BTS rappelle l’importance de la santé mentale

Clémentine Rebillat  Publié le 05/08/2021

Les 7 membres du groupe BTS s'expriment régulièrement sur la santé mentale.
Les 7 membres du groupe BTS s'expriment régulièrement sur la santé mentale. Lee Jin-man/AP/SIPA

De plus en plus de personnalités évoquent publiquement l’importance de la santé mentale, délaissée depuis bien trop longtemps au profit de la santé physique. Depuis des années, le groupe de musique BTS s’efforce de souligner la nécessité d’en prendre soin. 

Les Jeux Olympiques de Tokyo ont mis en évidence un débat que la société peine encore à avoir : l’importance de prendre soin de sa santé mentale. C’est la championne de gymnastique Simone Biles, icône de la discipline à seulement 24 ans, qui a relancé cette question souvent négligée, et particulièrement dans le sport de haut niveau. L’Américaine a déclaré forfait pour la majorité de ses épreuves, expliquant à quel point elle n’était plus capable de gérer la pression mise sur elle et décidant que sa forme psychologique avait autant d’importance que sa santé physique. «Nous ne sommes pas juste des personnes qui font le spectacle, mais avant tout des humains. Ma santé mentale et physique est plus important que n’importe quelle médaille», a-t-elle lancé après avoir remporté une magnifique médaille de bronze à la poutre.

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Le contexte pandémique et son impact sur la santé mentale

04/08/2021

Stress, dépression, anxiété, voire troubles émotionnels et mentaux... peuvent être aussi les conséquences causées par la pandémie de COVID-19. Elles touchent toutes les populations et tous les groupes d’âge, en particulier les personnes qui ont dû subir un isolement médical ou un traitement anti COVID-19.

Des personnes viennent en consultation dans l'Hôpital psychiatrique de Hanoï.
Photo : HNM/CVN


"Le virus affecte non seulement les lésions pulmonaires, respiratoires mais aussi le cerveau. De nombreuses études réalisées aux États-Unis montrent que 30% des patients ont des séquelles mentales après avoir guéri", analyse le professeur, Dr Cao Tiên Duc, chef du service de psychiatrie à l’hôpital militaire 103. Le médecin ajoute que la plupart de cas évoluent vers une maladie chronique entraînant une diminution de la qualité de vie. 

Outre l’impact sur les patients infectés par le COVID-19, le contexte sanitaire et social cause en lui-même des difficultés psychologiques à de nombreuses personnes.

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La contraception masculine existe, même si elle est mal connue

Lou Roméo   Publié le : 

La pilule pour homme n'est pas prête de voir le jour, mais des méthodes de contraception masculine existent déjà.

Slip chauffant, injection, vasectomie, préservatif… Sécurité pour certains, pas vers l’égalité homme/femme pour d’autres, quelles sont les méthodes disponibles en matière de contraception masculine ?

Où en est la pilule pour hommes ? Si selon les Nations unies, 63% des femmes âgées de 15 à 49 ans dans le monde utilisaient un moyen de contraception « moderne » en 2012, le contrôle de la fertilité masculine demeure un angle mort des recherches et des pratiques. Hors du préservatif, point de salut !

Mais si la « capote » reste le seul moyen de se prémunir contre les infections sexuellement transmissibles, elle peut se rompre ou être oubliée. La pratique courante du retrait, elle aussi, manque de fiabilité, puisqu'elle diminue par quatre le risque de grossesse, et que celui-ci reste donc élevé.

D’où l’intérêt de la contraception masculine : mal connue, souvent peu accessible, elle est une solution de plus à la portée des couples. En 2002, déjà, une étude menée sur quatre continents affirmait que 55% des hommes interrogés étaient intéressés par une méthode contraceptive autre que le préservatif et le retrait. 

Mais pour comprendre les différentes méthodes de contraception masculine disponibles, il faut d’abord s’attarder un peu sur le fonctionnement de l’appareil génital masculin lui-même. La production des spermatozoïdes, la spermatogénèse, s’étale sur un cycle d’environ trois mois. Son bon déroulement dépend de plusieurs facteurs, dont un apport normal en testostérone et une température testiculaire n’excédant pas les 35° celsius.

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dimanche 8 août 2021

« Ça fait du bien de voir des vieux heureux » : au bal musette des quais de Seine

Par    Publié le 7 août 2021



Leur été s’étire d’avril à novembre. Depuis qu’ils ont trouvé leur repaire en extérieur au bon goût de souvenir des bals populaires, et où les visages sont démasqués depuis peu, il n’est pas question pour eux d’en perdre une miette. Ils ne disent plus leur âge, ou bien en sont fiers. Demain demeure la seule inconnue de ces anciens épris de liberté, bien décidés à embrasser le plaisir pur de chaque jour qui point.

La danse au corps, chaque samedi et chaque dimanche de leur été à rallonge, peu importe la couleur du ciel, ils se retrouvent sur le quai Saint-Bernard, en bord de Seine, dans le 5e arrondissement de Paris. Ici, ils disent habiter une vie qui leur correspond à nouveau, le temps d’une parenthèse enchantée. De 14 heures à 20 heures, côté jardin Tino-Rossi, au creux du petit amphithéâtre en plein air de l’alvéole dite « numéro 3 ».

Sur le sol de dalles lisses qui rend les pivots, pirouettes et flottements faciles comme sur un parquet de dancing, a lieu le bal populaire Rock et Musette, qui rassemble à nouveau et en moyenne 200 danseurs et spectateurs. Ce sont des vieux qui dansent la résistance.

Au bal populaire Rock et Musette, à Paris, le 31 juillet 2021.

Vous connaissez celle du Français qui crie partout qu'il vit dans une dictature ?



Et si la France qui se vaccine manifestait à son tour?

Laurent Sagalovitsch — 

[BLOG You Will Never Hate Alone] À force de parler de la France qui manifeste, on en oublie celle –archi-majoritaire– qui se vaccine. Il serait peut-être temps de changer le rapport de force, non ?

La France silencieuse doit cesser de l'être. | Nicolas Alejendro via Flickr
La France silencieuse doit cesser de l'être. | Nicolas Alejendro via Flickr

À n'en pas douter, demain sera un jour de forte mobilisation contre le pass sanitaire. Défilera dans les rues de l'Hexagone tout un agglomérat d'individus venus crier leur colère de vivre dans un pays devenu à leurs yeux une dictature. Chacun ira de sa petite musique. Quand certains réaffirmeront leur refus de la vaccination, d'autres s'alerteront de la confiscation des libertés publiques. Les plus effrontés invoqueront l'esprit de résistance et n'hésiteront pas à se réclamer de l'héritage de Jean Moulin, en appelant à la grandeur de la France et à son sursaut. On y chantera, on y dansera, on y cassera et à la fin de la journée, on rentrera chez soi, assurés cette fois d'avoir marqué les esprits.

Mais quelle que soit la manière prise pour les comptabiliser, ces joyeux drilles représenteront un infime pourcentage de la population française. Une goutte d'eau si scrupuleusement étudiée par les chaînes d'information en continu qu'elle donnera l'impression à certains de ressembler à une averse torrentielle. Ce sera un succès manifeste des anti-vaccins et autres aimables complotistes dont on nous montrera en boucle les images, ces avenues et places noires de monde où, entre pancartes révolutionnaires et drapeaux tricolores, on distinguera ici et là quelques douteuses références à la Seconde Guerre mondiale.

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Covid-19 : fin juillet, 87% des personnes admises en soins critiques n'étaient pas vaccinées

franceinfo avec AFP Publié 

Les personnes non vaccinées contre le Covid-19 représentaient la grande majorité des personnes hospitalisées en France entre le 19 et le 25 juillet, selon une étude du service statistique des ministères sociaux.

Des soignants des services de réanimation de l'Institut Mutualiste Montsouris à Paris, le 6 mai 2021. (ANTONIN BURAT / HANS LUCAS / AFP)

"Fin juillet, les entrées en soins critiques sont 12 fois moindres au sein de la population complètement vaccinée que parmi les personnes non vaccinées" contre le Covid-19, selon une étude publiée (PDF) vendredi 6 août par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees). Entre le 19 et le 25 juillet, 87% des personnes admises en soins critiques et 83% de celles entrées en hospitalisation conventionnelle étaient non vaccinées, détaille la Drees.

Une précédente étude, menée entre le 31 mai et le 11 juillet, rapportait que les personnes non vaccinées représentaient 85% des hospitalisations en soins critiques et 84% des entrées en hospitalisation dite "conventionnelle".

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COVID-19 : impact sur la sexualité

Nathalie Barrès  11 févr. 2021

Comment imaginer que la pandémie actuelle et les mesures sanitaires associées n’aient pas d’impact sur la sexualité des populations ? Le rapprochement physique, le contact et l’échange de quelques fluides font partie intégrante de la sexualité. Hormis pour les membres d’une même famille, une distanciation d’un mètre, voire deux et un siège vide sur deux est devenue une règle élémentaire dans les quelques lieux de rassemblement qui ne sont pas encore fermés … Difficile de croire que cela n’a pas de conséquence sur la vie sociale, amoureuse et sexuelle des jeunes et moins jeunes.

Un nouveau paradigme ?

Un article publié dans la revue Sexologies fait un bilan de la recherche dans le domaine de la sexualité en lien avec l’épidémie de COVID-19. Il positionne ce que nous vivons comme la « construction et la préfiguration d’un nouveau paradigme des sexualités » où pour certains les relations sexuelles virtuelles côtoient, entretiennent, ou présupposent les relations sexuelles de la vie réelle…

Une recherche foisonnante

Dans l’abondance des publications médicales qui ont accompagné la pandémie de COVID-19, de nombreux travaux se sont intéressés aux conséquences délétères de la situation sur les modes de vie, la santé physique, psychique et sexuelle. Au 8 décembre 2020, une recherche Medline sur la base des mots clés « COVID & Sexual » faisait apparaître 381 publications ; au 4 janvier 2021, la même recherche indiquait 86.170 publications...

Les mesures sanitaires et politiques liées à la pandémie impactent l’ensemble de la vie relationnelle et sexuelle bien plus que le virus.

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Conquêtes amoureuses et sexuelles : une histoire d’âge, de genre… vraiment ?

Nathalie Barrès    18 mai 2021

Dans bon nombre de pays à travers le monde, les relations romantiques et sexuelles ont profondément changé au cours des dernières décennies. Mariages tardifs, dissolutions des relations, divorces, veuvages… sont autant de situations qui favorisent le retour de célibataires de tous âges sur le « marché des rencontres amoureuses et sexuelles ».

Une étude américaine s’est intéressée à l’évolution des rencontres et de la sexualité d’adultes célibataires au cours de la vie. Sur l’ensemble de la cohorte (5.864 répondants âgés de 21 à 94 ans), 29% avaient une vingtaine d’années, 19% une trentaine, 14% une quarantaine, 15% une cinquantaine, 15% une soixantaine, environ 8% au-delà.

Parmi les répondants, environ 19% ont indiqué sortir fréquemment, 18% rechercher activement une relation et 47% souhaitaient se marier un jour. La moyenne des partenaires sexuels par individus au cours de la vie était de 10,41, et 45% des participants rapportaient avoir eu des rapports sexuels au moins une fois au cours de l’année écoulée. 

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Jusqu’à quel point les réseaux sociaux lèvent-ils le tabou sur les troubles psychiques ?

Pauline Porro. 6 août 2021







Dans les œuvres de fiction, par la voix de célébrités… Jamais les troubles psychiques n’ont été si présents dans l’espace public. Une visibilité croissante à laquelle la crise du Covid n’est pas étrangère. En la matière, les réseaux sociaux font office d’espace d’expression privilégié. Comment comprendre cette libération de la parole numérique ? Mais surtout, jusqu’à quel point contribue-t-elle réellement à une véritable prise de conscience sociétale plus globale ?

Kristine souffre de bipolarité de type 2 et de cyclothymie. Lors d’une période de down particulièrement sévère, elle décide de créer la page cyclothymia.and.bipolar sur Instagram. « Je me suis dit qu’il devait bien exister quelque part quelqu’un qui souffrait de bipolarité et qui comme moi ne parvenait pas à être comprise par ses proches. »

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« J’ai toujours été très seule avec ma maladie, confie Julie, 30 ans, qui souffre de dépression chronique et d’anorexie mentale restrictive. À la suite de mon diagnostic en 2019, cela ne s’est pas arrangé ».

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Afin de sortir de sa solitude, l’idée d’ouvrir un compte Instagram fait son chemin. Elle lance alors la page depression_sans_pression. Lorsqu’elle est hospitalisée sous contrainte en raison d’un risque suicidaire, elle témoigne au jour le jour de son quotidien sur son compte, où 1188 abonnés la suivent.

Je voulais mettre en évidence la gravité de la maladie mais également faire connaître le traitement hospitalier qui nous est réservé. Je voulais témoigner et surtout dénoncer
Sandra*, détentrice du compte Instagram Noire et Bipolaire 
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C’est suite à une hospitalisation particulièrement traumatique que Sandra* suit les conseils d’une amie psychologue et crée sa page Instagram, Noire et Bipolaire. « Je voulais mettre en évidence la gravité de la maladie mais également faire connaître le traitement hospitalier qui nous est réservé. Je voulais témoigner et surtout dénoncer. »

23,7 millions de publications pour #depression

À l’instar du compte de Kristine, Sandra ou de Julie, les réseaux sociaux regorgent de pages consacrées aux troubles psychiques et psychiatriques. En la matière, Instagram fait figure d’application reine. Sur le réseau social, le hashtag #depression culmine à 23,7 millions de publications, celui de #bipolar à 2,5 millions. À tel point que les psychologues en font désormais un lieu d’information et de promotion incontournable.

 Ouvrir un espace d’échanges ou d’aide mutuelle, volonté de dédramatiser et de démystifier la maladie, dénoncer les failles du système médical… les raisons qui poussent à médiatiser sa maladie mentale sur les réseaux sociaux sont multiples. En agissant comme révélateur, les réseaux sociaux participent d’un phénomène de libération de la parole autour de la maladie mentale, notamment pour le jeune public.

« La crise a suscité des idées suicidaires. Auparavant, on se battait pour lever les tabous liés à la santé mentale, mais désormais, on se permet beaucoup plus de communiquer sur ses maux, et de les assumer publiquement. »
Vanessa Lalo, psychologue clinicienne, spécialiste des pratiques numériques

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samedi 7 août 2021

L’inconscient de la comtesse

LE 06/08/2021

À retrouver dans l'émission

GRANDE TRAVERSÉE : LA COMTESSE DE SÉGUR, SANS MANIÈRE

par Matthieu Garrigou-Lagrange

Où il est question des nombreuses analyses psychanalytiques qui ont été faites de son œuvre.

Illustration issue des Petites Filles modèles, Hachette, coll. « Bibliothèque rose illustrée », Paris, 1927,  chap. VIII : Les hérissons.
Illustration issue des Petites Filles modèles, Hachette, coll. « Bibliothèque rose illustrée », Paris, 1927, chap. VIII : Les hérissons. Crédits :  Charles Constant Albert Nicolas, vicomte d'Arnoux

Pourquoi tant de fouets ? D’où vient que la comtesse de Ségur décrit régulièrement des scènes de violence sur enfants ? Que signifient ces fantasmes et comment les expliquer ? Nos invités (dont certains sont psychanalystes) se penchent sur les livres de la comtesse de Ségur pour en analyser des passages au regard de la science de Freud.

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