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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 5 juillet 2021

Harcèlement : une étude longitudinale menée à la faculté de médecine Paris Descartes

Par Caroline Guignot   21 avr. 2021  

Messages principaux

  • Selon une étude menée à la faculté de Médecine de Paris Descartes, le harcèlement sexuel et moral est rapporté par respectivement 7% et 15% des étudiants qui ont répondu à l’enquête en 2017. Le suivi dans le temps montre que ces chiffres ont progressivement diminué, notamment dans l’année suivant la mise en place de cet observatoire.
  • Il n’y avait pas de différences de sexe concernant la fréquence du harcèlement moral, mais les femmes avaient une probabilité plus élevée de déclarer avoir été victimes de harcèlement sexuel. Le taux de déclaration de harcèlement sexuel était plus fréquent en chirurgie et celui du harcèlement moral était plus élevé en chirurgie et pédiatrie.


« La ménagerie du Jardin des plantes de Paris peut-elle se vanter de posséder Nénette, une femelle orang-outan enfermée depuis 1972 ? »

Publié le 4 juillet 2021

TRIBUNE

Collectif

En contradiction avec la mission du Muséum national d’histoire naturelle, propriétaire du zoo, des centaines d’animaux y vivent en captivité depuis des décennies, alerte, dans une tribune au « Monde », un collectif de scientifiques.

La femelle orang-outan Nénette, mascotte de la ménagerie du Jardin des Plantes, ici à Paris en 2019, est en captivité depuis 1972.

Tribune. Le 16 juin 2021, cela a fait quarante-neuf ans que Nénette est à la ménagerie du Jardin des plantes de Paris. Propriété du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), et vieille de deux cent vingt-sept ans, la ménagerie connut diverses activités : le commerce des animaux exotiques, leur exhibition en vue de divertir le public, leur acclimatation à des fins zootechniques, les travaux de classification et d’anatomie comparée par la dissection des morts.

« Entendre des voix n’est pas, en soi, un signe de maladie mentale »

 Philippe GAMBERT  Publié le 






L’association des Entendeurs de voix, sera présente ce samedi au festival Printemps des fragilités, parc des chantiers sur l’île de Nantes.

Depuis 2017 à Nantes, un réseau d’Entendeurs de voix s’est monté sur le modèle de ce qui existe ailleurs, en France et en Europe. Quelques-uns de ses membres seront présents ce samedi 3 juillet au festival du Printemps des fragilités qui va réunir 70 associations au parc des chantiers de l’île de Nantes.

Les entendeurs de voix se réunissent dans un groupe de parole régulièrement. « Ça démarre souvent par la météo, l’humeur de chacun », explique Océane, 20 ans. Le phénomène est apparu comme pour Aurélie, 33 ans, ou Nicolas, 44 ans, durant ses études. « J’avais 18 ans. J’étais en première année de droit. J’avais enchaîné avec un boulot pendant mes vacances. Il y avait un trop-plein de choses peut-être », témoigne-t-elle. S’en sont suivis plusieurs mois d’hospitalisation. Aujourd’hui elle bosse en Ehpad. « Ça se passe bien », dit-elle timidement. Elle a pour objectif de reprendre ses études, mais en psychologie.


Au procès Troadec, la mécanique délirante de « deux blessés de la vie » expliquée par les psychiatres

Par   Publié le 3 juillet 2021

Les docteurs qui ont examiné Hubert Caouissin et Lydie Troadec ont décrit devant la cour d’assises le « délire à deux » et « la contagion mentale » qui ont mené à un quadruple meurtre.

Lors du procès Troadec, à la cour d’assises de Loire-Atlantique, à Nantes, le 22 juin 2021.

Deux lanternes s’approchent dans le noir. Elles viennent nous cueillir là où l’effroi des jours qui ont précédé nous avait recroquevillés. On s’accroche à la lueur, on se déplie, on se laisse guider. Vendredi 2 juillet, devant la cour d’assises de Loire-Atlantique, à Nantes, les psychiatres Daniel Zagury et Michel Dubec, commis pour expertiser les deux accusés Hubert Caouissin et Lydie Troadec, sont venus éclairer les gouffres.

Protection de l'enfance Accès au logement : les anciens enfants placés sans toit ni loi

par Margaret Oheneba   publié le 5 juillet 2021 

Alors que 36% des SDF âgés entre 18 et 25 ans sont passés par la protection de l’enfance, la question de l’accès au logement des anciens mineurs placés est l’une des grands oubliées du projet de loi porté par le secrétaire d’Etat Adrien Taquet.
Devant le 'Utopia 003 Squat' à Montpellier, dans le sud de la France le 18 février 2021. - Le collectif Luttopia est actif à Montpellier depuis 2014 et a ouvert trois squats sous forme de "réquisitions citoyennes et humanistes" de bâtiments publics pour loger les sans-abri, les familles et les migrants. Leur travail social a été reconnu fin 2020, à travers une convention avec la ville et la préfecture pour reloger les personnes qui se trouvent en Utopia 003 et ainsi éviter qu'elles ne soient expulsées une deuxième fois. Luttopia est désormais une association qui se verra attribuer un autre emplacement par la commune à compter du 31 mars 2021.

Pas un mot. Les professionnels qui s’occupent de l’aide sociale à l’enfance (ASE) et les associations qui accompagnent les anciens enfants placés attendaient avec impatience que la question des sorties sèches, ou mises à la rue, des jeunes à leur majorité soient abordées. Mais le projet de loi porté par le secrétaire d’Etat en charge de la Protection de l’enfance, Adrien Taquet, et qui sera discuté à l’Assemblée nationale à partir de mardi, n’apporte pas le début d’une solution sur l’accès au logement des jeunes passés par la protection de l’enfance.

Ce que les psychanalystes apportent aux personnes autistes

Loin des polémiques et des clichés, des psychanalystes issus de différents courants présentent pour la première fois la diversité des apports de la psychanalyse aux personnes autistes aujourd’hui en France.

Cet ouvrage à destination d’un public élargi a été écrit par des psychanalystes appartenant à différents courants doctrinaux, par des parents et une personne autiste. 

Ce que les psychanalystes apportent aux personnes autistes

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Reportage «Comme la fin d’une vie», le deuil des personnes âgées au temps du Covid-19

par Cassandre Leray et photos Lucile Boiron  publié le 4 juillet 2021 

Depuis le début de la crise sanitaire, les personnes âgées ont été les plus tuées par le coronavirus. Elles laissent derrière elles des conjoints endeuillés. «Libération» a rencontré Monique, Carmen et Marie, qui témoignent du deuil impossible de leur mari en pleine pandémie.

Il neigeait le jour où elle a appris la nouvelle. Le 24 janvier, entre les murs de sa maison, Monique se met à hurler. «Comme une folle» elle s’époumone, sans que personne ne l’entende. L’hôpital vient de l’appeler pour lui annoncer que son mari est mort du Covid-19. «J’ai eu l’impression qu’on me transperçait», souffle cette femme de 72 ans. Il est 7 heures du matin. Elle sort de chez elle à toute vitesse, mais les routes de son village normand sont recouvertes de glace. Alors elle attend. Seule. Elle sait qu’elle ne pourra plus prendre la main de Marcel, comme elle le faisait à chaque fois qu’elle se promenait avec lui.

Allocataires AAH : une santé physique et mentale en berne?

Par  

Les bénéficiaires de minima sociaux moins épanouis et en moins bonne santé ? Les résultats d'une étude de la Drees sont éloquents. En première ligne, ceux qui perçoivent l'AAH présentent un risque accru de maladie chronique et de dépression.

46 % des bénéficiaires de l'Allocation adulte handicapé (AAH) déclarent être en mauvais état de santé, révèle une enquête menée par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), en 2018, auprès de 12 180 bénéficiaires de minima sociaux (BMS). Ces chiffres ne tiennent donc pas compte de la crise sanitaire actuelle. Plus globalement, près d'un tiers des 3,7 millions de BMS font le même constat, contre 8 % de l'ensemble de la population âgée de 16 ans ou plus. Leur santé mentale se trouve également dégradée, avec un risque accru de dépression (26 % contre 10 %) et des adultes moins souvent « épanouis » (31 % contre 46 %). L'âge, le fait de se sentir seul et d'avoir peu de ressources, notamment, sont considérés comme des facteurs aggravants. Près d'un bénéficiaire du RSA sur six et un bénéficiaire de l'ASS sur cinq sont ainsi considérés «  en situation de handicap »", au sens où ils sont fortement limités à cause d'un problème de santé, contre 6 % de l'ensemble de la population de 16 à 64 ans.


Et si vous profitiez des vacances pour vous ennuyer ?


 



Propos recueillis par Aurélie Godefroy  Publié le 4 juillet 2021

Devenu synonyme d’oisiveté, l’ennui est souvent mal perçu dans un monde qui survalorise la productivité. Traçant l’histoire de cet état émotionnel, le psychiatre Patrick Lemoine invite à s’y plonger pour renouer avec la créativité.

« C’est lorsque l’homme a commencé à maîtriser le temps, le feu, qu’il a commencé à s’ennuyer. Cela n’aurait pas été le cas s’il était resté chasseur cueilleur. »

L’ennui a mauvaise presse dans nos sociétés hyperactives, qui valorisent la productivité. Pourtant, depuis l’Antiquité, nombre de penseurs ont au contraire cherché à valoriser et à sublimer cet état d’âme complexe.

Évreux. Schizophrénie : une formation pour accompagner les proches

Par Camille Langlade  Publié le 

Le Nouvel Hôpital de Navarre d'Évreux (Eure) propose pour la 7e année consécutive ProFamille, un programme qui vise à soutenir les proches de personnes souffrant de schizophrénie.


Le programme ProFamille au Nouvel hôpital de Navarre à Evreux (Eure) permet aux proches de gérer leur stress, de communiquer ; de mieux faire face à la maladie.
Le programme ProFamille au Nouvel hôpital de Navarre à Évreux (Eure) permet aux proches de gérer leur stress, de communiquer ; de mieux faire face à la maladie. (©NHN)
Une maladie qui fait peur, à tort. Pour la 7e année consécutive, le Nouvel Hôpital de Navarre (NHN) d’Évreux (Eure), en partenariat avec l’Unafam (Union des Familles et Amis de Personnes Malades et/ou Handicapés Psychiques) Eure, lance ProFamille, un programme pour aider les proches de personnes souffrant de schizophrénie ou de troubles schizo-affectifs.
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paranoïa

Méfiance excessive, attitude suspicieuse, théories du complot … la paranoïa est d’abord un trait de caractère. Mais lorsque cette défiance prend l’allure d’un délire, il faut évoquer un trouble psychotique sur le thème de la persécution. Explications.

Définition

L’étymologie du terme paranoïa provient du grec ancien : para qui signifie à la fois « en parallèle » et « contre » et nous qui veut dire « intelligence », « esprit ». La paranoïa est donc un raisonnement parallèle, ou un positionnement contre l’intelligence… En d’autres termes : la paranoïa est une idée fausse, une analyse erronée.

« La paranoïa se définit par une méfiance excessive, irrationnelle ou infondée à l’égard de l’Autre. Elle est la croyance profonde que l’Autre souhaite nous nuire », selon le docteur Clara Brichant Petitjean, psychiatre libérale à Paris. « Avant d’être une pathologie, la paranoïa est un trait de personnalité. Mais il est vrai que le thème de la persécution est récurrent dans certains troubles psychiatriques », ajoute la psychiatre. 

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Chronique «Médiatiques» Rions avec Zemmour et Hanouna (ou pas)

par Daniel Schneidermannpublié le 5 juillet 2021 

Si les deux personnages s’activent sur les plateaux et peuvent recouvrir, de leur gestuelle à leur élocution, une dimension comique, dans la perspective de la présidentielle, le rire s’étrangle. 

Prenons Zemmour et Hanouna, les deux cariatides de l’empire audiovisuel de Bolloré, celui qu’il est en train d’exporter sur Europe 1, en éjectant par conteneurs entiers tout ce qui pouvait ressembler à de la finesse de pensée ou d’expression. Considérés hors contexte, dans leur seule gestuelle, dans leur seule élocution, les deux personnages ont une indéniable dimension comique. Le petit malingre de cinquante kilos tout habillé déplorant la disparition de la masculinité, le clown se rêvant en phare de la campagne, voire en candidat à la présidentielle, après avoir conquis sa popularité en fourrant des nouilles dans le slip d’un de ses chroniqueurs : oui, ce sont les continuateurs potentiels du Chaplin du Dictateur. Dans la perspective de la présidentielle, Hanouna prépare un livre, dans lequel l’ancien directeur de l’Express Christophe Barbier va l’accoucher sur sa perception de la société française – scoop révélé par Bruno Jeudy, rédacteur en chef (placardisé) de Paris-Match. On a envie, on se sent autorisé à rire.

Tchao patron.Démissions à gogo aux États-Unis

Un nombre record d’Américains ont quitté volontairement leur emploi au mois de mai. Révolution dans le monde du travail ou simple ajustement post-pandémie ?

Démissionner est à la mode, ces temps-ci. En mai, un record a été battu aux États-Unis avec un nombre de départs volontaires jamais atteint depuis le début du siècle, selon le Bureau des statistiques du travail : sur cent personnes employées dans les hôtels, les restaurants, les bars et les magasins, cinq ont renoncé à leur emploi.

MGEN : Psychiatrie et gériatrie réunies sur un site colossal de 120 000 m²

La Gazette de Saint-Quentin-en-Yvelines

Par Alexis Cimolino -  6 juillet 2021

Depuis fin 2020, un pôle Ehpad et un pôle médecine SSR sont venus s’ajouter aux pôles santé mentale. Ces activités sont séparées en plusieurs bâtiments mais réunies au sein d’un seul institut, inauguré le 2 juillet.

Un bâtiment Ehpad (à droite), un consacré au pôle médecine/SSR, ainsi qu’un plateau technique, sont venus, fin 2020, s’ajouter aux deux édifices de santé mentale, qui accueillaient déjà des patients depuis deux ans et demi.

Un site de 120 000 m², dont 35 000 de bâtiments, réunissant psychiatrie et gériatrie. C’est sur cette surface que se dresse l’institut MGEN de La Verrière, situé près du château, à la frontière entre La Verrière et Le Mesnil-Saint-Denis. Il réunit deux bâtiments de psychiatrie adulte et de psychiatrie adolescent/jeune adulte qui accueillaient déjà des patients depuis février 2019. Deux bâtiments auxquels sont venus s’ajouter deux autres abritant l’un un Ehpad, et l’autre un pôle médecine/Soins de suite réadaptation (SSR), et où les patients et résidents ont emménagé en fin d’année, alors qu’ils devaient initialement investir les lieux début 2020, le Covid ayant bien sûr repoussé cette échéance, mais aussi l’inauguration de l’institut, qui a finalement eu lieu le 2 juillet.

460 lits au total 

Au total, ce sont 460 lits que compte l’institut, dont 160 pour le nouvel Ehpad – (parmi lesquels se trouvent 70 lits liés à l’aide sociale, permettant à des personnes aux ressources limitées de bénéficier d’une prise en charge de tout ou partie des frais d’hébergement, Ndlr). Un Ehpad, ainsi que le pôle médecine/SSR, auparavant situé au centre Denis Forestier, près de la gare de La Verrière et aujourd’hui en pleine déconstruction pour laisser place au futur quartier gare-Bécannes.

« En octobre et novembre 2020, on a quand même procédé au déménagement en pleine crise Covid, donc c’est une prouesse pour tout le monde », a indiqué, en marge de l’inauguration, Isabelle Étienne, la directrice de l’institut MGEN, qui a succédé en octobre dernier au Dr Fabien Juan. On retrouve, au sein de l’Ehpad, quatre unités : unité de vie protégée, notamment pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ; unité de polydépendance lourde, pour les patients souffrant d’obésité morbide ; unité accueil de jour, de nuit, répit temporel ; et enfin unité d’hébergement renforcé « pour des résidents sur des pathologies Alzheimer avec des caractéristiques associées du type auto-agressivité ou agressivité vers l’externe », fait savoir Gilles Quessard, directeur adjoint de l’institut, ajoutant que ces quatre unités disposent chacune de 14 lits. Dans les deux étages au-dessus, on trouve un « Ehpad standard avec 65 lits sur chaque étage », complète-t-il.

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Vu des États-Unis Affaire Mila : un tournant pour la loi contre le cyberharcèlement ?

THE CHRISTIAN SCIENCE MONITOR (BOSTON)








En France, l’affaire Mila est devenue le symbole du drame caché qu’est le cyberharcèlement, écrit le Christian Science Monitor. Alors que treize personnes sont jugées pour “harcèlement” et “menaces de mort” contre la jeune fille, le verdict pourrait donner une idée de l’efficacité de la nouvelle législation en la matière.

Comment la France punit-elle le cyberharcèlement, ce fléau caché des réseaux sociaux ? Le procès contre treize personnes dans l’affaire Mila, dont le verdict sera prononcé le 7 juillet pourrait nous donner une idée, rapporte l’hebdomadaire américain The Christian Science Monitor.

Psychologie WebTV - Bande annonce

Rédigé le Dimanche 27 Juin 2021

Psychologie WebTV, créée par le Réseau National des psychologues, est une chaîne d’information nationale à destination des psychologues, du citoyen et des pouvoirs publics.
Notre objectif, c’est de démocratiser le savoir et rendre accessible le débat autour de la psychologie et de son exercice, objet de demande sociale.

Pour ce faire, nous offrons du contenu gratuit, sans paywall, et sommes indépendants à 100 %. 


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Attention, ça fait peur ... (note du blogger)


Pourquoi s'allonge-t-on sur un divan quand on va chez le psy ?


 




Vous n'êtes jamais allé chez le psy pourtant vous avez cette image en tête du divan et d'un patient allongé ? C'est normal. Le canapé est le symbol du psychanalyste. Mais savez-vous pourquoi ? On y répond.

Le divan est identifié à la psychanalyse. Quand on parle d'une séance chez le psychanalyste, vous avez cette image en tête :le patient est allongé sur le divan, le psychanalyste lui, est assis derrière. Ainsi le psychanalyste n'est pas sur le champ de vision du patient. La position allongée permet une introspection, l'intellectualisation, le lâcher-prise. Ce qui rend le passage à l'inconscient possible. Chez certains psys, ils n'allongent pas leurs patients mais le divan sert de simple décor. Si certaines thérapies se font en face-à-face, savez-vous pourquoi s'allonge-t-on chez le psy ? Un indice, Sigmund Freud y est pour quelque chose.

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Mucoviscidose: deux médicaments vont enfin permettre aux malades de respirer

Thomas Abgrall — 

À compter du 6 juillet, des milliers de malades qui souffrent de cette pathologie bénéficieront de deux nouveaux traitements. L'un d'eux, le Kaftrio, pourrait considérablement allonger leur espérance de vie.

La mucoviscidose est causée par le dysfonctionnement d'une protéine du gène CFTR qui empêche le mucus de se fluidifier, laissant les poumons sans protection contre les infections. | Patrick J. Lynch via Wikimedia
La mucoviscidose est causée par le dysfonctionnement d'une protéine du gène CFTR qui empêche le mucus de se fluidifier, laissant les poumons sans protection contre les infections. | Patrick J. Lynch via Wikimedia

David ne pourra jamais oublier cet instant. Un retour à la vie. Une libération fulgurante. Ce week-end de février 2021, ce père de famille de 38 ans quitte le centre de réhabilitation de Giens (Var) où, armé de sa bouteille d'oxygène, il a passé la semaine afin de rejoindre sa femme et sa fille à l'occasion des deux jours de repos hebdomadaire. Au volant de sa voiture, il est subitement pris d'une grosse quinte de toux. Le mucus qui englue ses poumons commence comme par magie à se détacher des parois de ses bronches. Ses alvéoles grésillent et s'agitent de partout. Il expulse en quelques heures ce qu'il n'est jamais parvenu à sortir de ses poumons depuis des semaines. Il respire.

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En Islande, la semaine de quatre jours de travail est un immense succès

Repéré par Emma Barrier — 

Repéré sur The Independent

Le plus grand test jamais réalisé au monde révèle les effets vertueux d'une semaine de travail réduite.

2.500 employés islandais ont participé à l'expérience pendant quatre ans. | Andrea Piacquadio via Pexels
2.500 employés islandais ont participé à l'expérience pendant quatre ans. | Andrea Piacquadio via Pexels

Le plus grand essai de réduction de temps de travail a été réalisé en Islande et se trouve être un grand succès, à tel point que l'idée devrait être reprise au Royaume-Uni, indique The Independent.

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