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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 6 avril 2021

« Il n’y a plus de ressort, les gens sont tétanisés, comme en léthargie » : à Bondy, un engrenage de catastrophes sociales et humaines

Par    Publié le 6 avril 2021




Liliane Bienvenu aura 80 ans dans six mois. Cette femme pétille d’énergie, d’amour et d’humour, et on lui donnerait facilement dix années de moins. Quand on lui fait la remarque, elle mime des pas de danse devant ses copines, hilares. C’est une militante du quotidien, pilier de l’amicale des locataires de l’immeuble des Potagers, un bâtiment de neuf étages dressé le long d’une des autoroutes qui polluent la ville de Bondy, au cœur de la Seine-Saint-Denis. Habituellement, elle distribue des kilos de crêpes à qui veut. Aujourd’hui, on vient volontiers l’embrasser ou la serrer dans ses bras, tant pis pour le virus.

Les Potagers, ce sont environ 200 logements, 600 habitants officiellement, sans doute davantage si on en croit les noms ajoutés sur les boîtes à lettres. Les conséquences sociales de la crise ? « Terrible, terrible, terrible. » Liliane a beau être une optimiste indécrottable, elle secoue la tête. Il y a les impayés qui s’accumulent à l’office HLM. Il y a surtout les élèves qui décrochent des apprentissages, et rien ne l’inquiète plus. « Habituellement, on a une trentaine d’enfants tous les soirs pour le soutien scolaire. Avec le virus, on ne peut plus s’en occuper. On les tenait, on les aidait, on ne les tient plus. C’est un drame. »

Liliane Bienvenu, à Bondy (Seine-Saint-Denis), le 1er avril 2021. A bientôt 80 ans, elle s'occupe de « l'amicale des locataires » de l'immeuble des Potagers.

Aux petits soins L’ostéopathie, effet placebo ou équilibre retrouvé?

par Eric Favereau  publié le 6 avril 2021

A la mi-mars, une étude française menée sur dix ans tenait à montrer que cette médecine non-conventionnelle, chronique n’avait qu’un effet placebo contre le mal de dos. Et si les choses étaient plus compliquées que cela ?

D’ordinaire, lorsque l’on rend compte d’une étude scientifique mettant en cause une médecine alternative pleuvent aussitôt des réactions outrées, voire bien souvent agressives. Révélant une fois encore les tensions entre ces deux mondes thérapeutiques, l’allopathique et le parallèle. Mi-mars, la grande revue médicale Jama (The Journal of the American Medical Association) a fait état d’une étude française étalée sur près de dix ans étudiant les effets de l’ostéopathie dans le traitement des lombalgies chroniques : il apparaissait que «cette discipline, très prisée en France n’était pas plus efficace qu’un placebo.» Et l’on s’attendait donc à des courriers indignés.

lundi 5 avril 2021

Témoignages Désinformation médicale : l’autre pandémie




par Anaïs Moran  publié le 4 avril 2021  

Depuis un an, le Covid-19 a plongé la communauté médicale dans une tourmente interne, en raison des prises de parole contestées de professionnels remettant en cause la gravité de la maladie ou évoquant des remèdes miracles.

Noémie Zucman, réanimatrice à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes (Hauts-de-Seine), aurait bien du mal à les hiérarchiser. Dans cette crise sanitaire, les fake news médicales n’ont fait que pulluler. Par où commencer ? «Je pense que l’affaire de l’hydroxychloroquine est le point de départ de tout. Cela a aussitôt créé une scission dans la communauté médicale, entre ceux qui voulaient tempérer et ceux qui ont plongé la tête dedans, retrace-t-elle. Toutes les autres désinformations ont reposé sur ce principe. Je ne sais pas laquelle est la plus nuisible. Mais ce dont je suis sûre, c’est que je me demande tous les jours comment on a pu en arriver là.»

La pandémie de Covid-19 a créé un « baby flop » mondial

Par  et   Publié le 4 avril 2021

La crise sanitaire s’est traduite par une baisse de la natalité en 2020, parfois inégalée depuis la seconde guerre mondiale, en particulier dans les pays développés.

Une vendeuse se repose dans un magasin de jouets à Erevan, le 28 mai 2020.

L’impact du Covid-19 sur la population mondiale ne se mesure pas seulement à l’augmentation vertigineuse du nombre de décès, il se lit aussi dans une natalité en berne. La crainte d’un avenir incertain et les répercussions économiques immédiates de l’actuelle crise sanitaire ont freiné le désir d’enfant, le renvoyant au minimum à plus tard. La première vague de contagion et les confinements du printemps 2020 dessinent donc comme un accroc dans les courbes démographiques neuf mois plus tard, à partir de novembre. Il ne s’agit, cependant, que d’estimations ou de premières statistiques : dans ce domaine aussi, le monde est bien inégalement desservi.

Au total, les berceaux manquants devraient se compter par millions, de façon inégale. La pandémie n’a pas frappé avec la même violence partout, ni suscité les mêmes angoisses dans les pays qui se sont détournés des maternités et dans ceux où elle a interrompu l’accès à la contraception.

Enquête Sur TikTok, les mamies et papis cartonnent

par Elise Viniacourt  publié le 4 avril 2021

Qui a dit qu’il y avait une limite d’âge pour devenir influenceur ? Mis en scène par leurs petits-enfants, sur TikTok, les grands-parents cartonnent. Des comptes à plusieurs millions de vues qui, dans les familles, resserrent les liens entre les générations, séparées par la pandémie de Covid.

Sur une instru chaloupée, les paroles de Jul abondent : «J’fume la beuh d’Amsterdam, celle qui est bonne, qui t’monte au crâne.»Casquette à l’envers et moulinets fébriles du poignet, la chorégraphie de Claude et Josette est bien huilée. Sur TikTok, elle cumule même plus de 300 000 vues. Petit détail : ces stars de l’appli ont 89 et 85 ans.

Derrière le téléphone et aux manettes du montage, on trouve Valérian, leur petit-fils. Pour le trio, tout a commencé en août : «La première vidéo qui a marché, on m’entend appeler ma grand-mère, elle me regarde et elle me sourit», retrace ce salarié dans la communication, âgé de 25 ans. Un sourire ravageur puisqu’il entraîne près de 400 000 vues. «J’ai trouvé ça incroyable, on me dit des choses très gentilles, on me dit que je suis belle… à 85 ans !», minaude Josette, flattée.

Série «Hippocrate», sanitaire à terre


 


par Marius Chapuis   publié le 5 avril 2021

On voudrait la tenir éloignée en ces temps de crise sanitaire, pourtant la deuxième saison de la série, toujours aussi juste dans son exploration sans fioriture des rouages de l’hôpital, s’attache à observer le collectif comme un refuge.

La catastrophe, forcément. Mais pas celle qu’on attend et redoute aujourd’hui dans une série médicale. La cata, c’est celle des moyens de l’hôpital, qui trouve ici une manifestation physique à l’état liquide : une gigantesque inondation liée à une canalisation dans les sous-plafonds qui pète à cause du froid. Chaussures, chaussettes et pantalons gorgés de flotte, c’est tout un hôpital qui s’agite en glissant pour évacuer les patients et sauver le matos. Avec, pour conséquence directe et durable, le transfert du service des urgences dans les locaux de la médecine interne où travaillent les quatre jeunes toubibs qu’on marquait à la culotte dans la première saison d’Hippocrate.

2009, la transsexualité n'est plus classée maladie mentale en France






Cette année, comme chaque 31 mars, place à la Journée internationale qui célèbre la communauté transgenre, dite TDOV. Les transsexuels, une communauté souvent discriminée et qui, jusqu'en 2009, étaient considérés en France comme des malades mentaux.



Santé mentale. Des formations pour avoir les premiers réflexes face à une personne en détresse



 Valérie PARLAN  Publié le 

Parce que les premiers gestes de secours concernent aussi la santé mentale, s’y former est aujourd’hui possible.

Il y a le collègue devenu si triste ces derniers temps. L’amie qui ne dort plus, pleure souvent. Un parent qui se sent déprimé. À leurs côtés, bien souvent, nos mots de soutien peinent par peur d’être maladroits, intrusifs. Alors comment se sentir armé pour accompagner les personnes victimes de troubles psychiques ?

Depuis 2019, l’association PSSM (Premiers secours en santé mentale) propose des sessions de formation, ouvertes à tous, afin d’être sensibilisés à une meilleure connaissance des maladies. Pour mieux prévenir et, ensuite, mieux guérir. Une initiative née d’une pratique déjà très pratiquée en Australie et dans de nombreux pays.

Seddouk : Le service de psychiatrie à l’arrêt

04 AVRIL 2021

Le service de psychiatrie relevant de l’EPSP de Seddouk est à l’arrêt depuis plusieurs semaines, a-t-on pu constater.

Contactée par nos soins, la directrice de l’Etablissement a confirmé la cessation des prestations médicales, assurées par un médecin spécialiste. «Le psychiatre a pris un arrêt de travail, avant de déposer une démission. Nous avons saisi la direction de la santé, auprès de laquelle nous avons sollicité l’affectation d’un autre spécialiste», a-t-elle informé, indiquant que pour l’heure, ce sont les médecins généralistes de l’EPSP qui prennent en charge le renouvellement des ordonnances au profit des malades.

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De meilleures conditions réclamées pour les employés « à bout de souffle


 



HENRI OUELLETTE-VÉZINA  Publié le 3 avril 2021

QUEBEC

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

L’Institut Philippe-Pinel est situé dans l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles.

Des intervenants de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel déplorent l’état de leurs conditions de travail, en pleine pandémie de COVID-19. Gel des salaires depuis deux ans, manque d’équipements de protection, situations violentes : nombre d’enjeux causent selon beaucoup une saignée de l’expertise et font craindre le pire pour la suite.

« Le problème est majeur et connu depuis bon nombre d’années à l’Institut : dans beaucoup trop de cas, nos intervenants spécialisés en pacification et en sécurité (ISPS) nous quittent pour travailler dans le milieu carcéral ou la police. C’est une perte constante d’expertise qui fragilise l’institution », explique la présidente du Syndicat des employés de l’Institut, Marie-Ève Desormeaux, aussi intervenante. 

Elle affirme que l’expérience des ISPS est pourtant un « facteur clé du succès de la désescalade » de la violence dans les milieux psychiatriques. « À la base, le gouvernement du Québec s’obstine à ne pas leur attribuer une description d’emploi qui reconnaîtrait leur expertise et la complexité de leur travail. Avec une description d’emploi adéquate, ils recevraient une meilleure formation, un meilleur encadrement et possiblement un meilleur salaire », insiste la cheffe syndicale. 

Alors que des négociations sont en cours sur les conditions de travail de ces intervenants, la hausse du salaire contribuerait notamment « à une meilleure rétention du personnel et au maintien d’une haute expertise, à la hauteur des immenses défis de notre établissement », affirme Mme Desormeaux.

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« La santé mentale ne doit pas servir de prétexte à des choix contraires aux objectifs sanitaires »

Publié le 30 mars 2021 

TRIBUNE

Il n’est pas prouvé que l’impact psychiatrique d’un confinement strict de quelques semaines serait plus important que celui de « la prolongation de demi-mesures de restriction », explique, dans une tribune au « Monde », le chef de service en psychiatrie Antoine Pelissolo.

Tribune. La situation actuelle oblige le pouvoir politique à prendre des décisions sous la pression d’enjeux souvent contradictoires, qu’ils soient sanitaires, sociaux, économiques, ou psychologiques. Depuis un an, nous avons été nombreux, professionnels de la psychiatrie, à alerter sur l’état psychologique de la population.

Les conseils de Angèle Consoli, la psychiatre du conseil scientifique, pour survivre à la période actuelle

Face au Covid-19, "il faut ouvrir des lits en psychiatrie", alerte Angèle Consoli, qui appelle à s'accrocher aux espoirs suscités par la vaccination.


 Depuis son bureau à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, Angèle Consoli est au chevet d’une France qui se ronge les ongles. Entre deux consultations dans le plus grand service psychiatrique de France, cette nouvelle recrue du Conseil scientifique apporte son expertise à Emmanuel Macron pour ménager la santé mentale des Français, malmenés par la crise du coronavirus

Alors que le coronavirus sature déjà les hôpitaux, l’Élysée s’inquiète de l’émergence d’une nouvelle épidémie. À la mi-février, 22,7 % des Français interrogés par Santé publique France se disaient victimes de troubles dépressifs ou anxieuxLa détresse psychologique n’a jamais été aussi répandue, même pendant les deux confinements nationaux.

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Une partie de la communauté médicale prend ses distances avec les Cassandres

Paris, le mardi 30 mars 2021 – Plusieurs journaux se sont plu ces dernières semaines (et encore aujourd’hui Le Monde) à décrire le Président de la République en apprenti «épidémiologiste » ayant choisi depuis le début de l’année de décrypter lui-même les différents travaux publiés sur la Covid plutôt que se fier uniquement aux analyses du Conseil scientifique (après avoir notamment constaté, comme beaucoup d’autres, un écart important entre certaines projections qui ont pu lui être présentées et la réalité). Cette attitude forcerait l’admiration de ses apôtres de toujours et ne manquerait pas d’agacer a contrario un certain nombre de praticiens.

Une méthode contre-productive

Ce ne sont cependant pas les dissensions qui se font jour actuellement au sein de la communauté médicale (et qui sont le reflet de lignes divergentes depuis le début de l’épidémie) qui pourraient cependant le faire douter de la pertinence de ses velléités d’indépendance (si tenté qu’Emmanuel Macron soit adepte du doute). On observe en effet ces dernières heures une prise de distance certaine avec les discours catastrophistes qui ont été entendus ce week-end. Les mots des auteurs de la tribune publiée ce week-end dans le Monde (huit spécialistes d’anesthésie-réanimation) étaient sans nuance. « La situation actuelle tend vers une priorisation, autrement appelée « tri », qui consiste, lorsqu’il ne reste qu’un seul lit de réanimation disponible mais que deux patients peuvent en bénéficier, à décider lequel sera admis (et survivra peut-être) et lequel ne sera pas admis (et mourra assez probablement). C’est bien vers cela que nous nous dirigeons » écrivent-ils, en accusant tout aussi clairement le gouvernement d’être responsable de cet état de fait. Cette présentation a cependant été regrettée par la Fédération hospitalière de France (FHF). Si la FHF pourrait être en accord avec les signataires de ce texte quant à l’urgence d’adopter des mesures plus strictes (son président, Frédéric Valletoux s’est ainsi exprimé dans ce sens la semaine dernière), elle récuse « la véhémence » du propos qui « est de nature à inquiéter les malades et leurs familles ». Le responsable de la FHF Ile-de-France Serge Blisko déplore également une « tribune qui affole et n’est utile, ni pour les soignants et ne peut que nuire à la relation de confiance entre la population et les hôpitaux… ». Le président de la Société de réanimation de langue française à l’hôpital Saint-Antoine, Eric Maury, cité par le Parisien partage le même malaise face à la teneur du message : « Je ne crois pas que ce soit très judicieux », commente-t-il.


Statistiques et visualisations de données Covid19

 

CovidTracker

CovidTracker est un outil permettant de suivre l'évolution de l'épidémie à Coronavirus en France et dans le monde. Pour des analyses quotidiennes des chiffres, vous pouvez suivre @guillaumerozier sur Twitter, ainsi que @covidtracker_fr.

En un coup d'œil

Mise à jour : hier

409

TRÈS ÉLEVÉ ET STABLE

Taux d'incidence
Nombre de cas par semaine pour 100k habitants. Le seuil d'alerte est 50.

7.74%

MODÉRÉ ET STABLE

Taux de positivité
Proportion des tests qui sont positifs parmi l'ensemble des tests.

1.2

MODÉRÉ ET STABLE

Taux de reproduction R
Nombre de personnes contaminées par 1 malade. Au-dessus de R=1, l'épidémie progresse.

103.6%

TRÈS ÉLEVÉ ET STABLE

Tension hospitalière
Nombre de lits de réanimation occupés par les patients Covid19 par rapport au nombre de lits fin 2018.


Cas positifs

On prélève en moyenne 39 012 tests positifs au Covid19 chaque jour, en hausse (+ 11 %) par rapport à la semaine dernière (par date de prélèvement, J-3)

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dimanche 4 avril 2021

43ème Festival International "Films de Femmes" 2021 en ligne

DU 2 AVRIL AU 11 AVRIL

Le festival s’invite chez vous avec des films inédits de réalisatrices du monde entier et vous propose des rencontres avec toutes celles qui font un nouveau cinéma. 

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Le festival s’invite chez vous !

Depuis 43 ans, Le Festival International de Films de Femmes accueille et révèle au public, à travers une programmation exigeante, des réalisatrices du monde entier afin de mettre en lumière les femmes de la  profession et de promouvoir l’égalité et les droits de tous les individus. Attentif à leurs engagements artistiques, politiques et sociaux, le Festival découvre de nouveaux talents venus des quatre coins du monde. En mettant leurs œuvres à l’honneur, il soutient celles qui défendent, parfois dans des conditions difficiles, la liberté d’expression et de création. En 2021, dans une actualité sanitaire difficile, le Festival se mobilise pour donner une chance au public de croiser ces regardsde femmes sur la société. 

Face aux incertitudes du moment et à l’impossibilité de se retrouver en salle, l’équipe invite cette année le public à découvrir une édition en ligne avec des films inédits, des rencontres, des débats. 

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Le mystère des enregistrements de voix humaines réalisés trois décennies avant ceux de Thomas Edison







  • Par Dalia Ventura
  • BBC News Mundo 
  • 3 avril 2021

Thomas Alva Edison

CRÉDIT PHOTO, GETTY IMAGES

Légende image, 

Pendant 120 ans, on a cru qu'Edison avait été le premier à enregistrer la voix humaine.

Pendant 120 ans, une vérité peu controversée s'est imposée : Thomas Alva Edison avait été la première personne à enregistrer la voix humaine.

Inventeur, entre autres, de l'ampoule électrique et de la caméra cinématographique, il était parvenu en 1888 à faire ces enregistrements avec une autre de ses créations, le phonographe à cylindre de cire, et les témoins de l'exploit étaient nombreux, y compris ceux qui assistaient à un concert qu'il avait enregistré au Festival de Haendel au Crystal Palace, à Londres. 

Cependant, plus d'un siècle plus tard, deux membres de la First Sounds Initiative - un collectif qui "s'efforce de mettre les premiers enregistrements sonores de l'humanité à la disposition de toutes les personnes de tous les temps" - ont commencé à soupçonner l'existence d'une autre réalité.

Leurs découvertes surprenantes ont permis de réécrire l'histoire... deux fois en 2008.

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