LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | | Par Florence Rosier
Quand nous croisons un de ces prédateurs, c’est pour notre malheur. C’est qu’ils savent l’art de séduire. Et de nous entraîner dans leur ronde autolâtre. Jusqu’à ce que tout bascule. Ils avancent masqués. S’ils séduisent, c’est que nous ignorons à qui nous avons affaire. Quand nous le comprenons, c’est souvent trop tard. Un air glacé glisse sur notre nuque. Nous arrive-t-il de côtoyer l’un d’eux, sachant ce qu’il a fait ? Une sueur froide coule dans notre dos.